Descartes Méditations Métaphysiques 2

l’apparence. Ce qui m’apparaît avec telle ou telle qualité, comme le morceau de cire donné en exemple par Descartes dans les méditations métaphysiques, peut la perdre et m’apparaître autrement. La vérité au contraire doit me montrer ce qu’est la chose même : l’apparence ne fait que m’éloigner de cette chose. L’apparence, que Platon appelle l’ombre de la chose, nous éloigne de l’essence, donc de la vérité. 2. L’illusion. A la limite, les apparences sont le domaine de l’illusion. On pourra songer à n’importe

sortir du cadre de la pensée de Descartes en le discutant. En ce sens Malebranche est moins original, même s'il représente une forme d'évolution par rapport à la pensée de Descartes, notamment sur l'importance de l'union de l'âme et du corps. Les textes de Malebranche : • De la recherche de la vérité. (1674-1675) , auxquels s'ajoute des éclaircissements à la manière de Descartes et les Objections et les réponses aux objections faites aux Méditations Métaphysiques • Traité de la nature et de la grâce

La conscience Introduction 2 I. Approches épistémologiques 2 A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts

XVIIème et du XVIIIème siècle. | Dates | Œuvres : littéraire ; philosophique ; picturale ; musicale ; architecturale ; sculpturale ; scientifique. | AbolitionnistesOui ouNon | 1/ Descartes | 1596-1650 | Méditation métaphysiques (1641), Les principes de la philosophie (1644), Les passions de l’âme (1649) | | 2/ Paul Scarron | 1610-1660 | Le Typhon (1644), le Virgile travesti (de 1648 à 1652), Jodelet ou le Maître valet, (1645), L'Héritier Ridicule, (1650), Don Japhet d'Arménie, (1653) |

le doute comme attaché ou lié a la philosophie en général. De Socrate à Descartes et par les sceptiques, on retrouve ce doute dans leurs philosophies. Chez Socrate, le doute n'est que critique et remise en cause de tout ce qui présente le savoir. Chez les sceptiques, le doute est une forme interrompu. La nature de l'homme montre qu'on ne peut rien dire avec certitude, mais qu'on doit au contraire douter de tout. Chez Descartes, on retrouve la même forme de doute que chez les sceptiques et le socratique

l'impossibilité de posséder l'objet réel, on se satisfait de façon symbolique. Ainsi le désir peut trouver un exutoire dans la création, artistique ou littéraire. Les désirs tenus pour les plus nobles auraient donc des origines moins glorieuses. 2. Le désir, signe d'un manque Tout désir est toujours le signe d'une insatisfaction. Tout désir est le signe d'un manque. Si je désire quelque chose, c'est que je ne le possède pas. Entre savoir et ignorance, Amour est intermédiaire. Voici ce qui en

sait sur la Réforme et bien après que le Concile de Trente a tenté de mettre fin aux querelles sur la liberté et la grâce – en 1650, année de la mort de Descartes, Saint Augustin est un auteur vivant. Si son crédit avait été jusque là d’ordre théologique, c’est alors qu’il se sécularise. L’Augustinus de Jansénius (1640) et les Méditations métaphysiques (1641) déplacent les passions philosophiques. Adoptant les progrès scientifiques et techniques de l’époque, les plus éclairés des ecclésiastiques et universitaires

LA PROGRAMMATION MENTALE INTRODUCTION Il n’est pas anodin d’évoquer le monde des idées, la sphère de la pensée, les éléments d’une concentration mentale, les préceptes et les concepts de la métaphysique de la logique, je veux dire la rationalité. Il n’est pas désavantageux d’induire les éléments d’une morale pratique basée sur l’homme de la société, de parler de ses énergies mentales et physiques qui conditionnent la morale de la vie et la spiritualité. Enfin il n’est périlleux d’abandonner

3 Allégorie ou mythe ? 1.4 Origine du texte 1.5 La Cité à l'époque de Platon 2 L'allégorie comme exposé de métaphysique 2.1 L'accès au réel, le mouvement ascendant 2.2 Allégorie de la caverne et ontologie platonicienne 3 L'allégorie comme leçon sur les devoirs du philosophe 3.1 Le mouvement descendant 3.2 Autorité, soumission et pouvoir 3.3 Une allégorie intemporelle 3.4 Une allégorie du déni de réalité (René Descartes) 3.5 Une allégorie du conditionnement ? 3.6 Une allégorie de l'art pédagogique

de l’homme. Ainsi l’homme est conçu par Platon comme prisonnier de son corps, c’est-à-dire de ses désirs et de ses besoins Si l’homme est incapable de trouver le vrai c’est parce que son âme, son intellect, est entravé par la dictature du corps. I.2 La croyance implique des relations sociales d'autorité et de soumission. Cfest ainsi que la validité de lfargumentation rationnelle est jugée sur des qualités internes et non sur le statut de lforateur. La question de la vérité est donc toujours