Derrière les murs

l'importance accordée aux couleurs. Dès le vers 1, l'auberge est décrite à travers des couleurs: Murs blancs, toit rouge, au vers 4, la couleur bleu est associée au terme de vin, et nous voyons très nettement dès ce premier quatrain, se dessiner sous nos yeux un tableau post-impressionniste aux couleurs chatoyantes. Verlaine souligne l'importance de ces couleurs à travers l'emploi de syntagmes nominaux: Murs blancs, toit rouge, Vin bleu. La présence des propriétaires et leur description renvoie, elle

son vrai visage. D’autre part de mettre en valeur les lignes verticales de la composition qui répondent au format vertical de la photographie. L’espace ainsi délimité est entièrement dominé par les verticales, dessinées notamment par les arrêtes des murs et les masses sombres qui occupent presque les deux-tiers de l’image. Cette verticalité omniprésente évoque bien évidemment la hauteur des buildings, véritable symbole de « la ville debout ». Elle connote aussi son dynamisme, sa virilité et sa puissance

archéologue réputé pour son caractère trempé, il est rapidement remercié. Les deux personnages ne s’appréciés pas. Il rencontre Gaston Maspero (très grand égyptologue qui travaille autant en bibliothèque que sur le terrain, il traduit des textes, laisse derrière lui de nombreux ouvrages, c’est lui qui découvre les textes des pyramides) lequel semble l'apprécier. En 1899, Maspero lui propose un poste d'inspecteur général des monuments en Haute-Égypte. Tous se passe bien, sauf qu’au début 1905, un groupe

cohésion…), densification, armer, lier, perméabiliser… Armer : fibres végétales, fétus de paille, branches fines de la taille des haies, poils d’animaux, brindilles… jouent le même rôle que les fers dans le béton armé. Ça va considérablement consolider les murs. On introduit une porosité dans le matériau : il est plus léger, peut être monté assez haut, épais, mais on va le protéger par un enduit protecteur fait d’argile. Pouvoir de cohésion (si on est en présence d’une terre granuleuse) : chaux (poussière

Diego Rivera – Le marché de Tlatelolco. Peinture murale qui décore les murs du Palais National de Mexico, réalisée en 1945. Description Au premier plan, on distingue une multitude de personnes. C’est le marché qui est représenté : à gauche, on vend les fruits et légumes, au centre, on voit du maïs. Puis, des fèves de cacao : c’était la monnaie d’échange principale. En effet, les aztèques n’avaient pas de monnaie ; c’était une société de troc (« trueque »), ils utilisaient les fèves de cacao, des

caméras, cela veut dire qu’il est entré dans une zone privée dont le titre ‘’ La zona, propriété privée’’. Dans la seconde affiche on voit une voiture de police qui sort de la résidence barricader d’une grande porte verte, on se demande pourquoi ? Derrière on voit un jeune homme qui à l’air de faire poursuivre par une troupe de personne. Sentiment de violence. Sur la dernière affiche une dame qui arrête 4 personnes dont 3 armés ce qui fait appel à une violence certaine dans le film. Après : Les

sommet de la tête, s'arrachaient les pastèques et les limons qu'ils croquaient avec l'écorce. Des Nègres n'ayant jamais vu de langoustes se déchiraient le visage à leurs piquants rouges. Mais les Grecs rasés, plus blancs que des marbres, jetaient derrière eux les épluchures de leur assiette, tandis que des pâtres du Brutium, vêtus de peaux de loups, dévoraient silencieusement, le visage dans leur portion. La nuit tombait. On retira le velarium étalé sur l'avenue de cyprès et l'on apporta des

masse absorbe le rayonnement, et réchauffe la pièce en lui transférant l’énergie calorifique. On utilise souvent les procédés indirects suivants : Utilisation de murs capteurs accumulateurs et/ou des toitures bassins : 1- Mur capteur- accumulateur : il comporte un paroi vitrée sud et une masse thermique à au moins 10 cm derrière le plan de verre. Les matériaux utilisés sont discernables en deux groupes : en maçonnerie : absorbe rayonnement solaire sur sa face externe et transfère la chaleur

Thucydide, la guerre du Péloponnèse P36/37 Intro : Thucydide DZNS la guerre du peloponeee retranscrit les paroles de Pericles à l’issue de la première année de campagne ( octobre novembre 431/30 ). La guerre n’a pas lieux entre octobre et janvier car les peuples n’ont pas les moyens de faire la guerre l’hiver. Pour Thucydide la guerre du Péloponnèse est causée par la volonté de d’athée de vouloir s’imposer aux autres. 3 affaires on declanche la guère du Péloponnèse : celle d’Epidamme, Potidée

lieux accentue l’angoisse de la traversée. Et l’étroitesse des égouts l’oblige à « se serrer contre le mur pour ne pas avoir les pieds dans l’eau » il tâtonne les murs pour avancer. Au fur et à mesure de son avancée dans les égouts, sa vue s’accommode à l’obscurité, mais il est désorienté et ne sait où il va. Il se guide grâce au murs. Il y a une allusion au passé de Valjean : « il redevint aveugle » . Nous savons qu’il était un ancien prisonnier, et les prisons sont sombres. Il a déjà connu l’obscurité