Description Paysage

sur les paysages et descriptions du monde extérieur. Lecture du texte. Caractérisation du texte. Jeanne prend conscience de la perte de sa jeunesse et des rêves auxquels elle croyait, sentiment que le bonheur et sa jeunesse sont terminés. Ce passage ne cesse de nous renvoyer aux espoirs qu’elle perd, malgré tout, peu à peu. On pourrait donc dire que le sujet principal abordé par le texte serait la désillusion. Le texte est de type narratif et comporte de nombreuses descriptions lors

est difficile de faire la différence entre le réel et l'irréel. De plus, Supervielle dépeint un paysage sud-américain, qu'il met en constante opposition avec un paysage européen. Quelle est réellement la visée du poète à travers la description de ces deux paysages ? N'oublions pas que Supervielle est un poète moderne et qu'il ne va pas seulement se contenter d'une comparaison entre deux paysages différents. Grâce à son habileté, il décrit à travers ce poème de prime abord ordinaire, les mœurs

représenté par le paysage. Un espace tangible, qui permet notamment d’identifier les relations entre le milieu biophysique et son environnement humain, et donc de s’interroger sur le degré de domestication de la nature par l’homme, ainsi que sur la manière dont les groupes sociaux sauvegardent ou dilapident le patrimoine naturel mis à leur disposition. La géographie a été et demeure une science des yeux, dont le but est de faire voir. Mais l’espace ne se réduit pas au paysage. Il existe en effet

Fabrizio » ( regard subjectif du personnage principal - « la Sicile » ( pays, région de l’Italie, paysage... ( problématique : le sujet invite à s’interroger non sur le cadre de l’action, mais sur la façon dont le Prince le perçoit. Il fait référence aux nombreux passages où le Prince observe la Sicile, la décrit, parle d’elle, l’explique, etc. ( le regard d’un homme sur un paysage, et ce que ce regard nous apprend de lui ( ce que n’est pas le sujet : une réflexion sur l’aristocratie

indirectement . I )La description de la navigation 1.Le paysage maritime Il s'agit 'une évocation d'un voyage maritime ,dans la strophe un le narrateur évoque sa position allongée dans la cabine ,il ne se rend pas sur le pont .La strophe six évoque indirectement le pont "oh! Sur le pont ,là-haut, le vent long et féroce ,le vent "(vers37). Il n'y a pas de description direct du spectacle de la mer pourtant le narrateur décrit et ressent les aléas de la navigation et la variété des paysages .Dans la strophe

notoriété. Il s’intéresse aussi à l’exploration de l’odorat dans Le Miasme et la Jonquille. L’odorat et l’imaginaire social, XVIIIème-XIXème siècles qui constitue un de ses ouvrages majeurs mais encore l’ouïe dans Les Cloches de la terre où il peint le paysage sonore dans les campagnes françaises du XIXème siècle. Et ici dans ce qui va être le sujet de notre propos Le territoire du vide : l’Occident et le désir du rivage où il s’intéresse aux différentes métamorphoses du regard. A noter aussi que l’autre

Pour les romantiques, la nature est un échappatoire: associée à la solitude, elle leur sert à fuir les turbulences de la société pour se retrouver face à eux-mêmes. C'est aussi un miroir de Dieu; pour Chateaubriand et Constable, la splendeur d'un paysage manifeste la puissance divine; Victor Hugo lui, fait de la nature non plus un reflet de Dieu, mais Dieu lui-même. Quand à Byron, la nature lui évoque la lumière et les forces obscures de la vie. Si la dimension spirituelle prend tant de place chez

dans une longue phrase, empli de douceur, la Route se fait "calme et rassurante". Mais bientôt surgissent des signes d'une guerre qui a dévasté le pays: "les signes de l'incendie, du pillage et de la mort violente n'y manquaient pas". La vue de ce paysage emplit alors le narrateur d' "un malaise physique à la fois diffus et violent". Quelques traces humaines existent: ce sont celles d'"un dépôt humain " composite et disparate composé de nomades, de miliciens et de cadets qui avaient pris "congé de

couleurs "sombre" hostiles. On trouve donc deux visions antithétiques, l'automne et le spleen. 2/ Evocation de la nature au printemps et déception Cet extrait est guidé par l'hypallage, la nature est le reflet des sentiments. On remarque dans cette description des rythmes ternaires presque emballes: "la même campagne, la même herbe, les mêmes arbres", qui se retrouvent dans les circonstanciels: "ou flambaient, ou saignaient, ou rayonnaient" et les compléments du nom "de vie, d'aromes, d'atomes" Ce souvenir

but de représenter et d'illustrer les différents textes du groupement de la séquence Jardins, Ruines et Paysages au siècle des lumières, avec des tableaux ou des gravures ( réalisés entre 1700 et 1900 ) qui correspondront le plus possible au(x) thème(s), aux idées et au(x) contexte(s) de ces extraits … Ces tableaux ( une douzaine en seront retenus ), seront accompagnés d'une brève description et d'une comparaison analytique entre les « représentations artistiques » et leur texte correspondant …