Description D Un Lieu Sordide

sa chambre, en parlant de son « sommeil » au vers 5 ; mais le rêve fait durant la nuit l'a entraîné dans un « paysage » urbain merveilleux et grandiose comme le montre sa description : un paysage « tel que jamais mortel n'en vit » avec « un palais infini », « Des nappes d'eau [qui] s'épanchaient », « Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l'univers », « un océan dompté », sous « un tunnel de pierreries », paysage fait de splendeur et de démesure qu'il oppose, à son réveil, à « l'horreur

montrant les ravages dus à la misère et à l’alcoolisme. Le succès de l’Assommoir a été énorme, assurant la fortune de son auteur, le tout sur fond de polémique. Le sujet principal abordé dans ce livre est le malheur causé par l’alcoolisme. Le principal lieu de débauche est l’Assommoir, débit de boissons tenu par le père Colombe dont le nom est ironique car une colombe apporte la paix alors que ce dernier rend les gens violents et répand le malheur dans la classe ouvrière. Au milieu du café du père Colombe

étaient terribles et, comme ces hommes étaient anarchistes, c’est très probable que la raison de l’emprisonnement soit cette opposition au régime totalitaire de Franco. Ils sont condamnés à mort et ils doivent attendre leur sentence dans une cave sordide en guise de cellule. Ils doivent y passer la nuit et, grâce à l'usage du monologue intérieur, Jean-Paul Sartre nous fait vivre son désespoir, sa colère, son indignation, sa peur… On peut explorer le monde interne du personnage principal (Pablo) et

intérieur où tout est sale, nauséabond, délabré, écœurant. La création picturale et littéraire se tourne aussi vers ceux qui vivent dans ces cadres médiocres : ouvriers, artisans, prostituées, marginaux, représentés dans les aspects souvent les plus sordides de leur existence. Lorsque Flaubert évoque une scène de pillage de 1848, il souligne sans lyrisme ni totalité épique le déchaînement bestial d'une foule en colère. La volonté des écrivains réalistes d'imiter le réel et d'en rendre compte tel quel

permet de transformer la vie en destin, obéissant à une forme de fatalité ou de déterminisme : voir les échecs successifs jusqu’au suicide de Madame Bovary, la mort de Gavroche dans Les Misérables ou la description du suicide de Langlois à la fin d’Un roi sans divertissement qui transforme un fait sordide en apothéose épique : « Et il y eut, au fond du jardin, l’énorme éclaboussement d’or qui éclaira la nuit pendant une seconde. C’était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l’univers

un évènement tragique à eu lieu, « un garde nationale ivre ayant tuée par mégarde, ses collègues crûrent une révolte des prisonniers ; il y eu cent victimes. ». C’est à cet évènement que se rapporte le meurtre du père Roque dans la fiction de Flaubert. Ensuite, l’auteur nous décrit un lieu de Paris bien connu, les « Tuileries » l.2000, là ou la garde nationale a eu sont point de « stationnement » durant les émeutes. L’auteur offre ainsi, une narration fidèle du lieu et relie par son récit le crime

déjà assez étroit (ex : «des passages nets aux voûtes surbaissées ») , il y a donc déjà une idée d'espace réduit qui est présenté. Colin et le vieil homme arrivent à la pièce et il rentre , la pièce est petite ce qui nous plonge encore plus dans un lieu qui est étouffant, limité , les murs et le sol sont en verre ce qui confère à la pièce une certaine uniformité, il y a au milieu de la pièce un énorme massif de terre en forme de « cercueil » avec une couverture en laine à coté ce qui contribue encore

relatifs au moment, a l'époque, au lieu, au contexte, aussi bien socio-économique qu'historique. Prenons l'exemple d'Honoré de Balzac qui dans « Le père Goriot » nous plante un décors ultra précis, a la mode des écrivains réalistes de l'époque. Nous plongeant directement dans l'ambiance qu'il a voulu créer. Ou encore Jules Verne qui dans ses romans développe toujours de longues descriptions très détaillées, nous immergeant totalement comme dans « 20.000 lieues sous les mers », dans une scénographie

ridiculiser les clichés romantiques II / Le détournement de l’escapade En réalité, l’ironie féroce de Flaubert moque ce lyrisme exalté et détourne ces références romantiques pour en faire des clichés ridicules. a- Un cadre trivial Dans la description des lieux, Flaubert introduit des notes dissonantes : il juxtapose des connotations contraires qui rompent l’harmonie du moment, et en révèle ainsi la facticité. • beaucoup de bruits désagréables → le « maillet des calfats contre la coque des

divers sentiments comme le souvenir, le regret et la mélancolie. Paris : c’est le lieu de tous les possibles, lieu de rencontre infinie. Baudelaire est un « artiste voyageur » de la capitale. La ville est en train de changer : c’est le Paris du second empire, théâtre des grands travaux d’Haussmann (1853 à 1870).Nous verrons en quoi cette section présente une vision de la ville de Paris ? Nous analyserons en premier lieu une place de la ville dans le recueil et la vie artistique de l’époque, puis dans