Derrière les murs

initiatives privées vont-elles (ou pas) vers la réduction des disparités socio-spatiales Rio de Janeiro est la deuxième ville du Brésil (derrière Sao Paulo). Située sur le littoral Atlantique, elle compte 6,1 millions d’habitants intra muros (et 12,62 millions dans l’aire urbaine). La densité y est très importante avec une moyenne de 4836 habitants/km². Derrière les plages de sable fin de Copacabana, sa célèbre statue du Christ Rédempteur et son carnaval populaire, la ville de Rio de Janeiro, s’étalant

signifiant « dessin gravé ». A ne pas confondre avec le tag = signature Ce procédé existe depuis l’antiquité, mais ce mot est devenu le moyen d’expression de la culture Hip Hop et fut révolutionné par celle-ci. Ce sont des dessins inscrits sur les murs, les palissades ou les véhicules de transports. La plupart étant effectués sur des lieux publics, sans autorisation, sont considérés comme du vandalisme. Ils font appel à plusieurs matériaux dont la peinture à la bombe, le marqueur, le pochoir et des

debout derrière le lit. On distingue la tenue de la servante qui se confond avec le drap sur lequel la jeune femme est allongée. Devant un mur dans les coloris verts foncés, cette supposée servante lui présente un bouquet de fleurs. Debout sur le lit, on distingue un chat noir, avec les poils hérissés qui se dresse sur l'extrémité droite du lit, la queue levée. A l’arrière-plan, des tapisseries et des tentures sombres tapissent les murs de la chambre

masse absorbe le rayonnement, et réchauffe la pièce en lui transférant l’énergie calorifique. On utilise souvent les procédés indirects suivants : Utilisation de murs capteurs accumulateurs et/ou des toitures bassins : 1- Mur capteur- accumulateur : il comporte un paroi vitrée sud et une masse thermique à au moins 10 cm derrière le plan de verre. Les matériaux utilisés sont discernables en deux groupes : en maçonnerie : absorbe rayonnement solaire sur sa face externe et transfère la chaleur

d'existence et d'appropriation d'un espace public, le Street Art devient l'ennemi public numéro un à partir du milieu des années 1970. Les graffeurs subissent une très sévère répression de la part de la police de New York et s'exilent dès lors sur les murs des quartiers de Manhattan, comme Harlem. Qu'importe, le graff est une raison de vivre et un style qui se démarque volontairement de la culture et des valeurs américaines. Comme toutes les contre-cultures, il intéresse vite le monde de l'art qui commence

tombèrent sur un mur de pierre ou était inscrit : « la réponse de cette énigme t’éclaireras sur ce qui se trouve derrière ce mur : Je te rends faible pendant les pires moments. Je te garde en vie, je te rends alerte. Je rends tes mains moites, et te glace le cœur. Je visite le faible, mais rarement le hardi. La peur » Si les aventuriers trouve la réponse a l'énigme alors le murs s'enfonce dans le sol et ils tombent sur une grande pièce #Si plus de 16(14 pour le voleur) ils aperçoivent des dalles

éléments de civilisation sont détruits ou morts «tous les murs en flammes, de tous ces greniers éventrés ; les rats de tous ces villages écroulés ; des rats de la bataille et de morts» ; «tous les creux des labours» ; «Une voiture folle, sans conducteur» ; «La batterie anglaise vient de sauter». Il y aussi les Allemands qui sortent d’un village « les Allemands débordent du village», mais ils sont vu comme un élément de décor «Là-bas derrière, au fond». L’auteur les a placé pour nous rappeler que nous

les murs de grands bâtiments, dans des parcs et même parfois sur des monuments.1 On appelle les membres du Street art des « writers ». En bref, le Street art a pour but d’exprimer des choses que les gens n’arrivent pas à dire tout haut. Le graffiti, forme de Street art très connue, est né à la fin des années 1960 dans deux villes de la côte est américaine : New York et la Philadelphie. Le phénomène aurait commencé lorsqu’un enfant en Pennsylvanie commença à écrire son surnom sur les murs de Philadelphie

était ma réalité ». Elle peignait sa douleur, sa torture, sa réalité. Pour elle, il n’y avait rien de surréaliste dans ses œuvres. ◗ Description : Ce tableau représente une petite fille, le peintre, comme l’indique le titre, placée devant son père. Derrière elle, on aperçoit les parents, qui occupent l’espace central et à l’arrière-plan les grands-parents maternels et paternels, respectivement à gauche et à droite. Les grands-parents On peut, grâce à des détails vestimentaires ou grâce à leurs visages

sentais quelques fois des gouttes de cire me tomber sur les bras et me brûler. J'étais entre deux femmes, une devant moi et une sur ma droite, derrière moi et à ma gauche c'était des murs. Je sentais l'odeur de leur transpiration mélangée à celle du tabac de ceux qui avaient fumé, la cire me tombait dessus, j'avais très chaud. Je me collais donc aux murs qui eux étaient froids. Lorsqu'on est sortis, je ne retrouvais plus ma grand-mère et pratiquement sans m'en rendre compte, je me suis mise à courir