Description D Un Lieu Sordide

- L'opposant : obstacle ou adversaire du sujet dans sa quêteCoupeau, Lantier mais surtout l'alcool et l'hérédité.  [revenir en haut] |   |   |   | Schéma narratif *** - Situation initiale : elle définit le cadre de l'intrigue (lieu, époque, personnages). Ces éléments sont principalement présentés dans l'incipit (premières pages).Les lieux son présentés dans les deux premières pages. On peut relever le " Boulevard de la Chapelle " et " l'hôtel Boncoeur " (p 1-2). La première indication

philosophe grec du IIIe siècle. TEXTE 1 : Villon : Ballade (/ balade) texte composé de 3 dizains + 1 quintil le dernier vers de chaque strophe est répété comme un refrain 0-Un thème commun : la mort et la décomposition du corps MAIS 1-description très crue et insupportable des corps pourrissants (qui fut probablement inspirée par le spectacle macabre du charnier des innocents) qui produit un fort contraste avec l'évocation des thèmes religieux. Les pendus exhortent d'abord les passants à

ou cinq mois ; chap.8 à 11 environ trois mois... Des ellipses narrative sont présentes (au séminaire), ainsi que des accélérations (lors du retour de Julien à Verrières, les deux coups de pistolet dans l’église). On trouve aussi des pauses (la description de la ville de Verrières, la négociation entre M. de Rênal et le père de Julien). Les thèmes et enjeux du livre L'auteur s'inspire de sa vie ainsi que des sujets d’actualité de son époque pour écrire ses romans. Cette œuvre s'inspire en particulier

le récit. L’action de Boule de suif s’étale sur cinq jours et le sacrifice de la prostituée, au quatrième jour, apparaît comme l’épisode fondamental du récit. Les acteurs : ils sont présentés selon la situation dans laquelle ils évoluent. Leur description se limite à leur physique et à quelques traits caractéristiques de leur comportement face à « l’élément » perturbateur : leur psychologie est à peine évoquée. Dans Boule de suif, ils sont dix, huit sont présentés en couple et deux individuellement

Trompe-la-Mort est son surnom, est dénoncé à la police à la fin du récit. Il n’en demeure pas moins le héros de l’énergie. Il reste encore à évoquer tout ensemble Mme Vauquer et sa pension, qui par leur crasse commune et sordide, ont fait la réputation du roman. La longue page de cette description, digne d’anthologie, donne une image répugnante et effrayante de cette peinture de mœurs, où se révèle, dans toute sa mesure, complexe et grouillant, le réalisme de Balzac. Le Père Goriot, Balzac$ Biographie

Niveaux de langages adaptés aux situations Le registre réaliste fourmille de détails authentiques afin de produire un effet de réel. Ces détails peuvent être empruntés au sordide ou simplement à l'univers familier. Ce regard témoigne souvent d'un certain pessimisme, voire d'une fascination morbide. Épanoui dans la description minutieusement référentielle (temps, lieux), le registre réaliste se caractérise, dans le roman, par le souci d'une langue authentique, parfois familière, et par l'emploi

et la difficulté mais surtout la beauté, qui plait et suscite l’admiration et le mal, synonyme de nuisance, contraire à la morale. On peut alors se demander comment Baudelaire réalise-t-il son projet d’extraire la beauté du Mal ? En premier lieu, nous analyserons l’alchimie poétique caractéristique des Fleurs du Mal, puis nous évoquerons la difficulté de la mission du poète d’extraire la beauté du mal. Enfin, nous étudierons la conception de la Beauté et du Mal de Baudelaire qui explique son

convenances » ; « L’hôpital ? Pas l’hôpital ? Que veut-il ? », le passage est écheveau d’idée où la moral et le bon sens n’ont aucune place. Les hommes offrent une réaction étonnante face à l’hôpital, pudique, les pauvres, ne veulent pas se rendre au lieu des maux pour ne pas révéler leur misère physique honteuse, en dépit du bon sens. Au-dessus de tout cela, « la sage-femme méprisait tout le monde. », le peuple erre dans la turpitude, on est complètement dégouté de cette vision et on voudrait que Céline

d’un héros intellectuel (l1-11) 1. La description d’un univers viril. (l. 1-5)2. Un caractère rêveur. (l. 5-8)3. Le contraste entre Julien et les siens. (l. 8-11)II. La brutalité comme communication filiale et représentation sociale (l. 12-25)1. La marginalisation de l’homme d’esprit. (l. 12-14)2. Le mépris et la véhémence d’un père. (l. 14-22)3. Le retour d’une réalité honnie. (l. 23-25)I. La marginalisation d’un héros intellectuel (l1-11)1. La description d’un univers viril. (l. 1-5)· Utilisation

hommes sont à l’intérieur d’une maison de campagne, habituellement considérée comme un lieu favorable au repos et à la communion avec la Nature, et Cyril propose d’aller profiter du beau temps en sortant dans le jardin. Mais pour Vivian, la Nature ne procure que frustration et inconfort. Plutôt que de s’aventurer dans la nature hostile du jardin et l’herbe inconfortable, Vivian préconise la réflexion en un lieu qui lui est propice. Il impose dès le début sa supériorité intellectuelle et sa force de