Destruction Créatrice

1/3 de la croissance au cours des années 1980, et un peu plus de 40 % entre 1996 et 2008 ; à l’inverse, la contribution de la PGF à la croissance de l’UE baisse, passant de 2/3 environ à un peu plus de ¼. Les innovations et processus de « destruction créatrice » L’économiste Joseph Schumpeter définie l’innovation comme une nouvelle combinaison des facteurs plus efficaces que les précédents. L’innovation de produit, grâce au PT, permet de créer des nouveaux biens, des nouveaux services générateurs

l'innovation est un facteur déterminant de la croissance économique La destruction créatrice désigne le processus de disparition de secteurs d'activité conjointement à la création de nouvelles activités économiques. Cette expression est fortement associée à l'économiste Schumpeter. L’innovation portée par les entrepreneurs était la force motrice de la croissance économique sur le long terme, même si cela impliquait une destruction de valeur pour les entreprises établies qui jouissaient d’une position

toujours reconnu que l’entrepreneuriat et l’innovation sont des moteurs importants du développement économique et social. L’entrepreneuriat est souvent décrit comme un facteur essentiel pour transformer des connaissances ou idées nouvelles en activités créatrices de valeur et ce dans tous les types d’organisations. Ainsi, au-delà de la création de nouvelles entreprises, l’entrepreneuriat est également au centre des réflexions stratégiques d’organisations de plus grande taille qui souhaitent ou doivent faire

l’essoufflement des innovations. En effet, la Recherche et le Développement commencent à stagner, posant les bases de la récession à venir. Cette récession peut s’expliquer par le phénomène de destruction créatrice. Il est définit par l’apparition de secteurs d’activités et de facteurs de productions nouveaux, et par la destruction de secteurs d’activités et de facteurs de productions traditionnels, anciens. Ce phénomène est dut aux bouleversements engendrés par le progrès technique dans les secteurs d’activités

innovations de produits et de procédés) est le moteur de cette dynamique. L’innovation entraîne la destruction créatrice. Destruction créatrice : Schumpeter montre que l’innovation bouleverse les conditions de la concurrence : « Les entreprises qui ont innové avec succès connaissent l’expansion tandis que celles qui n’ont pas innové ou l’ont fait sans succès disparaissent. » La création et la destruction sont simultanées car de nouveaux secteurs d’activités se développent au détriment d’anciens. Il

technique a permis la disparition d’anciens secteurs entraînant avec eux la disparition d’emplois peu qualifiés. Ces secteurs et emplois ont été remplacés par d’autres, nouveaux et plus utiles dans notre société actuelle. Schumpeter parle de « destruction créatrice » concernant ce phénomène. En effet, tout en détruisant des emplois de moindres qualifications, le progrès technique entraîne la création de nouveaux emplois nécessitant une main d’œuvre plus qualifiée. On va avoir, par exemple, davantage de

économiste reconnu. Cet ouvrage s’affranchit du cadre néoclassique et témoigne de son intérêt pour la dynamique et les lois du changement économique. Dedans il met particulièrement en évidence l’importance de l’entrepreneur et du processus de destruction créatrice apportée par l’offre de nouveaux produits sur le marché. Après la première guerre mondiale, Schumpeter se passionna ensuite pour la politique et est nommé ministre des finances de l’Autriche en 1919. Il resta peu sous l’étiquette de ministre

moins grande segmentation des parcours professionnels et des filières de recrutement. Le marché du travail est très actif : pour Pierre Cahuc2 chaque jour environ 10 000 emplois sont détruits et 10 000 emplois sont créés. Ce phénomène de destruction créatrice n’est pas spécifique à la France. Pour Pierre Cahuc il y aurait quelque pertinence à invoquer une loi des 15 % qui s’énoncerait de la manière suivante : « à l’échelle d’une nation, chaque année environ 15 % des emplois disparaissent et chaque

CHAPITRE 1 : LA LOGIQUE ENTREPRENEURIALE Compétence attendue : Caractériser la logique entrepreneuriale mise en œuvre dans les entreprises. Document 1, question 1 : La destruction créatrice présentée par Schumpeter est le secteur tertiaire, le service essentiellement la construction, les activités de Tom WALLIS et Joseph SCHUMPETER et certains services d’autre secteur (le commerce, etc...) Peut de compétence particulière, moins onéreux. Document 1, question 2 : Les salariés licenciés après

Un phénomène qui aurait pu être anticipée? La théorie de la destruction créatrice La théorie de la destruction créatrice est associée à l’économiste autrichien Joseph Aloïs Schumpeter. Mais c’est chez l’économiste allemand Werner Sombart qu’apparaît cette notion dans son ouvrage Le Capitalisme Moderne publié en 1902. Schumpeter s’inspire beaucoup de l’œuvre de Sombart et fait ainsi connaître le phénomène de la destruction créatrice. Ce dernier est défini dans l’ouvrage majeur de Schumpeter :