Description Paysage

une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le passage, et la succession des paysages différents (anaphore de "j'irai par", énumération des éléments de la nature "par la forêt", "par la montagne"). On peut noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire suivi. Dans la strophe 3 le changement de paysage (il devient maritime et fluvial, ce que suggèrent

écrits lors de la longue escapade en Belgique des deux amants. Le paratexte permet de penser que le poème renvoie à une expérience personnelle de l’auteur. Le titre du recueil insiste, avec le mot « Romances » sur la musicalité, et la section « paysages belges », sur le pays. Le poème comporte sept strophes, composées de 4 vers de 4 syllabes (tétrasyllabe). Ce n’est pas une forme fixe. Les rimes sont embrassées. La première et la dernière strophe se répondent : la composition est circulaire. Ces

descriptif et méditatif. Les deux schemes dont nous avons parlé y sont annoncés tantôt alternativement, tantôt simultanément. L'auteur situe ses héros chacun par rapport à l'autre, et tous deux par rapport à la société dont ils sont issus. Les descriptions de la nature fixent le décor extérieur mais dévoilent en même 3. MC, p. 115. LECTURE DE « MARIA CHAPDELAINE » 153 temps des états d'âme. Le naturel, la vraisemblance, la banalité même des discours et des faits rapportés laissent sourdre

métaphore du vers 9 ("l'or du soir qui tombe"). Le voyage occupe ainsi une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. La progression dans l’espace est exprimée par une série d’anaphore : "j'irai par", "par la forêt", "par la montagne". On peut noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire suivi. Dans la strophe 3 le changement de paysage souligne indirectement la progression temporelle. Le mot " tombe " marque la fin du chemin, ce qui reste inattendu. L'itinéraire

1° Présentation des documents. a) Le document 1 rédigé par un historien « décrit de façon impressionniste » les changements intervenus en France depuis 1946. Le titre « changement de décor » fait implicitement allusion aux nouveaux paysages engendrés, produits, par ces mutations : le passage d’une France au sortir de la guerre (« 1946 ») mais encore marquée par une vieille et profonde ruralité à une France de plus en plus urbanisée « quarante ans plus tard », soit en 1986. b) Le document

levant, fut présentée lors de la première exposition des impressionnistes en 1874. En 1873, après son emménagement à Argenteuil, il peint le tableau Les coquelicots qui représente la campagne environnante. Description de la toile les coquelicots : .Sur cette toile on peut observer un paysage, il s'agit d'un champ de coquelicots. Au premier plan, deux personnages sont présents: une femme avec une ombrelle, vêtue d'une robe bleue-grise et noire. Elle appartient certainement à la bourgeoisie. L'enfant

la photographie, c’est l’obscurité, c’est la chambre obscure. Comme je vis dans cette obscurité, c’est tout à fait normal que je m’occupe de la photo. » Un homme qui ne voit pas nous révèle la beauté d’un corps nu allongé à même le sol, ou des paysages slovènes. Preuve que l'espace se perçoit plus qu’il ne se voit et donc possède un réel sens pour les non-voyants. L'aveugle est privé de la vue, La vue représente 80% des informations de notre perception (en tant que voyant) mais on possède 4

La Chartreuse de Parme Un paysage construit autour du point de vue de la Comtesse C'est un paysage pittoresque qui nous est décrit. La description repose sur un souci du détail et du réalisme que l'on peut voir à travers la toponyme : « lac de Côme, le château de Granta, la villa Melz, lac de Genève » qui donne une impression de réalité au paysage/illusion de réalité. Mais c'est également un paysage idyllique et sublimé. Il y a une élévation du lac à une autre vie. Une gradation successive

personnel de l’expérience et son caractère lointain explicités par le titre. Les quatrains sont consacrés à une présentation des paysages, toute en lumière, musicalité et mouvement ; les tercets, ds la même ligne d’harmonie, évoquent les caractères de la vie exotique heureuse. Le sonnet se termine cependant sur le rappel d’un malaise : toute vie est douloureuse et la beauté des paysages ne compense que partiellement les chagrins indéfinissables du spleen. Nous verrons tout d’abord tout d’abord comment s’exprime

caché ». Commentaire: Vidéo « Passenger » : 5min35 Description : Première partie : la scène se passe dans un train où nous pouvons voir une femme assoupie ou endormie. L'écran va se transformer en triptyque, puis tour à tour d'abord à gauche, l'apparition du paysage qui défile puis le panneau de droite. Au centre, un {text:soft-page-break} gros plan sur le visage de la femme. Deuxième partie : Nous pouvons toujours voir le paysage qui défile aux extrémités du plan vidéo mais au centre l'artiste