Destins

des héros se confrontent à leur destinée. Œdipe roi de Sophocle était l’une des tragédies jouées. Elle raconte l’histoire d’Œdipe, un roi s’étant fait prédire l’inceste et le parricide. Cet homme commet une faute d’hubris en voulant contrôler son destin. Dans ce texte, nous tenterons de répondre à la question suivante : la majeure partie des tragédies grecques mettent en scène un personnage commettant une faute d’hubris, d’orgueil. Dans quelle mesure une telle lecture peut-elle s’appliquer au personnage

êtres humains ont livré pour conquérir la liberté. De la liberté dépend le bonheur de l’existence. Ici se pose un problème conceptuel : le libre arbitre est il inhérent à l’homme ? Dans un 1er temps, nous verrons que veut celui qui est maître de son destin : cela implique des choix, une terrible responsabilité. Puis, nous montrerons dans une 2ème partie que si le libre arbitre nous était étranger, tel un fardeau, nous ne nous battrions pas pour lui : l’esclave n’est jamais heureux. Thèse : Idée

passé car le passé est par définition passé et ne peu plus se déroulé à nouveau. Il peut y avoir des similitudes (Exemple des « déjà vu ») mais cela ne peut jamais se déroulé à nouveau. II. On peux toujours, d’une certaine manière modifier notre « destin » et nous sommes toujours libre de choisir notre futur. - Nous n’avons pas de destinée préconçue, nous pouvons tous échapper à un sois disant avenir pré écrit. La destinée n’existe pas, nous avons tous le choix. (Exemple de contre déterminisme)

ne peut m’aider, personne, car il n’y a plus personne »). - Espace oppressant : enfermé dans son appartement, entouré de rhinocéros Bérenger est confronté à une société qui l’oppresse comme une héros de la tragédie classique est oppressé par son destin. Il lutte contre les rhinocéros pour défendre ses valeurs. B) La lucidité d’une cause perdue - Regret : Interjections : « Oh ! », « Hélas ! », « Eh bien tant pis ! » + Registre pathétique : supplication « Comme je voudrais être comme eux »

l’Acte II, scène V, Phèdre avoue dans une tirade son amour à Hyppolite : c’est une scène particulièrement importante car elle marque un tournant dans le récit tragique : elle va entrainer les deux personnages principaux, Phèdre et Hyppolite dans un destin irrémédiable et dramatique. En quoi cette tirade de Phèdre appartient elle au registre tragique ? Nous étudierons d’abord la déclaration d‘amour de Phèdre à Hyppolite, puis l’aspect tragique de cette passion et enfin pour quoi Phèdre se perçoit

intellectuel et philosophique. Les humanistes se caractérisent par l’étude des textes antiques, la place central accordé aux hommes et également l’importance du savoir et de l’éducation. En quoi le savoir va t-il permettre à l’homme de choisir son destin? Afin de répondre à cette question nous allons décrire successivement les idées humaniste concernant l’éducation, le savoir, et son importance. Les humanistes préconisent une nouvelle éducation basé sur le jeu et l’étude des textes antiques

doute venait-il de se rendre compte de ce qui l'attendait. Soudain, elle retira son mouchoir de col et exposa aux yeux du Destin ses atouts. Il rougit, à la fois gêné et timide. Cherchant un prétexte pour se rapprocher de lui, elle lui demanda de lui gratter le dos afin d'y retirer quelques petites bêtes qui la gênaient, déjà gêné par la pseudo nudité de son invité surprise le Destin à contrecœur s'exécuta non pas sans quelques hauts de coeurs qu'il ne pu contenir. De son côté, elle commença à le toucher

énumérations, répétitions rendre cela encore plus violent. Il est dominé par la fatalité. Poussé par un destin qui le dépasse, il ne s'appartient plus ; l'emploi du verbe " devoir " et de " poussé ", l'allusion à " une voix " insistent sur son impossibilité de résister. La conscience douloureuse d'un destin fatal le conduit à donner de lui une image négative et à écarter Dona Sol d'un destin de mort qu'il sait inévitable. Dans cette deuxième tirade il est toujours d’un un discoure de dissuadions

rang social, de ses richesses, mais surtout, ce passage nous plonge directement dans le mythe même d’Alexandre, en lien avec le divin, héros légendaire et possesseur d’un destin hors du commun. En effet ce début de récit évoque des éléments romanesques : Alexandre de Paris évoque des rumeurs, un enchanteur, et, surtout, son destin qui n’est autre que celui de mourir jeune et empoisonné, c'est-à-dire invaincu sauf par la trahison. L’auteur revendique ici implicitement un futur et idéal chef politique

étudierons le conflit qui existe entre les deux personnages tragiques, puis nous nous discuterons ensuite la distinction entre justice individuelle et justice divine, avant de nous pencher sur sa valeur dramatique, puisque dans cet échange se noue le destin tragique d’Antigone.