Des hommes et des dieux

le croit. Car un dieu n’agit point de façon désordonnée. Et il ne faut pas tomber dans le préju­gé suivant lequel la fortune serait une sorte de cause in­certaine ; car certains croient qu’elle préside à la distribution du bien et du mal parmi les hommes, faisant ainsi, et défaisant cependant, leur bonheur ou leur malheur. Pense qu’il vaut mieux que la raison prévale devant la fortune plutôt que la fortune de­vant le raisonnement. Car il y a plus de beauté lorsque nos actions remportent un suc­cès

guerres médiques. Le siècle de Périclès : l'âge d'or de la cité Athénienne A) Analyse des différents régimes : Oligarchie, timarchie, démocratie, anarchie, tyrannie) B) La république Athénienne. Une caractéristique : l'ostracisme C) La place des dieux à Athènes. Les oracles. Aristophane = le plus grand des auteurs comiques. II. La tragédie. La cité, le héros, le mythe. A) Naissance de la tragédie B) Le mythe d'Œdipe C) Œdipe de Sophocle D) La lecture classique de l'œuvre de Sophocle

Zeus Zeus (du grec ancien Ζεύς / Zeús) est le roi des dieux dans la mythologie grecque. Il règne sur le Ciel et a pour symbole l'aigle et le trait de foudre[1]. Fils de Cronos et de Rhéa, il est marié à sa sœur Héra. Il est le père de plusieurs dieux et de très nombreux héros. La théogonie la plus consistante est celle recueillie par Hésiode (VIIIe siècle av. J.-C.), contemporain d’Homère qui a sa part d'invention, et elle prédominera dans cet article. Zeus est apparenté à Jupiter dans la mythologie

pas encore trois ans que je fréquente Socrate, et que je m’attache à étudier toutes ses paroles et toutes ses actions. Avant ce temps-là, j’errais de côté et d’autre ; je croyais mener une vie raisonnable, et j’étais le plus malheureux de tous les hommes, m’imaginant, comme tu fais maintenant, qu’il fallait s’occuper de toute autre chose plutôt que de philosophie. — Allons, point de raillerie ; dis-moi quand eut lieu cette conversation. — Nous étions bien jeunes toi et moi ; ce fut dans le temps qu’Agathon5

pouvoirs de magicienne. Les sirènes présentées par Circé et rencontrées par Ulysse sont des monstres féminins, mi-femmes (elles chantent et séduisent de leur belle voix et leur « chant clair ») mi-monstres qui se plaisent à faire pourir les corps des hommes qu'elles ont attirés, elles « ensorcellent » et tuent : « on voit s'entasser près d'elles/les os des corps décomposés dont les chairs se réduisent. ». On trouve également des déesses transformées en monstres : Charybde était la fille de Poséidon

des dieux. Il faut egalement rappeler que dans la mythologie grecque le heros est a l'origine le produit de l'union d'un dieu ou d'une deese avec un etre humain.En tant que tel il symbolise toutjours la cohabitation de force divine.Ce lien ineluctable que le heros a avec les dieux le rend a la fois puissant et faible puissant car il reste au dessus des hommes par sa naissance et faible car pour les dieux il n'est qu'un homme.Par sa naissance le heros sera toujours persecute par les dieux il est

SIMONIDE (1) PRÉSERVÉ PAR LES DIEUX (*) On ne peut trop louer trois sortes de personnes : Les Dieux, sa maîtresse, et son Roi. Malherbe (2) le disait ; j'y souscris quant à moi : Ce sont maximes toujours bonnes. La louange chatouille, et gagne les esprits ; Les faveurs d'une belle en sont souvent le prix. Voyons comme les Dieux l'ont quelquefois payée. Simonide avait entrepris L'éloge d'un Athlète, et, la chose essayée, Il trouva son sujet

conception de l'âme, il n'y a à l'évidence pas de vie après la mort. La peur des dieux est elle-même absurde. Les dieux n'appartiennent pas au monde matériel des atomes. Ils sont en dehors et n'y interviennent pas. Pour les hommes, il s'ensuit que les dieux ne peuvent rien faire, ni mal, ni bien. Ils n'ont donc pas à en avoir peur. Conséquence finale : Le bonheur de l'homme n'est pas dépendant de la mort ou des dieux. Le bonheur paraît donc possible et est à trouver ailleurs, c'est-à-dire dans le

sur terre à condition qu’on élimine les sources de crainte et que l’on soit raisonnable. Plan : - L’intro : début->Bien vivre/ Philosophie = chemin vers le bonheur * 1ère partie : Commence-> s’en écarte/ Il ne faut pas craindre les dieux * 2ème partie : Prends l’habitude->qu’il dut ne pas être/ Il ne faut pas craindre la mort * 3ème partie : Il faut se -> et à part des vertus/ Partie du plaisir en 5 sous partie : * Il faut se-> si complexe qu’il soit/ Des désirs

très vite qu'elles se ressemblent toutes. Cela n'a | |rien d'étonnant. L'âge d'or correspond à ce que l'homme aurait dû être ou à ce qu'il sera un jour, c'est un âge hors du temps et | |l'on peut dire, sans craindre les lapalissades (1), que les hommes se ressemblent tous, dès l'instant où ils s'imaginent hors du | |temps, de la matière, du monde présent et contingent (2). La chute de l'homme (3), sa dispersion sur toute la surface de la terre| |(4), et les milliers de solutions inventées pour