Désinformation

L'écoblanchiment, terme d'origine anglo-saxonne traduit par Greenwashing, a été lancé en 1999. Il est définit comme étant « la désinformation disséminée par une organisation pour présenter publiquement une image de responsabilité environnementale ». Autrement dit, c'est l'utilisation abusive d'un argument écologique dans une publicité, ceci afin de tromper le consommateur. Les entreprises ont-elles intérêt à user de cette technique de communication ? Que peut faire le consommateur pour s'assurer

Legris publie en 1976 Le « Monde » tel qu'il est. D'après cet ancien journaliste du Monde (1956-1972), témoin direct de l'évolution du « quotidien de référence », le journal, derrière son apparente objectivité, applique de multiples procédés de désinformation au service d'une ligne éditoriale gauchisante. Celle-ci est portée notamment par de jeunes journalistes militants recrutés après 1968. Le journal vise non seulement à favoriser l'élection d'une majorité socialiste autour de François Mitterrand

éclairer le débat démocratique. Cela renvoit au danger de la pensée unique abordé par Orwell et Huxley. Avec une information de plus en plus marquée par un but politique et empreint d’une logique marchande, on peut s’attendre à cet effet. B) désinformation La télévision se met de plus en plus au service de la culture de masse. TF1 reste la chaîne la plus regardée avec 22,7 % de part d’audience en 2012 (elle ne consacre que deux minuest à l’international) et l’équipe demeure le quotidien le plus

nous, les émotions sont très souvent parasites, nous n’aimons pas toucher aux émotions car nous les confondons avec les troubles émotionnels (angoisse, dépression, violence, phobie, peurs, sensations désagréables, etc…). Dans ce contexte de désinformation où les émotions sont difficilement accueillies, nous sommes souvent inconfortables avec nos émotions. Souvent, nous avons appris à les bloquer, à lutter contre elles, en les gardant à l’intérieur de nous, parfois en allant jusqu’à nous anesthésier

disent pas tout sur les circonstances qui ont engendré cette menace atomique. Ils passent sous silence le fait que c’est la CIA qui a livré, suite à une succession d’erreurs, la "bombe atomique" à l’Iran. Parallèlement, les stratèges occidentaux en désinformation abusent de cette formule de manipulation qui consiste à décrire et  insister uniquement sur l’imminence de la menace iranienne,  misant sur la peur, sans égard à ce qui a rendu cette menace nucléaire effective.  Comment l’antenne de la CIA

faire augmenter ses chances de réélection. · Les révélations dans la presse, les « Pentagon papers » : . Document ultra-secret qui retrace l’origine de l’engagement militaire américain a fait l’effet d’une bombe à la Maison-Blanche. Il montre la désinformation du peuple américain par son gouvernement et prouve que le gouvernement ne révèle pas tout aux médias et aux Américains. · Soldats glorifiés et civils vietnamiens censurés : Une du quotidien « The Plan Dealer » (20 novembre 1969) : révélation d’un

accusant directement « le peuple touareg de soutenir les terroristes d’AQMI, de les héberger dans leurs campements et d’avoir ainsi pris part directement ou indirectement à la mort de Michel Germaneau. » Nous serions plutôt tentés de parler de la désinformation sur la question de sécurité dans l’Azawad . Pour preuve, l’assassinat par l’AQMI de Sidi Mohamed Ag Acherif, le 12 Aout 2010 après celui du colonel Lamine ould Bou officier de la sécurité malienne dans son domicile à Tinbouctou en juillet 2009

incomparable. Certains artistes présentés dans cette exposition ont manipulé ce pouvoir ; en mettant en scène, en retouchant, en transformant la photographie au service du message qu’ils ont voulu faire passer. Dès lors se pose la question de la désinformation, de l’authenticité et de la véracité des faits. La photographie est-elle réellement un instrument de témoignage ou est-elle plutôt une représentation des faits réels à travers les yeux de l’artiste ? Peut-on parler de photographie d’information

contenu. Il est de notre responsabilité de citoyen de s’informer, de se questionner sur le contenu des informations en ligne et de toujours conserver un regard critique. Sources : · Le Figaro.fr · Blog les Décodeurs Le Monde · « Sous l’empire de la désinformation . La parole masquée » de François Géré, édition Paris Economica. · Lewebpedagogique.com · Pourleco.com · You tube

Pour 110 000 adhérents, le budget est d'environ 7,5 millions d'euros. Plus précisément le bureau français ouvre en 1977 mais dix ans plus tard il est contraint de fermer ses potes à cause de l’attentat du Rainbow Warrior I et de la campagne de désinformation qui suit. Greenpeace a plusieurs valeurs qu’ils s’efforcent de respecter : L'indépendance : Elle est avant tout politique. Greenpeace n’appartient à aucun parti et n’en soutient aucun. Mais l’association les interpelle (en dehors des extrêmes)