Description Avec Personnification

cette longueur inhabituelle servant a définir le roi montre ses habitudes, et son entourages. Ceci appuyer par l’emplois de l’imparfait qui affiche la durée. « l’avait » ( v. 2 ) ; « tiendrait » ( v. 8 ) ; « étalait » ( v. 13 ). Mais dans cette description, il y a aussi des actions, qui stimule le récit, celle-ci sont exposées au passé simple; « voulut » ( v. 1 ) ; « Il manda » ( v. 2 ). Ensuite, vers 14, se pointe l’élément perturbateur; le Roi invite la cour a venir dans son palais. « En son Louvre

la condition ouvrière en pleine révolution industrielle. Cet extrait dépeint une scène populaire très réaliste dans un cabaret où un homme et une femme, Coupeau et Gervaise, se retrouvent. Cependant, le regard de l’auteur ne se limite pas a une description objective mais prend aussi une dimension romanesque et métaphorique. Nous allons donc étudier à travers cet extrait très réaliste de son roman, comment Zola, représentatif du courant naturaliste, ne se limite pas au réel mais nous conduit également

1° la mort ignorée Le 1er quatrain est empli d'insouciance : jeunesse, beauté et description d’un jardin. On peut distinguer les caractéristiques de : La jeunesse : à moi de mai à personnification de la rose (v.2) car jeunesse = vocabulairre humain parallélisme v 2 et v9 Fleur/Femme La beauté : à la rose = la plus belle des fleurs défi jeté au ciel v3 "grâce" v5 (personnification de la rose ) parallélisme v.5 et v.10 Fleur/ Femme 2° L’irruption de la Mort

ignorée Le 1er quatrain est empli d'insouciance : jeunesse, beauté et description d’un jardin. On peut distinguer les caractéristiques de : La jeunesse : -> moi de mai -> personnification de la rose (vers 2) car jeunesse = vocabulairre humain parallélisme vers 2 et vers 9 Fleur/Femme La beauté : -> la rose = la plus belle des fleurs ■défi jeté au ciel vers 3 ■"grâce" vers 5 (personnification de la rose ) parallélisme vers 5 et vers 10 Fleur/ Femme

hommes sont mortels".  -L'imparfait : Il nous renvoie à une action passée sans en préciser le début ou la fin. Il exprime une durée inachevée mais peut aussi traduire une habitude: "chaque jour, il rendait visite à son ami". C'est le temp de la description dans le récit et aux actions de second plan par opposition au passé simple.  -Le passé simple: Il présente une action passée de premier plan, c'est le temp de la naration.  -Le futur: exprime une action à venir qui a valuer de vérité générale

extrait du chapitre 2 de L’assommoir, d’Emile Zola observer différentes description de l’alambic. Nous avons une description faite de plusieurs points de vue étudié lors d’un premier paragraphe, une description réaliste ainsi qu’une description technique, étudié lors d’un second paragraphe, on peut également observer un registre fantastique que nous étudierons lors d’un troisième paragraphe. Zola utilise une description de différents points de vue, en opposant celui Gervaise, qui elle

allitération en 'd' et en 't' qui peut faire penser aux bruits que fait la vaisselle cassée. Texte C: Hyperbole du peuple: «superbe, irrésistible» le peuple est valorisé. Il y a une personnification de la nature: «la route devenue torrent roulait des flots vivants», «la campagne endormie s'éveilla en sursaut». Cette personnification donne l'impression que la nature participe à la révolte, comme si elle faisait partie du peuple: «Alors ce ne fut plus seulement la bande qui chanta: des bouts de l'horizon,

représentations qui convoquent tous les sens. Ou plutôt dans la description d’un objet d’une banalité déconcertante, dont il va bien vite s’écarter. Car ce poème en prose est une symphonie de perceptions, de mouvements et sensations, d’images. La réalité entraperçue à la lueur d’une bougie, c’est un autre monde, celui de la littérature. Dans un premier temps, nous étudierons le caractère inaccoutumé de cette description, puis nous nous intéresserons à la représentation allégorique,

1 " " voila pourquoi l.10" b) la description de l’apogée de l’épidémie • Omniprésence du pronom " On" • Imparfait de description • presence d'indicateur temporel de Tps qui montre la progression de la Peste " c'st au milieu de ces années là l.16, tout d'1 coup, jusque ici " 2) Une impression d'apocalypse la peste est présentée comme un fléau ravageur qui est aidé par le vent , qui s’étend peu a peu a l’assemble de la ville cst la description du haut du sommet cad l'atmosphère

également renvoyer à ce qui constitue notre humanité. Lorsque le poète énonce : « la terre est changée en un cachot humide » (v 5), il joue sur plusieurs niveaux : le champ lexical de la pluie, la transformation, « est changée », qui cohabite avec la personnification passive, le champ lexical de la prison, liant pluie et enfermement, Spleen et enfermement et par association, pluie et enfermement.  L’enfermement L’enfermement, ce serait aussi ce sentiment que le Spleen gagne les habitations, les refuges