Despotisme éclairé

"vérité" et veulent l'étendre le plus possible, celle de la démocratie, la liberté, par la guerre... ce qui peut rappeler cette phrase de Robespierre: "Le gouvernement de la Révolution est le despotisme de la liberté contre la tyrannie." (discours à la Convention, février 1794) il est bien sage que ce peuple "éclairé" daigne nous faire profiter de ses "lumières", avec leur longue histoire et leur longue expérience un homme a dit un jour: "Il y a trois vérité: ma vérité, ta vérité, La Vérité".

état de minorité, l'homme n'obéit point à une loi qu'il s'est lui-même prescrite mais est au contraire sous la tutelle d'autrui. Autrement dit, le principe subjectif d'action de l'individu n'est pas sa propriété mais l'œuvre d'autrui. Or tous les despotismes n'ont-ils pas comme support l'abdication des sujets soumis, d'où renoncement à la pensée et à l'action...? Et Kant impute la faute (morale) et non l'erreur (épistémologique) de ‘état de minorité non à l'oppresseur, mais à ceux qui consentent à leur

diverses chez les différents philosophes. Les positions politiques varient également. (Ex: Montesquieu est monarchiste (pour le roi) mais une monarchie contrôlée par les Grands,Rousseau est attiré par une démocratie, Voltaire et Diderot prônent le despotisme éclairé= une personne avec plus de pouvoir mais dicté par les philosophe.) ! 3° ! Domaines sociale et morale. Au dix-huitième siècle dans ce domaines deux idées sortent: le bonheur et la liberté. ! - Voltaire: le bonheur est dans la vie en société

New York. Siècle des Lumières 2 Significations usuelles Siècle des Lumières [3] ? Le siècle se veut éclairé par la lumière métaphorique des connaissances - et non pas l’illumination divine, « émanation de l’absolu[4] », utilisé exclusivement au singulier acquises par l’expérience et l’enseignement du passé. Elle suggère aussi une vision manichéenne du monde, où l’« homme éclairé » s’oppose à la masse de ceux restés dans les ténèbres. La formule a donc bien tant une dimension sociale qu’une

pacification de l’Etat qui avait été absente au moins depuis la formation des Etats Généraux en 1789. Par la suite, nous nous intéresserons au régime mis en place par Napoléon, régime qui présente de nombreuses parentés avec la monarchie ou le despotisme éclairé. A – La pacification et la stabilisation du désordre révolutionnaire. 1. Napoléon veut réconcilier les fractions sociales qui s’étaient opposées durant la Révolution. Napoléon veut rétablir l’ordre en créant ce qu’il appelle un « équilibre

régime est ses audaces lui valurent souvent d'être inquiété. Cependant il ne se contente pas seulement de démolir. Un contenu positif, inspiré par un idéal de justice et de liberté, se retrouve partout chez lui. En politique, il souhaite un despotisme éclairé, un « roi philosophe ». Ce beau rêve qu'il avait cru un moment pouvoir réaliser près de Frédéric de Prusse a été cruellement déçu. Le régime anglais lui semble donc sur le plan pratique le régime idéal. Il réclame des réformes judiciaires: suppression

gouvernement : la république, la monarchie et le despotisme. Cette œuvre inspire les auteurs de la Constitution française de 1791 et est à l'origine du principe de séparation des pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire. attaqué, il écrivit alors Défense de l'esprit des lois, qui fut publié en 1750.). Ces deux oeuvres le consacrèrent véritablement en tant que philosophe des lumières: le mouvement. Siècle des Lumières » désigne le XVIIIe siècle, éclairé par la raison, laquelle permet, selon les philosophes

personnelles de Diderot ont de plus évolué avec l'âge. Plutôt que philosophe, Diderot est avant tout un penseur. Il ne poursuit en effet ni la création d'un système philosophique complet, ni une quelconque cohérence : il remet en question, éclaire un débat, soulève les paradoxes, laisse évoluer ses idées, constate sa propre évolution mais tranche peu. Morale La morale est une préoccupation récurrente de Diderot. Le thème apparaît dans ses critiques artistiques, dans son théâtre et

politique, autrement dit le pouvoir d’agir sous la protection des lois et non de veiller au bonheur de ses sujets. L’amour de l’Etat pour le peuple est, au premier abord, séduisant. Mais l’histoire montre que le paternalisme est, au fond, l’alibi du despotisme. Le bonheur est une affaire personnelle. Il appartient à chacun de le chercher dans la voie qui lui semble être la bonne, pourvu qu’il ne nuise pas à la liberté d’autrui. Le bonheur étant une chose subjective, l’Etat ne peut décider en quoi consiste

lumière. Tant il est dangereux de semer des préjugés ! car ils finissent par retomber sur leurs auteurs ou sur les successeurs de leurs auteurs. Le public ne peut donc arriver que lentement aux lumières. Une révolution peut bien amener la chute du despotisme d'un individu et de l'oppression d'un maître cupide ou ambitieux, mais jamais une véritable réforme dans la façon de penser ; de nouveaux préjugés serviront, tout aussi bien que les anciens, à conduire les masses aveugles. La diffusion des lumières