Derville

par l'idée du devoir. Il avait dominé jusque-là son attendrissement et gardé sa résolution de ne point parler ; mais quand le président des assises lui demanda s'il avait quelque chose à ajouter, il se leva. Il voyait devant lui les yeux de madame Derville qui, aux lumières, lui semblèrent bien brillants. Pleurerait-elle, par hasard ? pensa-t-il. « Messieurs les jurés, l'horreur du mépris, que je croyais pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole. Messieurs, je n'ai point l'honneur

de Julien, Mme. De Rênal se croit malade. Finalement, elle découvre par cet événément son amour pour Julien. Dès le début du printemps → installation à Vergy, campagne synonyme de liberté pour Julien. Mme. de Rënal prend soin à s'habiller et Mme Derville vient à Vergy. Ambiance heureuse. Une soirée à la campagne : Chapitre IV : Julien s'est mis au défi d'obtenir (physiquement) la main de Mme. De Rênal. Il y parvient. Au matin, M. de Rênal est mécontent de Julien qui venait de passer la

lui ouvrir. Le Colonel Chabert demeura dans le faubourg Saint-Marceau. Son logeur s’appela Vergniaud. La femme du colonel Chabert s'est remariée car elle le croyait mort puis pour pouvoir accéder à la société aristocratique de la restauration. Derville proposa une transaction aux deux époux c'est un accord commun. L'épouse devais accepter un divorce a l'amiable, verser une rente viagère de 24 000 francs au Colonel Chabert puis reconnaître légalement l’existence du Colonel. Le Colonel lui doit

porte un vieil homme. Ce dernier, plutôt misérable, demande à s’entretenir avec le patron des lieux, un certain monsieur Derville. Mais les clercs lui apprennent que ce dernier, très courtisé, ne passe à son bureau que la nuit : il lui faudra revenir vers une heure du matin s’il veut espérer le rencontrer.À l’heure dite, l’étrange homme se présente à nouveau et est reçu par Derville. Il lui décline alors sa véritable identité : il s’appelle Hyacinthe Chabert, connu en France sous le titre de « Colonel

et à gauche ». 2. L’atmosphère particulière qui se dégage de ces deux textes est une atmosphère lugubre, de désolation, répugnante : comme si les deux lieux décrits étaient inhabités par les hommes, dans le texte de Balzac, le cocher explique à Derville qu’il ne peut aller dans la rue, comme si un passage de cabriolet avait peu d’utilité dans cette partie de la ville (car son cochet refusa de s’engager dans une rue non pavée…).Puis description de l’insalubrité, de la saleté, et de la misère (comparables

après un cinquième acte pénible, tombe demi-morte et laisse dans lasalle une image d’elle-même à laquelle elle ne ressemble plus.Elle se mit à finir une lettre commencée qu’elle écrivait à Delbecq, à qui elledisait d’aller, en son nom, demander chez Derville communication des actes quiconcernaient le colonel Chabert, de les copier et de venir aussitôt la trouver àGroslay.A peine avait-elle achevé, qu’elle entendit dans le corridor5 le bruit despas du colonel, qui, tout inquiet, venait la retrouver.

Chabert fera appel à la loi pour tenter de retrouver son nom, son rang, ses biens, sa fortune et sa femme. Mais le monde a bougé, la société a changé, la vie a suivi son cours. Hyacinthe Chabert se laisse piéger par son ex-épouse, malgré l’aide de Derville, mais refuse une « transaction » où il perdrait son honneur. Jadis enterré sous des morts, maintenant enterré sous des actes, Chabert, s’il n’est pas un imposteur, a-t-il une chance de faire valoir ses droits face une société qui voudrait le faire

nouvelle fois sur la planète Naboo, auprès de son représentant au Sénat intergalactique, Maître Derville. Objet de la raillerie des monstres de l'espace, gardiens des portes du Palais, armés de leurs six têtes aux mâchoires menaçantes, le vieil homme est invité à passer une série d'épreuves toutes plus sadiques les unes que les autres à une heure du matin (temps universel de la galaxie) pour voir Maître Derville. Il se présente comme le colonel Anakin Skychabert, alias "Colonel Chabert" dans la Résistance


 Après le départ de Julien, Mme Derville s'approche de Mme de Rênal et la met en garde contre le jeune homme. Imaginez cet épisode. Texte A : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830. | |  [Julien, homme du peuple, est précepteur chez M. et Mme de Rênal . Un soir il a l'audace de prendre la main de Mme de Rênal , qui finalement se| | |laisse faire. Quelques jours plus tard, lors d'un repas au jardin avec son amie Mme Derville, c'est elle qui cherche la main

Cadignan, le comte et la comtesse Restaud à Gobseck (où Derville raconte le dénouement de leur affaire), Gobseck, la duchesse de Langeais et madame Firmiani aux romans qui portent leurs noms, les frères Vandenesse au Lys dans la vallée et à Une fille d'Eve (Félix) et à La Femme de trente ans (Charles), le banquier Taillefer à L'Auberge rouge et à La Peau de chagrin, Berthe de Rochefide et le marquis d'Ajuda-Pinto à Béatrix, la comtesse Ferraud et Derville au Colonel Chabert, le comte de Sérisy à Un début