Des Roses Pour Staline

fleuries, En peu de temps cherront toutes flétries Et périront, comme ces fleurs, soudain. » Ou, les deux derniers vers du sonnet 24 dans les Sonnets pour Hélène (1578) : « Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. » 6. Ronsard compare la jeune fille et la fleur pour mieux faire comprendre ce qu’il pense de la vie : Étudier des images La jeune fille à la fleur et Le Salut du Black Power p. 148-149 L’image publicitaire (qui est au programme)

martyre de Saint Liévin auquel on vient d’arracher la langue. Cette gloire d’une récompense céleste présente la dimension mystique du martyre. Sa composition en oblique présente les aspects terrestres du supplice dans les tons gris-bruns-verts et roses. Le bourreau porte même une coiffe rouge. La dimension spirituelle se présente comme une spirale de lumière, depuis la dalmatique du saint en passant par le cheval blanc qui se cabre et désarçonne son cavalier, qui s’élève dans le ciel entrouvert dans

de la gauche. Mais M6 esquive le tête-à-tête et la franchise qu’il aurait pu permettre entre nous. Il ne répond pas, il semble juste ne pas savoir quoi dire. Les dignitaires présents se chargent en revanche de m’envoyer sur les roses, avec politesse mais une grande véhémence. Pourtant, le premier discours de M6, écrit par Abdelhadi Boutaleb, reflétera mes positions. Il sera prononcé le 30 juillet, pour la fête du Trône. En revanche, le 20 août, ironiquement

Mikhaïl Zochtchenko (1895-1958) est un des écrivains les plus connus de la littérature russe du XXème siècle. Son destin littéraire reproduit en gros l’histoire du développement, de l’anéantissement et de la décadence de la culture soviétique sous Staline. Au cours des années vingt et trente toute la Russie connaissait les courts récits humoristiques de Zochtchenko. Zochtchenko décrit le monde des petits bourgeois incultes et étroits d’esprit avec un humour grinçant. Il se dit « écrivain prolétarien

ElsenstelD devaIt se fonder sur une- dialcctique des formations sociales qu'E!senstein compare à une fusée à trois étages. Comme les trois étage~ devaIent êt~e : f?rmation despotique - capitalisme - socialisme, on comprend que le projet ait été stoppé (Staline détcstant toutc référence historique aux formations despotiques). Mal, avec toutes les séductions ou les horreurs du Mal (les barbares, les incroyants, les intolérants, l'orgie, etc.). Il faut que le passé antique ou récent subisse un procès, passe

verrouillé le système pour que personne ne puisse le renverser. ŕ Il veut vraiment que tout s’effondre ? ŕ Les attentats en Inde se multiplient d’heure en heure. Et personne n’en parle, parce que cette fois c’est trop grave. ŕ Je ne comprends pas. ŕ Staline disait : « Une personne de tuée, c’est un drame, un million de personnes tuées c’est une statistique. » Nous n’en sommes déjà plus aux drames. Ce général Ahmed Hassan, pour des raisons bizarres, aime… la mort. La sienne et celle de tous. 137

du nazisme, on peut raisonnablement s’attendre à devoir affronter des niveaux élevés de malaise. L'angoisse, l'incrédulité, la paranoïa. Chacune ayant ses propres effets et chacune conduisant à se dire que les conséquences n'auront rien d'un lit de roses. La peur est quelque chose qui irradie. On la voit de manière impitoyable. Il faut toutefois souligner que, malgré cette peur qui irradiait dans l'ombre, ils ne cédèrent pas à l'affolement. Maman renvoya Liesel dans sa chambre. «Bett, Saumensch.»

ce point efficaces ? Et nous avons été très mauvais. Ce n'est pas franchement glorieux pour l'agence. Mais on se focalisait sur nos propres purges... Vous voulez dire, les réformes ? Non, non, les purges. Parce que c'était exactement cela. Quand Staline himself a fait fusiller ou déporter ses meilleurs stratèges militaires, il a fait moins de dégâts à la sécurité intérieure de son pays que le gouvernement des États-Unis avec toutes ses « réformes ». Notre dernier « microconflit » en date tournait

à ce point efficaces ? Et nous avons été très mauvais. Ce n’est pas franchement glorieux pour l’agence. Mais on se focalisait sur nos propres purges… Vous voulez dire, les réformes ? Non, non, les purges. Parce que c’était exactement cela. Quand Staline himself a fait fusiller ou déporter ses meilleurs stratèges militaires, il a fait moins de dégâts à la sécurité intérieure de son pays que le gouvernement des États-Unis avec toutes ses « réformes ». Notre dernier « microconflit » en date tournait

Caire où celui-ci l’avait convié (21 novembre 1943). Il est vrai qu’à la conférence de Yalta à laquelle le Président de la République Chinoise ne fut pas invité, Roosevelt, au risque de compromettre l’intégrité territoriale de la Chine, engagea Staline à faire occuper la Mandchourie (11 février 1945). Lors de l’effondrement japonais, les Russes pénétrèrent donc dans l’ancien « Man-tchou-kouo », firent capituler l’armée japonaise locale et occupèrent Kharbin et Moukden (19 août 1945), puis Dalny