Description Thenardier

(document B) de « Fantine jeta son miroir par la fenêtre » à la fin du texte, à partir du parcours de lecture suivant : – Comment Hugo montre-t-il que la société pousse inévitablement Fantine à la prostitution ? – Quel effet produit sur le lecteur la description des différentes étapes de la déchéance matérielle, physique et morale de Fantine ? ©HATIER ■ Dissertation (14 points) Pensez-vous qu’il est plus efficace de défendre une cause ou de dénoncer une injustice à travers un personnage inventé, comme

de la chute de Fantine (sainte →prostituée). Accuse la société responsable de cette dégradation et défend la femme : - se fait l’avocat de Fantine (traque par les créanciers, fripier, Thenardier…) -violence du chantage (« crèverait ») -registre de langue (familier, vulgaire) contraste avec description de l’enfant -société marchande qui exploite les sentiments des mères pour leur fille -pauvreté en chiffres (champs lexicaux travail et argent, cadences de travail s’accélèrent alors

passe en juin 1932 durant la période des trois glorieuses. Une grande partie des personnages du roman sont rassemblés sur une barricade pour manifester contre le roi Louis Philippe. Le passage raconte la mort de Gavroche, l'enfant mal aimé des Thénardiers. Comment l'enfant devient-il le héros épique symbole de la liberté qu';on assassine ? Nous allons d'abord étudier le caractère narquois de Gavroche puis son côté héroïque Un spectacle à la fois drôle et angoissant

fiction et la réalité. Les descriptions effectuées sont si précises que l'on ne peut pas croire à un être fictif comme celle du personnage de Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac « il avait les épaules larges, le buste bien développé, des muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d'un roux ardent. Sa figure rayée par des rides prématurées offraient des signes de dureté. » Une telle description ne peut être celle d'un personnage

XIXème siècle. Avec Fantine, Hugo nous montre que la société n’acceptait pas les mères célibataires et évoque même leurs difficultés à gagner leur vie avec un enfant à garder. Pour cette raison, Fantine a dû quitter sa fille et la laisser chez les Thénardier qui acceptent de s’occuper d'elle tant qu’elle enverra une allocation mensuelle : “oui ; mais il faudrait cacher sa faute. Et elle entrevoyait confusément la nécessité possible d’une séparation plus douloureuse encore que la première. Son cœur se

la connaissance de la petite Cosette. Un couple d’aubergistes, appelé les Thénardier, gardent et exploitent la petite fille. Dans le passage proposé, celle-ci est obligé d’aller puiser de l’eau la nuit, à l’orée de la forêt. Elle s’aventure à l’intérieur, et c’est cette expérience que le narrateur décrit avec précision. Problématique : Comment le narrateur nous fait-il passer d’une banale peur enfantine à la description d’un paysage fantastique ? Dans un premier temps, nous étudierons le récit

détail à la scène, de l'épisode à l'ensemble du roman. Les Misérables imposent à la mémoire de grands volumes d'ombres dans lesquels sont enfoncés les personnages : la rencontre entre Jean Valjean et le petit Gervais (une version de la chute), Thénardier à Waterloo (une version du mal), le jardin de la rue Plumet (une version idyllique), etc., comme si Hugo voulait démultiplier à l'infini la scénographie de l'émergence et du retrait, comme si le roman devait être l'effort pour ouvrir un fragile

jure de protéger Cosette. Il s’échappe finalement pour se rendre à Paris. Cosette devient servante chez les Thénardier, couple diabolique qui s’enrichit en détroussant les morts tombés sur le champs de bataille de Waterloo. Valjean de son côté a été rattrapé par Javert, mais s’est échappé une nouvelle fois en faisant croire à sa mort par noyade. Il sauve Cosette de la tyrannie des Thénardier, et se réfugie avec elle dans la communauté de l’Adoration Perpétuelle, rue de Picpus. Sous le nom de Fauchelevent

Zola. Aurore Montanaro, collège Marcel Massot, 04250 La Motte du Caire – a.montanaro@laposte.net Objectifs de la SQ : [pic]Lire, sous forme d’extraits, un roman ancré dans la réalité. [pic]Identifier les 4 formes de discours : narration, description, explication, argumentation. [pic]Insérer un dialogue dans un récit. [pic]Découvrir le métier d’écrivain. Lecture cursive : Guy de Maupassant, La Parure. [pic] Séance 1 (lecture) : texte 1 [pic]Prélever des informations dans l’incipit

fiction et la réalité. Les descriptions effectuées sont si précises que l'on ne peut pas croire à un être fictif comme celle du personnage de Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac « il avait les épaules larges, le buste bien développé, des muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d'un roux ardent. Sa figure rayée par des rides prématurées offraient des signes de dureté. » Une telle description ne peut être celle d'un personnage