Description Lieu Merveilleux

I. Cet extrait a une apparence de conte merveilleux. A En effet on remarque la présence de formules traditionnelles de conte. -Tout d'abord Voltaire a recours à la formule "Il y avait en Vestphalie" (l.1) pour débuter son récit. Il l’inscrit de cette façon dans un genre codé auquel il le rattache et à partir duquel le lecteur pourra mesurer l’écart. -De plus cet effet est intensifié par le milieu riche: l'histoire se déroule "dans un château" (l.1) lieu emblématique de ce genre littéraire. -De

Ridicule -> un nain - Il décrit Paris comme un champ de bataille, comme une bête, un monstre, un être humain -> personnification, mythique, écriture épique - Saccard très violent - Descriptions de la réalité -> projets d’Haussmann -> passage historique - Pièces de vingt francs qui tombent du ciel -> le merveilleux, métaphorique, attention aux couleurs, à l’esthétique picturale -> rivalise avec la peinture impressionniste - Il défit Paris - Il traite sa femme comme un objet (Angèle) - Il est

délibération finit avec un « Il convient d’en rester là », ils veulent laisser passer pour cette fois et que Ganelon serve le roi « désormais en toute fois ». L’unique personne qui s’oppose au résultat c’est Thierry.9. Pinabel semble le plus fort par des descriptions comme « Il est grand et fort, vaillant et agile », « est fort, ágil et léger » ou aussi avec « tu es très preux, tu es grand et forte ». Moralement on pourrait dire qu’il tient sa parole toujours, par exemple quand il dit « je veux soutenir toute

lyrique sa douleur, son déchirement que provoque l'absence de sa femme : «Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie», «la mort à rompu l'équilibre du temps». On a pu voir que la souffrance, la douleur inspire beaucoup le poète. La poésie est donc un lieu où fréquemment l'auteur évoque ses états d'âme et ses souffrances. Mais tous ces poème ont finalement le même objectif : libérer, soulager le poète par les mots, et lui permettre d'oublier et de dompter son mal en faisant de lui un chef d'oeuvre.

Cornouaille. Les noms des lieux et des personnages sont de consonance bretonne (Gorre, Logres, Keu, Gauvain...). Enfin, Perceval s'inspire de l'esprit celte par la féerie et le magnétisme du rêve ; la littérature celte se caractérise par le goût du merveilleux, de l'étrange, de l'incompréhensible. La mythologie celtique introduit l'idée d'un "Autre Monde"(pensez au château du Roi Pêcheur, mais aussi au château des Reines !), séparé du monde réel par la mer ; ce sont des îles, au-delà de l'horizon

Tournée en dérision :  - pédanterie     * patronyme[nom de famille] ridicule : Thunder-ten-tronckh     * n'admet pas sa pauvreté - l'attachement aux privilèges : chasse, chapelle privée  - l'attachement à la hiérarchie : " que 71 quartiers " (au lieu de 72) - l'inégalité - la Prusse (il avait fait un séjour chez Frédéric II et s'était fâché avec lui)     *Westphalie    *"nous mangeons du porc toute l'année" = vengeance - les femmes : misogynie[deteste femmes] = satire facile    * portraits

à destination de ses lecteurs. Si, dans un premier temps, il recourt au registre merveilleux pour décrire l'utopie qu'est la Bétique, il se livre par la suite à une critique satirique de la société de l'époque, visant à conduire le lecteur à adopter une nouvelle conception du monde et du bonheur. Dans tout le premier paragraphe, le but de Fénelon est de dépayser le lecteur par la description élogieuse d'un lieu utopique voire mythique qu'il nomme « la Bétique » Tout d'abord à la ligne 5, Fénelon

antanaclase, chiasme, paronomase…). Utilisation de rythmes ternaires pour créer des moments oratoires équilibrés après l’expression vive des sentiments. Recours à des formes incantatoires (anaphores, allitérations, paronomases). Le goût pour des descriptions vives, capables d’ébranler l’affectivité du public (pleurs, rires). Cette volonté de persuader à tout prix peut sombrer dans la manipulation : le locuteur cherche à prendre le contrôle de son auditoire en l’affolant (en jouant sur ses peurs ataviques

et artistique apparu en France et en Belgique vers 1866, en réaction au naturalisme et au mouvement parnassien). Le thème est la description du jardin trois ans  après lors d'une promenade matinale. La mémoire est sollicitée, il y a un retour sur le passé. Il est donc question du temps qui passe, le temps éphémère qui change tout.   II. Description Il y a la description du parcours du promeneur, son entrée, son trajet qui est représenté par un rythme harmonieux. Il y a des vers amples représenté

France. Quand Augustin Meaulnes (17 ans) arrive en pension chez lui, François a enfin un ami. Quelque temps après, Meaulnes fait une fugue de trois jours. Il raconte son aventure à François: un lieu mystérieux, un peu comme un rêve, un château, Yvonne, une très belle fille, un mariage qui n'a pas lieu, une fiancée qui s'enfuit.... Quelques semaines après, un bohémien arrive dans la classe des deux amis. C'est le frère d'Yvonne, Frantz, le fiancé qui a perdu sa femme. Cela rappelle à Meaulnes