Descartes Lien Passion Liberté

réalité. Le mot «LOGOS» est un le mot grec qui désigne à la fois le langage et la raison. Le langage c’est l’outil qui nous permet de parler de communiquer. La Raison c’est la faculté qui nous permet de comprendre. Les Grecques disent qu’il y a un lien entre les deux. Dans le langage il y de la connaissance et que peut-être s’il n’y a pas de connaissance il n’y a pas de langage. I- Dire et penser la réalité. a) La langue. Ferdinand de SAUSSURE (1857-1913), Ferdinand est un linguiste

étant le personnage du Désir, le corps désirant, Dom Juan donne au corps charnel une importance toute particulière : il est ostentation. Il rejoint ici la tradition littéraire baroque dans la stylisation d’une poétique corporelle faisant primer les passions sur l’esprit. Le fait est important dans un XVIIème siècle qui s’est donné pour finalité de créer le modèle parfait de l’honnête homme accordant toute la primauté à l’apparence sur l’essence. Volonté contradictoire en ce sens qu’il fallait qu’en

Quidelaconscienceoude l’inconscientgouvernelaviedel’homme ?L’hommeneserait-t-ildoncconscience?Sommetoute,l’homme serait-ilpartagéentrelaconscienceetl’inconscient ? Thèse :Noussommesconscients. Argument1 :L’hommeestparnatureunêtreconscient Exemple :Descartes« L’hommeestunesubstancedonttoutel’essenceoulanaturen’estquedepenser ». Argument2 :Laconsciencecommemoyendeconnaissancedesoi Exemple :Sartre«Laseulefaçond’existerpourlaconsciencec’estd’avoirconsciencequ’elleexiste.» Argument3 :Laconsciencecommeouvertureaumonde

Il y a quelque chose que je ne comprends pas avec la philosophie. HÉLOÏSE – Ah oui ! Et quoi donc ? VICTOR – Chacun peut penser ce qu’il veut, chacun peut dire ce qu’il veut. Chacun a sa manière de penser. Chacun ses opinions. ¨ CITATIONS 1 ET 2 Le lien entre « philosophie » et « chacun ses opinions » n’est pas explicité. On ne saisit pas ce qui est incompréhensible « avec la philosophie ». Problématique 1 Peut-on dire « à chacun sa vérité » ? ® Kierkegaard Le Concept de l’angoisse (1844)

science permet « l’accord des esprits » (expression kantienne) précisément parce qu’elle n’interprète pas. Newton dit : « je ne forge pas d’hypothèse » (« hypotheses non fingo »), en soulignant ainsi qu’il s’en tient aux faits. De la même manière, Descartes, dans le Traité du monde, formule très clairement cette exigence de la pensée qui cherche à se rapporter aux choses, et rien qu’aux choses : « quand je parle de la nature, je ne parle pas d’une déesse ». Les concepts scientifiques eux-mêmes doivent

pourrait apprendre à connaître ses sentiments, ses pensées et ses actes; il serait également capable de porter sur ceux-ci un regard réflexif. On pourrait donc penser que l'inactivité serait plus propice à cette découverte car elle laisse le temps et la liberté à l'homme. Mais le travail, par la réalisation de soi qu'il permet, et par les objectifs qu'il fixe et les moyens qu'il laisse à la disposition de l'homme, ne permet-il pas d'en apprendre encore davantage sur soi? Si le travail conduit à une forme

technologie n’est pas mauvaise en soi dans la mesure où elle est amorale et non immorale. Le progrès humanise l’homme car par le travail il se libère, conquiert tous les milieux, devient « comme maître et possesseur de la nature » suivant le rêve de Descartes, domine et sort de la nature et de l’état de guerre. Car la nature n’a pas non plus de valeur morale: elle n’a pas de finalité et elle est le règne de la violence, de la bestialité (jungle) et du désordre (catastrophes naturelles). Croire en la nature

connaissance de cause (…). » On voit nettement l’orientation de la morale utilitaire : elle privilégie les plaisirs qui supposent une éducation. Les plaisirs ne sont des plaisirs que lorsqu’ils ont été éduqués (“en connaissance de cause”). C’est dire que le lien est dorénavant étendu vers l’universel. Il n’y a pas de bonheur particulier, le bonheur est universel ou n’est pas. Et Mill écrit nettement que « le critérium utilitaire de ce qui est bon n’est pas le bonheur propre de l’agent mais celui de tous les

expliquer, ce qu'on admet déjà comme vrai.  Exemples : * - A-t-on le droit de refuser la vérité? présupposé = la vérité existe ! Ainsi, il ne faut pas dire qu'elle n'existe pas ! * - Doit-on renoncer aux passions? présupposé = on est capable de porter un jugement sur les passions et de s'en dégager. A noté que toutes les questions en "DOIT-ON" ou "FAUT-IL" présuppose qu'ON PEUT le faire. Il ne faut donc pas expliquer si l'on peut ou si l'on ne peut pas le faire mais si l'on DOIT et faire

l'existence de rapports différents au monde. Langage est la façon dont on pense le monde et non le monde lui-même , le langage ne renvoit jamais àc la réalité mais à un certain découpage de notre réalité sociale et politique.et non physique et naturelle. Lien décisif entre langage et pouvoir. II. Langage, vérité, justice 1)La rhétorique Les mots véhiculent un rapport au monde , découpent la réalité et vont tjr de pair avec une certaine frome de société.On peut dire des mots qu'ils sont des instruments