Destruction Créatrice

de la demande appliquée à la monnaie. Dans la 2ème phase B on assiste à un déclin avec baisse des prix, des investissements, et des taux d’intérêts. Cela permet une forme de purge du système pour un nouveau cycle.  Joseph Schumpeter la destruction créatrice : Joseph Schumpeter propose une autre théorie pour expliquer l'alternance des phases A et B. l’apparition d’innovations majeures (qui surviennent par « grappes ») donc au progrès technique. Ainsi, selon lui, la phase A correspond à la période

complexification. Il utilise, consomme, des énergies plus ou moins structurées pour créer une énergie plus structurée représentée par ses aptitudes. Ainsi, la consommation, souvent considérée comme destruction de biens et de services, est aussi création. Autre application de la fameuse « destruction créatrice » de Joseph Aloïs SCHUMPETER. C’est en fait une transformation. Cela lui procure une satisfaction appelée utilité, car cette énergie lui permet de s’adapter à la réalité ambiante voire de la transformer

Starlight, un réseau de PME Pages 32-33 I. Analyse de la situation de l’entreprise 1. Tout d’abord, une organisation par réseau est caractéristique de l’organisation adaptée par l’entreprise qui a fait le choix d’externaliser les activités non créatrice de valeur et de les faire réaliser par des entreprises partenaires spécialisées, pour se concentrer sur ses compétences distinctives. Starlight présente donc les caractéristiques d’une entreprise en réseau car elle se trouve insérée dans un ensemble

on devient un « voisin », on se laisse entraîner par le « charme niveleur de la « majorité » » => nivellement par le bas, (« la sottise forme l'objet d'une concupiscence contagieuse ») § 369, livre V: Notre juxtaposition Le goût et la force créatrice de l'artiste sont différents, parfois contraires. « on peut avoir facilement un goût supérieur à ses forces » Mais un homme très fécond (« homme-mère ») ne prenant plus le temps de réfléchir à son goût, à son œuvre, de se comparer etc, oublie

productivité, gain de temps = croissance 2) Schumpeter destruction créatrice : nouvelles activités remplaçant les anciennes évolution technologique, progrès => En suivant les théories des fondateurs du progrès technique, celui-ci implique toujours la croissance. Mais en pratique, on observe qu’il peut aussi ralentir la croissance et qu’il n’est pas l’unique facteur de croissance quand il y en a. II. En pratique 1) Critique de la desctruction créatrice : PT entraine nouvelles techniques, plus simples

le fer de lance de la croissance économique justifiant alors l'existence et la multiplication de ces nouveaux capitaines contribuant à l'essor même du capitalisme que sont les entrepreneurs. B) La théorie des cycles ou le processus de destruction créatrice 1) Un « rapide survol » de cette théorie. Nous l’avons vu, l’innovation entraîne l’évolution du capitalisme, mais celle-ci se fait-elle de manière linéaire ou de manière chaotique et heurtée ? Un cycle économique : se compose d'une phase

2. J. Schumpeter et la « destruction créatrice » • Le processus de destruction créatrice Schumpi commence par critiquer l’analyse de Marx : l’accumulation n’est pas due à la baisse du taux de profit mais à la « concurrence effective ou potentielle ». Le capitalisme est pour lui « un processus d’évolution » dont l’impulsion fondamentale est imprimée par les innovations et force l’entrepreneuriat : le processus de destruction créatrice. • Destruction créatrice, croissance et cycles Equilibre

technologique (= avancer technologique des entreprises) 2) Le progrès technique a l’origine du phénomène de destruction créatrice Doc 26 p 27 Pour Schumpeter on assiste au processus de destruction créatrice. Destruction créatrice : c’est un processus mis en évidence par Schumpeter pour qui le progrès technique entraine un mouvement simultané de création d’activités nouvelles et de destruction d’activités dépasses, qui a des conséquences sur l’évolution de la structure productive. Par exemple :

entrepreneurs innovateurs qui vont au départ une rente de monopoleur. Puis, dans son secteur, les concurrents arrivent, et qui vont faire baisser le prix de ventes, donc le profit, donc la baisse du secteur. Pour lui, il y a également une « destruction créatrice », les nouvelles inventions conduisent à éliminer les anciens produits, pour les remplacer par des nouveaux produits. Mais le nouveau secteur : embauche et secteur économique moderne. L’ensemble des grands cycles qui assurent le développement

de voûte, le principal acteur du changement social se repérant par des transformations sur les façons de produire, de consommer, sur les qualifications qui apparaissent ou disparaissent avec les emplois ; il est à l’origine du processus de destruction créatrice ; l’offre est donc au centre de la réflexion de Schumpeter ; celle ci connaît des cycles qui, pour reprendre les travaux de N Kondratiev, sont d’une durée de 60 ans environ, décomposé en deux phases de croissance (phase A ou les production