Des Spectacles Le Cri Du Peuple

route! Un cri strident s’ajouta au vacarme et me fit sursauter très violemment. Je me mis à courir à toute vitesse. Le cri continuait à m‘épouvanter. J’aperçus une ombre difforme passer au coin de la rue devant moi! Une odeur de cadavre pourri se fit sentir. Je vomis en plein milieu de la route et, en reprenant mes esprits, je vis du sang sur les murs des immeubles adjacents! Je regardai de partout mais je n’arrivais plus à bouger! Je me retournais, quand je vis… je vis…l’Ombre! Ce cri strident

là, le peuple était presque fou de contentement. Des gens qui se connaissaient à peine se sautaient au cou et s’embrassaient en pleurant. Tout le monde chômait. Grands et petits, riches et pauvres festoyaient, dansaient, chantaient, 5 s’attendrissaient. Cela dura plusieurs jours et plusieurs nuits. Le jour, Londres était splendide à voir : ce n’étaient que gais drapeaux flottant à tous les balcons et sur tous les toits, superbes cortèges marchant processionnellement. La nuit, le spectacle n’était

texte 2-A quoi sont comparés les spectateurs de la salle d’audience? 3-Quelles sont la nature et la fonction des mots «sombre et fatale»? Quel autre mot auraient-ils pu permettre de décrire? Vocabulaire 4-Le mot fantasmagorie signifie: «spectacle fantastique, surnaturel, reposant sur des fantasmes». Quel champ lexical ce mot pourrait-il introduire? 5-Relevez dans les §2 et §3 les mots appartenant au champ lexical du sommeil? Compréhension 6-Quelle phrase met un terme à ce champ lexical

un compagnon de débauche, un impie: «Lorenzo est un athée; il se moque de tout.» (I,6), et même un possible homosexuel. Par ailleurs, il partage avec un certain nombre d’antihéros la duplicité: il joue un rôle constamment, aime être objet de spectacle et ment (la scène de l’épée, la cotte de mailles,...) «Le vice a été pour moi un vêtement ; maintenant, il est collé à ma peau» (III,3) - l’objet du mépris général: Sire Maurice le traite de «fils de catin!» (I,4), sa mère dit qu’«il n’est même

uniformes. Il fit environ deux cents pas. Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent près de lui, sans qu’il comprît davantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l’arrêter. C’était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d’où se dressait la silhouette d’une cheminée d’usine ; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des

que la description, loin d'être une pause dans le récit, doit être au contraire considéré comme un point névralgique du récit. Déjà, à propos de l'Assommoir, Zola disait : « c'est une œuvre de vérité, le premier roman sur le peuple qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple » - La voix du personnage se fait entendre grâce au discours indirect libre [« N'était-ce pas la Maheude (...) par le ronflement du ventilateur »]. La tournure interro-négative, l'expression hypocoristique (« les camarades

rappeler de la citation latine « si vis pacem, para bellum » : si tu veux la paix prépare la guerre. De la nouvelle idole Etat : « c’est le plus froid de tous les monstres froids ». L’Etat ment en disant « je suis le peuple ». (opposition totale avec Rousseau !!!). Chaque peuple a son langage de bien et de mal, car chacun invente ses propres lois. (Pascal « il demeure au-delà de l’eau). Tout ce que l’Etat a il l’a volé. L’Etat signe de la volonté de la mort. Etat inventé pour les H qui sont superflus

presse seront envoyés en Cours d’Assise. 2) retour à la contrainte. En 1871, l’Assemblée Nationale à forte majorité conservatrice est effrayée par la Commune. Pendant qu’à Paris s’épanouit une presse fédéraliste ( le mot d’ordre de Rochefort, le Cri du peuple de Vallès), la presse modérée s’est réfugiée à Versailles et encourage la répression. Tenaillés par la peur sociale, les députés conservateurs s’efforcent de nouveau de contrôler la presse: le cautionnement est rétabli, certaines ventes sont interdites

Valjean 2. Fantine II. Le paratexte (1 heure) 1. Le titre 2. L’illustration 3. La table des matières 4. La préface III. Étude de quatre passages (4 heures) 1. Le point de vue a) L’arrivée de Valjean chez Mgr Myriel b) Le traquenard de Jondrette 2. Le spectacle de la violence a) La fosse d’Ohain b) La mort de Gavroche IV. Travaux de groupes 1. Itinéraires de personnages (2 heures) 2. Dimension historique du roman (2 heures) V. Devoir en classe (2 heures) I. Contrôle de lecture Les élèves liront à la maison

Ses dessins sont dénués de tout artifice, il met en valeur l’essentiel et rejette toute anecdote, ce qui accentue le côté mélancolique et même poignant des scènes représentées. Il dénonce ainsi les inégalités sociales dans une France où les gens du peuple ont encore une vie très dure. Il expose pour la première fois son travaille au Salon de 1883. Casseurs de pierres => Seurat commence peu à peu à peindre. Il passe toute l’année 1883 à travailler sur son premier