Deshumanisation

le 11 avril 1987 2 ) Contexte historique : seconde guerre, camps d'extermination, génocide, témoignages 3 ) Thèmes évoqués : Destruction de l’individualité / La déchéance physique /La disparition de la solidarité /Perte de l’humanité / « déshumanisation » / Le « je » du récit : Le « je » du récit est autobiographique. Mais très vite il devient « nous » et plutôt que de parler de son malheur personnel, il parle de « [leurs] » malheurs. 4 )Résumé : Décembre 1943 :alors âgé de 24 ans, Primo Levi

Le ciel est rouge, on peut dire qu'ils se dirigent vers le sang. Sur le panneau central, il y a des corps déchiquetés, des cadavres, un soldat avec un masque, un squelette qui pointe du doigt la mort. Le soldat qui porte un masque montre la déshumanisation, l'inhumanité des combats. Le paysage est sombre, il y a des ruines, un champ de bataille qui fait penser au no man's land. Sur le panneau de droite, il y a deux soldats qui s'entraident car un des deux est bléssé. On peut voir leur visage. Les

suscite dans les mentalités un mépris de l'homme pour l'homme qui est considéré comme un objet, une sorte de robot qui répète sans cesse les mêmes mouvements - dont on peut décomposer les attitudes et analyser le fonctionnement. On parle alors de déshumanisation. La démarche du peintre est donc ici à visée philosophique. Elle permet de remettre en cause la nature même de l'être humain et de ses rapports avec le monde qui l'entoure, grâce aux fonctions de communication et communion que permet l'art. L'œuvre

 Gazage. Il  dénonce ici les conditions de vie des déportés, par leur corps squelettiques a cause de la mal  nutrition. Mais aussi la cruautés des SS, notamment avec la femme qui attendait un enfant,  qui  a quand même été gazé. Il montre la déshumanisation car ils sont entassés comme des  animaux sans importance. Il semblerait qu'ils soient dans les fosses, ou peut être dans les  wagons qui servaient a déporter les juifs.  

tournures impersonnelles sont abondantes : Jean s’exprime par clichés et slogans qui paraissent plus issus d’un automatisme que d’une réflexion (« Démolissons tout cela, on s’en portera mieux. », « L’humanisme est périmé ! »). Cela traduit sa déshumanisation progressive, la bestialité qui le gagne, et symboliquement le nazisme totalitaire qui défendait à ses adeptes de penser par eux-mêmes. C’est un nouveau contraste avec Bérenger qui réfléchit, qui hésite. Jean, agressif, enchaine interdictions («

saisissant de la misére ECONOMIQUE : - termes de l’argent - existence du chômage « travailleurs » - vêtements HYGIENIQUE - termes des maladies mis en valeur par le rythme ternaire MORAL - alcoolisme, prostitution, vol - déshumanisation du peuple « oublié et foulé » « oubli de soi-même »àparte de dignité - métaphores animales - « affreux » bête sauvage 3. Modernité du discours argumentatif de Sand - En 1840, Sand fait une analyse sociologique liée aux conditions de

Communiqué de presse, Anne Vergugar aux enfers, théâtre 2010 1|Spectacle -> opérette qui met en scène la vie dans les camps, rassembler le plus de monde possible| 2|Conditions de vie inhumaine au sein des camps -> Rire| 3|Perte d’indemnité -> déshumanisation -> animalité| 4|Le rire comme une arme -> moyen de résistance| 5|Rire pour surmonter la peur| 6|Opérette -> humour noir -> schématisé | 7|Opérette -> rire -> devoir de mémoire | 8|Opérette -> témoigner -> pouvoir se souvenir| Document

devenue un spectacle banal. Il montre l’absurdité de ce monde. Il met à nu ce que les historiens considéreront plus tard comme étant les racines du nazisme. Autrement dit le traumatisme de la 1ère Guerre Mondiale, l’acceptation de l’horreur, la déshumanisation de l’autre en raison de son handicap ou de sa race.

régions du nord. L’endettement de la France est énorme. La société française va également devoir face aux traumatismes physiques ou morals engendrer par cette guerre inhumaine, ainsi qu’au deuil public. (Difficultés de réinsertion des soldats, déshumanisation des sociétés…) (Document 5). La société française à donc eu un rôle important dans cette période de guerre, mais elle n’en ressortira pas indemne. Les mentalités vont changer. Comment va donc évoluer la France dans l’entre deux guerre ?

l’horreur et la boucherie de ce conflit. EN effet, dans la première strophe, le poète étale une palette de couleurs avec « le rouge de la mitraille », le « ciel bleu » et les soldats « écarlates ou verts ». Ces deux dernières couleurs désignent la déshumanisation des soldats et donc leurs pertes d’identité. Les troupes françaises sont représentées par l’adjectif « écarlate » et les troupes prussiennes par la couleur verte. « Le rouge de la mitraille « nous évoque les coups de feu, le sang, le feu et par