Description Avec Personnification

Saccard se prêt à succomber à son portefeuille bourré d’actions. Opposition entre les 2 fils de Saccard. Saccard va faire affaire avec un banquier puis va voler une idée pour se mettre à part. Texte p451 : La Bourse : Milieu et personnages.  Description du milieu de la bourse. Observation et analyse Dans les notes sur la salle de la Bourse, on a l’impression que c’est sale, sombre, lugubre, et que ça l’est encore plus par temps de pluie (à cause de l’eau, de la boue et de l’humidité) Ils sont

Beaudelaire est un auteur classique, un poète qui passer par un grand nombre de courants le plus souvent contestataires comme le parnasse ou bien le symbolisme. Comment s'effectue le lien entre le poète et sa muse ? La muse malade 1)La description de la rousse: - champs lexicaux raccordés grace à la rime plate «  pauvreté » et « beauté » champs lexical de la pauvreté : «  les lourds sabots » « troués » …. Le champs lexical de la beauté : «  superbe habitt » « reluit encor » 2)la

2. Description Sentiments de tristesse, monotonie, solitude avec « pas un seul ne rit » (l.1), « cheminer seules » (l.3). Enfants, Jeunesse(« ces filles de huit ans » (l.3) + « Petits comme nous sommes » (l.15). Occupation(« ils travaillent » (l.10). Condition( « Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue » (l.11) alexandrin avec parallélisme. Idée contradictoire de l’enfant (insouciant, joyeux, qui joue, rêve, merveilleux…) (« doux êtres pensifs » (l.2). Circonstance de la description(« Il

gothique et du roman policier, Ferragus s’ouvre sur une description du Paris de la Restauration, qui fournit le cadre d’une double intrigue, amoureuse et financière. Ville de tous les contrastes, suscitant à la fois crainte et admiration, la ville fait l’objet d’une description réaliste mais que les accents lyriques du narrateur élèvent au statut de mythe.   I. Les mystères de Paris : incipit et suspens  1. Une position stratégique
Cette description constitue l’incipit du roman, ce qui donne à la ville

2e quatrain : arrivée de l’aube l 1er tercet : apparition de la nymphe (= la femme aimée). l 2e tercet : rivalité entre la femme et l’aurore, triomphe de la femme II. Mise en place d'un cadre enchanteur 1) Fuite de la nuit 2) l personnification de la nuit (« amassait », « fuyant », « chassait ») l métaphore de la nuit : la nuit rassemble son « troupeau d'étoiles » comme un berger rassemble ses moutons l l’enjambement entre le vers 1 et 2 et l'emploi de verbes d'action (« amassait »

appuie la notion du réalisme, les thermes techniques, la métaphore filée et la description. Nous retrouvons toute une panoplie de termes techniques qui encre le récit dans la réalité : « puits», « ouvriers », « la cage de fer », « un mineur », « charbons » et cetera. De plus, nous avons quelques métaphores dont une filée « d’un jaillissement doux de bête nocturne ». Et pour ladescription, Zola donne une description précise et objective de ce milieu souterrain, la mine est décrite dans ce livre

dramatisation de la description du lieu. L’accumulation de descriptions des nombreux éléments du décor comme une « table ronde », une « cabaret en porcelaine » et du « papier verni » est interprété comme une absence de cohérence dans le bâtiment. De même, l’énumération d’adjectifs péjoratifs nous fait ressentir le délabrement de ce mobilier « vieux, crevassé, pourri, tremblant, rongé, manchot, borgne, invalide, expirant ». Balzac varie les sonorités afin de donner à sa description une dimension poétique

verdure où chante une rivière » v.1 Même lors des nombreuses évocations et descriptions du soldat, la nature reste présente, elle entoure le dormeur. En réalité, le poète s'appuie sur la nature pour décrire le protagoniste : « Pâle dans son lit vert où la lumière pleut » v.8 Le deuxième quatrain est une illustration concrète de cette démonstration. En outre, le poète nous fait parvenir plusieurs personnifications de la nature : - «  où chante une rivière » v.1 - « Nature, berce-le chaudement »

vision manichéenne du monde qualificative des Antilles où tous les événements se rapportent au bien ou au mal est évoquée par une personnification métaphorique du Diable ce qui est typique de la psychologie antillaise ligne 25 et 26. Elle appartient également à une métaphore filée qui constituent le deuxième, le troisième et le quatrième paragraphe. La personnification du « monde méchant » par des paroles rapportées ligne 30 témoigne des événements qui peuvent arriver dans une vie. La fatalité

de son mari. Analyse Au travers de cette nouvelle qui se déroule sur une année , la narratrice décrit dans une lettre, le meurtre de son mari . La narratrice personnage utilise de nombreuses descriptions pour dépeindre la beauté de la nature, du printemps, en opposition avec des descriptions péjoratives de son mari comme pour justifier son geste. De plus, elle utilise des phrases nominales permettant au lecteur de s’imaginer la scène ; par exemple «  A chaque marche un fracas » ou bien «