Description Ville Idéale

devint ainsi l’île d’Utopie. Question 6 : Son organisation. L’île d’Utopia est composée de 54 villes. Chaque ville a 3 députés. Les lois et les institutions sont identiques pour toutes les villes. Problématique : Comment le narrateur présente-t-il une société idéale à travers la description minutieuse de l’île d’Utopie ? I. La description générale de l’île (ligne 1 à 15) A. Description géographique presque géométrique. Champs lexical de la géométrie (ligne 2 : « graduellement » , « symétriquement » ;

fait de lui un personnage animalisé, puis sa pensée arrive: "il trouvait imbécile cette peur de l'eau". L'influence du milieu fait parti également des doctrines naturalistes, on peut le retrouver tout au long du livre, car Claude vit à Paris, une ville puissante où se joue la bataille artistique, qui va mener l'artiste à sa perte. On peut également remarquer cette influence dans l'incipit, en comparant la masse textuelle accordée au paysage par rapport à celle concernant le personnage. De plus Claude

notamment en montrant que dans le paysage s’investissent des significations, des valeurs, un imaginaire auxquels la fiction et la poésie peuvent donner leur pleine expression.[…]. Les littératures de l’antiquité n’offrent que très rarement la description complète d’un environnement naturel ou urbanisé. L’espace que construisent l’art et la littérature du Moyen-Age est encore principalement symbolique et n’entre qu’exceptionnellement en rapport avec un point de vue individualisé. L’essor du paysage

de vue omniscient + interne (IIeme partie) * Registre dominant Réaliste/tragique . Les grands mouvements du texte : * 1er : L1 à L9, description du marché * 2ème : L10 à L19, la foule (singulier collectif) * 3ème : L19 à L32, réflexion sur la générosité de la mer * 4ème : L32 à la fin, Piracci, focalisation interne . Description vivante : * Les odeurs * Les lumières = HYPOTYPOSE * La foule en mouvement

L’utopie « Les utopies ne sont souvent que des vérités prématurées » selon Lamartine. Depuis des siècles, l’humanité imagine des cités idéales. Le mot figure pour la première fois dans De optima reipublicae statu deque nova insula Utopia que fit paraître en 1516 Thomas More, le futur chancelier du roi Henri VIII d’Angleterre. Dès 1551, l’Oxford English Dictionary en donne la définition suivante : « Une île imaginaire décrite par sir Thomas More comme jouissant d’un système social, juridique et

séquence Support : aucun Durée : 1h Objectif : aborder la notion d’utopie et les questions soulevées par la vie en société. Activité : pour amorcer la séance, on peut proposer aux élèves un travail d’écriture : Sujet : Décrivez votre lycée idéal : son architecture, son projet éducatif, les personnes qu’on y rencontre, les conditions de vie en commun, etc. Au bout de 40-45 minutes, on procédera à la lecture de plusieurs productions d’élèves. L’objectif est ensuite de faire émerger

SOMMAIRE 1. Informations administratives 3 2. Le projet d’aménagement 3 3. Contexte de l’étude de défrichement 3 4. Description du site 4 4.1. Description de l’environnement immédiat des terrains 4 4.2. Description des terrains dont le défrichement est envisagé 5 4.3. Photos du terrain (du nord au sud) 5 4.4. Rôle écologique de la zone à défricher : description du boisement, de la faune, de la flore 7 4.5. Rôle paysager 7 4.6. Rôle social 7 4.7. Zonages ou contraintes particulières

une variante de la focalisation externe, qui permet d'introduire une description progressive : il imagine un "voyageur parisien" qui découvre Verrières, et mène sa propre enquête. Ce procédé a plusieurs mérites : a) Il suscite l'intérêt du lecteur, qui s'identifie facilement au "voyageur" et éprouve les mêmes curiosités que ce personnage fictif. b) Le voyageur représente en fait tous les voyageurs qui s'aventureraient dans la ville de Verrières : ils auraient tous les mêmes réactions, ils éprouveraient

(vers 3), « anciennes » (vers 4), « antique » (vers 7). Le mot « matin » est finalement employé à plusieurs reprises pour désigner un nouveau jour / commencement. II – L’éloge de la modernité 1. La ville, fief moderne Apollinaire, amoureux de Paris, dresse un tableau flatteur de la ville moderne, (lieu du changement, du vivant, de l’activité), monde nouveau des automobiles et des avions, et plus particulièrement des infrastructures industrielles ou de l’architecture : « les hangars de Port-Aviation

voir et peindre son deux. » Voir c’est une réalité, mais peindre induit forcément une part d’objectivité qui, chez Sand apparait sous la forme de l’idéalisation. Toute notre analyse se portera sur cette dualité du roman champêtre sandien, réaliste et idéal. Suivant cette dualité, on peut se permettre de les rapprocher, pour en faire une entité, le réalisme au service de l’idéal. Le cadre réaliste sur lequel s’appuie Sand, est largement inspiré de son propre vécu, que l’on peut retrouver dans