Des hommes et des dieux

vient le problème économique ? Comment les hommes ont perçu ce problème économique dans l'antiquité ? Comment l'on t-ils résout ? I- L'origine du problème économique : la rareté et l'origine du travail le problème de la rareté est le même que la nécessite du travail. Hésiode et Platon introduisent le problème de la rareté par un schéma de l'utilisation d'un mythe qui expliquent comment les dieux de la mythologie grecque veulent que les hommes doivent souffrir de la rareté ⁃ Le mythe

ignorait l’avenir que lui ménageait les dieux » (ligne 10 à 11) Ce passage, outre qu’il atteste bien de l’omniprésence des dieux et de leurs châtiments dans la tragédie eschyléenne, nous informe également sur la représentation grecque du roi perse Xerxès, en effet celui-ci est traditionnellement représenté par les grecs comme un homme orgueilleux, sans doute parce que ses sujets devaient lui rendre un culte comme intermédiaire entre les dieux et les hommes. Ce passage nous informe également de

mortel ne passera toute une vie à l'abri du malheur sans payer sa part. Hélas, hélas tout de suite ou plus tard, la peine frappera." Appel aux Dieux de Justice : "Que se lève contre eux soit un esprit soit un mortel" "Déesses du Destin, qu'au nom de Zeus cela s'achève selon la voie où s'engage le Droit." "Maintenant, Zeus, je t'en supplie, père des dieux olympiens, accorde le succès aux maîtres qui désirent voir régner la retenue. Au nom du droit, j'élève chaque mot : Toi, Zeus, puisses-tu veiller

courages, ils attaquèrent les dieux, et ce qu’Homère dit d’Ephialte et d’Otos, on le dit d’eux, à savoir qu’ils tentèrent d’escalader le ciel pour combattre les dieux. Alors Zeus délibéra avec les autres dieux sur le parti à prendre. Le cas était embarrassant : ils ne pouvaient se décider à tuer les hommes et à détruire la race humaine à coups de tonnerre, comme ils avaient tué les géants ; car c’était anéantir les hommages et le culte que les hommes rendent aux dieux ; d’un autre côté, ils ne pouvaient

lit de l'illustre Tithôn, afin de porter la lumière aux Immortels et aux mortels. Et les Dieux étaient assis en conseil, et au milieu d'eux était Zeus qui tonne dans les hauteurs et dont la puissance est la plus grande. Et Athènaiè leur rappelait les nombreuses traverses d'Odysseus. Et elle se souvenait de lui avec tristesse parce qu'il était retenu dans les demeures d'une Nymphe : - Père Zeus, et vous, Dieux heureux qui vivez toujours, craignez qu'un roi porte-sceptre ne soit plus jamais ni doux

Le Géant Ymir La mythologie scandinave regroupe des récits venus d’Europe du Nord. Ils mettent en scène des divinités (comme Odin, le roi des dieux) appartenant à la religion polythéiste que pratiquaient les peuples d’Europe du Nord au début du Moyen-Âge. Ce mythe est raconté dans le poème intitulé La Völuspa. Au commencement, il n’ y avait ni ciel, ni mer, ni terre. Aucune plante nulle part. Au nord, une contrée effroyable, obscure et glacée. Au sud, le pays de feu. Au centre, l’abîme, Ginnungagap

sont les chefs, les autres dépendent d’eux. Pouvoir de commandement dans expéditions armées, représentation de son peuple à l’extérieur, relations d’hospitalité peuvent engager tte la communauté, intermédiaire entre dieux et hommes (doit se soumettre aux dieux). -homme ordinaire: hommes libres doivent obéissance et services aux aristo, constitue la piétaille qui se bat en masse, ss armes particulières (arcs, massues, pierres), négligé par le poète, =essaim d’abeilles bourdonnantes, pas de parole

marteaux. Ils transmirent le message aux commerçants et aux fermiers de passage, rassemblés sur la place du marché au centre de la ville. Réunis ce jour-là sur la place pour décider de certaines lois, se trouvaient aussi les chefs de la ville, les hommes qui possédaient des terres. A leur tour, ils apprirent la venue de l'aède. Ils se rendirent aussitôt auprès du roi de la ville qu'ils trouvèrent assis sur son banc de pierre sculptée. Peu de temps après, le roi annonça qu'il donnerait un banquet

marteaux. Ils transmirent le message aux commerçants et aux fermiers de passage, rassemblés sur la place du marché au centre de la ville. Réunis ce jour-là sur la place pour décider de certaines lois, se trouvaient aussi les chefs de la ville, les hommes qui possédaient des terres. À leur tour, ils apprirent la venue de l'aède. Ils se rendirent aussitôt auprès du roi de la ville qu'ils trouvèrent assis sur son banc de pierre sculptée. Peu de temps après, le roi annonça qu'il donnerait un banquet à

Scène 1 : Agamemnon raconte à son âne, son serviteur, que d'après les paroles de Calchas, les dieux exigent que sa fille, Iphigénie, soit sacrifiée. Agamemnon a, tout d’abord, refusé et veut retirer son armée pour la sauver. Mais Ulysse et les Dieux l’ont convaincu, en touchant son orgueil de monarque, en lui rappelant l'importance de l'honneur et de la patrie. Il a écrit à Iphigénie de la part d’Achille annonçant leur mariage prochain. Mais les regrets d’un père le pousse à vouloir éviter la mort