Despote

d'action de cette monarchie est l'honneur. Le despotisme: C'est un gouvernement où un seul gouverne mais cette fois sans loi , sans respect de règle. Gouverner de manière arbitraire. Tout repose sur la volonté du despote. Le principe d'action c'est la crainte que le pouvoir du despote inspire. Cette classification est ancienne, il y a des notions qui reste d'actualité: le mode républicain . O peut garder l'opposition entre la républiques et les autres modes de gouvernements. La république

jusqu’en Egypte, où il est assassiné (-48). V. Le règne de César César, suite à ses victoire, fut élu dictateur par le peuple, puis il obtient la dictature à vie. • Actuellement, le dictateur a prit des allures de tyran, on en a une image de despote, mais à l’époque, c’était un homme élu par le sénat ou par la plèbe pour une durée définie, et qui à des pouvoir extraordinaire. En tout et pour tout, de sa prise de pouvoir à sa mort, Jules César restera seize mois à Rome, alors que Lépide, son

christianisme, comme le jansénisme) Politique : Idée politique de la souveraineté du peuple et de la liberté de l'individu. Vers la recherche du bonheur. Idées qui aboutiront à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Idée du despote éclairé, au service des intérêts de son peuple : Frédéric II à Berlin, Catherine II à Saint-Pétersbourg ou Joseph II à Vienne. (Correspondance de Voltaire avec Catherine II de Russie et Frédéric II de Prusse). État au service du bien public. Peuple

stalinisme en Russie, le fascisme italien et le nazisme allemand, et qui semblent déjà aux contemporains de nature différente des dictatures traditionnelles. D’après le politologue Hans Kohn (Les dictatures dans le monde moderne, 1935), « Par rapport aux despotes du passé, les dictateurs modernes exercent un pouvoir bien plus large et étendu à des champs beaucoup plus vastes de la vie individuelle et sociale ». Après 1945, le totalitarisme devient un objet d’étude pour historiens, politologues et philosophes

nationale composée de représentants investies d’instructions précises et tenus de rendre des comptes à leurs commettants dans le but de préserver la souveraineté du peuple -Ces idées ont valu à Rousseau d’être suspecté de créer un despotisme sans despote qui conduira à l’éradication de toute forme de liberté individuelle et à la Terreur révolutionnaire

tolérance, de combattre les fanatismes qui se retournent souvent à cette époque contre les protestants, mais plus largement contre tout ce qui « autre ». La critique philosophique s'exerce contre le pouvoir politique tyrannique, ils luttent contre les despotes et les va-t-en-guerre, contre les lois inéquitables, les abus du fanatisme religieux, et toutes les formes de barbarie (la torture est dénoncée, par exemple, par Voltaire dans son Dictionnaire Philosophique, article « torture »). Condorcet évoque

À la différence des patriciens, il a connu une vie rude et ne se fait guère d’illusions sur l’existence. Il incarne de ce fait à la fois la haine des pauvres envers les nantis, et la fidélité des représentants des classes inférieures envers les despotes qui s’appuient sur eux. Il déclare ainsi à Cherea qu’« il peut encore aimer ce maitre misérable qu’il défendra contre [les] nobles mensonges [des patriciens], [leurs] bouches parjures » (p. 127). Les opposants : Cherea, Scipion • Cherea. Il

des peuples c’est de permettre aux dirigeants malhonnêteté, mensonges, pièges ; c’est donc ici un argument d’ordre moral qui est mis en avant. Les 3 paragraphes suivants conduisent à présenter des arguments d’ordre religieux : puisque les « despotes » deviennent des « tyrans » puis des « dieux ». Enfin les lignes 18 à 26 évoquent combien il est commode de régner « sur un peuple d’abrutis » ; l’affirmation que la vérité se trouve dans les « progrès des Lumières » conclut l’argumentation.

voulant libérer le peuple font le mal autour d’eux et finissent par devenir aussi cruels et sans cœur que ceux qu’ils combattent. Mais comment concilier la soif de justice avec le passage au meurtre de sang-froid ? Comment appréhender l’assassinat d’un despote cruel lorsqu’il est aussi un être de chair et de sang, marié et père de famille ? Comment oser prôner la légalité quand il faut en passer par l’illégalité ? Par son écriture d’une grande pureté, il n’y a pas dans cette pièce une seule réplique inutile

toujours exaltée. Les plus beaux traits en ce genre nous viennent d’eux : on ne saurait le nier ; et ce qui rend cette nation remarquable, c’est la seule chez qui le despotisme paraît n’avoir ni avili les cœurs, ni étouffé le génie. Il n’y a point eu de despote plus absolu, plus redoutable que ce fameux Haroun ou Aaron, dont le nom revient à tout moment dans leurs contes, et dont le règne est l’époque la plus brillante du califat et de la grandeur des Arabes. On est toujours étonné de ces mœurs et de ces