Description Thenardier

effet à la page 133/134, vous dites : « Tiens c'est pour toi. L'étranger paraissait avoir les yeux pleins de larmes. » On voit bien que vous avez fait en sorte que ce moment soit triste et émouvant. Par contre, je n'ai pas aimé le moment où la Thénardier envoie Cosette chercher de l'eau au puit en pleine nuit. Par exemple à la page 117, vous écrivez : « La peur lui était revenue, une peur naturelle et insurmontable ». Cette phrase montre bien que la petite fille a tout le temps la peur en elle et

objets précieux. Il dégage le corps d'un officier pour lui voler sa montre. Celui-ci n'est que blessé et est persuadé que l'inconnu lui a sauvé la vie. L'officier reconnaissant, le colonel Pontmercy, demande son nom à son sauveur providentiel : c'est Thénardier. Le sauvetage de Toulon 1823. Emprisonné suite à son arrestation par Javert, Jean Valjean était parvenu à s'évader. Mais il a été repris. Il a été condamné aux travaux forcés à perpétuité et se retrouve au bagne de Toulon. Lors d'un accident sur

Rédaction Cosette est une petite fille mince est jolie. Depuis l'âge de trois ans, elle vit en pension chez la famille Thénardiers, des aubergistes. Elle est maltraitée et battue. Comme chaque soir, elle se rendait à la source d'eau afin de ramener de l'eau. Elle s'apprêtait à rentrer, elle était seule, elle avait peur. Cosette porter un seau, il était très lourd, le poids était insupportable. Elle avait de plus en plus peur. Soudain le poids du saut semble aussi léger qu'une plume elle leva

Elle les trouvait dans la rue, elle les retrouvait dans son escalier » (l.34), couplé à l'imparfait d'habitude. Elle est harcelée de toutes parts, ce que confirme la métaphore « elle se sentait traquée » (l.45), la comparant à un animal chassé. Le Thénardier contribue également à cette atmosphère décourageante, bien que cela ne soit pas visible dès le début. En effet, il commence tout d'abord par des termes bienveillants tels que « bonté », pour mettre Fantine en confiance puis continue en la brusquant

permet au lecteur une grande variété des genres. L'apologue (fables au XVII éme siècle,), à travers une histoire merveilleuse etmouvementée, délivre un message. Pour Hugo, « le théâtre est une tribune ». Certains romans ont une portée social ( Germinal de Zola ). Le recours à la fiction permet de varier les types depersonnages : les bons et les méchants s'opposent ( Jean Valjean et Javert dans Les Misérables ), l'auteur peut choisir des personnages proches ou fantaisistes (comme les animaux dans

des activités et des jouets différents pour les filles et les garçons : -Les petites filles ont de beaux jouets. Elles jouent avec des poupées de porcelaine, des poupées articulées, des dînettes… C’est en l'occurrence le cas des petites filles Thénardier qui , bien que leur parents ne soient pas particulièrement aisés, possèdent des beaux jouets et des jolis habits. En effet, c’est pour pouvoir subvenir pleinement aux besoins et envies de leurs deux petites filles que les aubergistes ont d’abord

créer des industries employant beaucoup de chômeurs. C’est dans la ville de Montreuil que se rendit Fantine , après avoir confié son enfant  Cosette  aux Thénardier . Elle trouva du trouva du travail dans un des ateliers de M. Madeleine ce qui lui permit de payer la pension de sa fille Cosette qu’elle croyait entre de bonnes mains. Mais les Thénardier au lieu de prendre soin de Cosette l’utilisèrent plutôt comme leur bonne à tout faire. Malheureusement, Fantine fut renvoyée de son boulot. Afin de survivre

jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent des personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la miséres de ce siécle, misérables eux-même ou proche de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier ( dont Eponine et Gavroche ) ainsi que le représentant de le loi Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Jean Valjean, ayant purgé plusieurs années de bagne pour avoir volé

un matelot, Valjean tombe à la mer. Comme on ne retrouve pas son corps, on le croit mort et on ne le recherche plus. Cosette, envoyée en pleine nuit par la Thénardier pour chercher de au fond des bois, le rencontre. Il l'aide à porter son seau jusqu'à l'auberge où il s'arrête pour passer la nuit. Le matin suivant, il persuade les Thénardier de lui laisser emmener Cosette en la leur rachetant 1 500 francs. L'homme et la fillette partent pour Paris. Valjean et Cosette se réfugient dans l'un des quartiers

Fantine, mère célibataire et couturière appartient au petit peuple. Au cours du temps elle subit des problèmes d'argent, car elle doit des dettes au fripier. Elle est forcée de laisser sa fille, afin de pouvoir trouver du travail, en garde chez les Thénardier, un couple de gents malhonnêtes et rusés. Ils vont lui soutirer le plus d'argent possible en prétextant des maladies de Cosette sensées nécessiter des soins et des médicaments coûteux. Pour pouvoir avoir l’argent demandé, Fantine va vendre ses