Description De La Maison Vauquer

.La pension Vauquer : habiter Paris au XIXe siècle Introduction I. Architecture et classes sociales II. La pension Vauquer III. Les relations avec le monde extérieur IV. Visite guidée Conclusion Introduction : La pension Vauquer est un établissement situé sur un endroit à l’écart de Paris, dans le faubourg Saint Marceau, sur la part gauche de Paris. Elle représente un microcosme où on reconnaît facilement les inégalités. C’est une société qui abrite

Texte complémentaire : Description de la pension Vauquer dans Le Père Goriot de Balzac La maison où s'exploite la pension bourgeoise appartient à madame Vauquer. Elle est située dans le bas de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, à l'endroit où le terrain s'abaisse vers la rue de l'Arbalète par une pente si brusque et si rude que les chevaux la montent ou la descendent rarement. […] La façade de la pension donne sur un jardinet, en sorte que la maison tombe à angle droit sur la rue Neuve-Sainte-Geneviève

principalement a cause de l’amour obsessionnel qu’il a pour ses fille. L'amour paternel abandonne toute morale le père Goriot est le type du père qui adore ses filles. B) Vautrin alias "Trompe-la-Mort" : Il s'est installé dans la maison Vauquer en 1815, sous le nom de Vautrin, prétendant être commerçant. Il est décrit ainsi : « Il avait les épaules larges, le buste bien développé, les muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets

submergé par la réussite, et finalement terrassé par l'incapacité de se donner des limites. LE PERE GORIOT, 1835 A Paris, fin 1819, dans une rue misérable qui descend de la Montagne Sainte- Geneviève vers le Quartier latin, madame Vauquer tient la pension qui porte son nom. Ses pensionnaires sont des êtres mesquins comme Poiret et mademoiselle Michonneau, ou sans éclat comme la jeune Victorine Taillefer. Trois personnages émergent de cet univers médiocre : Eugène de Rastignac, un

NARRATION ET DESCRIPTION DISTINCTION DANS LE CADRE NARRATIF Tout récit comporte, selon G. Genette : - une part de représentation d'actions, d'événements : c'est la narration, - une autre part de représentation d'objets, de personnages : c'est la description. La narration présente surtout des déroulements dans le temps, la description des arrangements dans l'espace. La description d'un personnage au physique et moral devient portrait. On identifie, dans un texte littéraire

REGISTRE REALISTE : description de la pension Vauquer dans Le Père Goriot de Balzac (1885) A la nuit tombante, la porte à claire-voie est remplacée par une porte pleine. Le jardinet, aussi large que la façade est longue, se trouve encaissé par le mur de la rue et par le mur mitoyen de la maison voisine, le long de laquelle pend un manteau de lierre qui la cache entièrement, et attire les yeux des passants par un effet pittoresque dans Paris. Chacun de ces murs est tapissé d'espaliers et de vignes

Idées secondaires Arguments Tout d’abord, la description de la pension est destinée à procurer au lecteur un effet de réel. D’une part, le narrateur assure un rôle de guide, en interpellant directement le lecteur. Interpellation à la deuxième personne du pluriel. (l-6) Le lecteur a l’impression tangible de suivre le narrateur dans la visite de la maison. (l20-21). Le narrateur s’excuse de ne pas développer la description+ verbe expliquer et énumération de qualificatifs :

1 - 50 Sandra García Cruz « Le père Goriot » Ce livre commence avec une description détaillée de la pension de Madame Vauquer. C'est une pension de famille situé à Paris en 1819. Pour l’auteur, c’est important de montrer le personnage et les lieux où elle vit. Le décor a été modelé par le personnage et le décor produit un effet sur ce personnage: c'est comme une interaction entre le décor et le personnage. Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à

Le Père Goriot de Balzac Développement des clefs de lecture Par Yves Bomati Petits Classiques Larousse - 1 – Le Père Goriot de Balzac Madame Vauquer, une femme qui a eu des malheurs Première partie, Une pension bourgeoise. De « Cette pièce… » à « … ce qu’il était possible de souffrir », p. 26-27. Compréhension La présentation d’un personnage • Observer la continuité entre ce texte et le précédent (temps, décor, atmosphère…). La continuité entre ce texte et le précédent est manifeste

le roman révèle t’il la cruauté implacable de la société qu’il met en scène. Question 1- Etablissez le schéma narratif ainsi que le schéma actantielle du roman. Le roman se passe à Paris en 1819 dans une pension miteuse qui porte le nom de Maison Vauquer. Dans ses murs se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier. Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages