Destruction Créatrice

de biens de production, contribue au progrès technq Cap humain : Etat de santé et niveau d’éducation de la population. Cap public : Infrastructures financées par l’Etat (Ecole, Eglise). La destruction créatrice : Processus de disparition d’activités productives obsolètes qui sont remplacées par des activités nouvelles. Institutions : Ensemble de règle mise en place par l’homme pour vivre en société. Pas d’institution

conquérir de nouveau une position de monopole, il est nécessaire d'investir et d'innover. L'évolution technique rend instable la position de monopole ; ce dernier doit donc constamment progresser. B) La théorie des cycles ou le processus de destruction-créatrice 1) Un « rapide survol » de cette théorie. Nous l’avons vu, l’innovation entraîne l’évolution du capitalisme, mais pour Schumpeter, celle-ci ne se fait pas de manière linéaire mais de manière heurtée et discontinue. Les innovations surviennent

crise, malgré une forte compétence d’adaptation de ce système, ne met pas en déroute la vision pérenne du capitalisme ? Car en effet si le capitalisme est défendu et fait montre de progrès par des processus tel que celui de Schumpeter de « Destruction créatrice » que l’on peut relier au progrès technique et à la croissance endogène dans le même temps il est évident que depuis son développement certains se son aussi bien attaché à montrer les inégalités qu’il génère. Ainsi dès lors on peut prendre

des flux de créations d’emplois et des flux de destructions d’emplois incessants. Chaque jour des milliers d’emplois se créent et se détruisent, dans des secteurs d’activités différents voir à l’intérieur d’un même secteur. Le stock d’emplois augmente s’il y’a une création net d’emplois c’est-à-dire si la création d’emplois est supérieur à la destruction d’emplois. Inversement, le stock d’emplois diminue s’il y’a une destruction net d’emplois (destruction supérieur à la création). L’emploie varie

croit donc en l’existence de cycles dans l’activité économique tel que les avait déjà relevé Kondratieff au 19ème siècle. Pour Schumpeter, ces cycles sont dûs au progrès technique. En effet, d’après sa théorie, le P.T entraîne un processus de destruction créatrice. Le cycle est alors composé de deux phases : D’une part, une phase de croissance de l’activité qui permet de créer de la demande chez le consommateur puisque ceux-ci veulent bénéficier des nouveaux produits permettant ainsi de produire plus

du chômage. Mais, sur le long terme, le progrès technique favorise l'emploi et donc la croissance économique. C - Les effets du progrès sur les structures économiques et sociales 1 – La notion de « destruction créatrice » Notion économique par l'économiste Schumpeter. Destruction créatrice : Une innovation se substitue par une une ancienne innovation, donc les nouveaux produits remplacent les anciens produits, les nouveaux procédés remplacent les anciens, … Ce processus est donc à l'origine

lancé les Trente Glorieuses même si ce dernier avait été ralenti par le choc pétrolier de 1974. Assurément, les NTIC ont joué un rôle important dans ce différentiel de croissance entre les Etats-Unis et l’Europe. En quoi le phénomène de « destruction créatrice » de Schumpeter explique entre autre l’accélération de croissance qu’ont connue les Etats-Unis par rapport à l’Union Européenne ? Si la corrélation entre croissance et innovation a été important pour le dynamisme américain, il faut garder

l’on peut trouver . Recherche appliquée : recherche qui va générer une invention dans le but d’une innovation. Pour Schumpeter , chaque période de croissance s’explique par une innovation majeure . Mais une innovation en chasse une autre : destruction créatrice . 5 types d’innovations : ⇒ un bien nouveau ⇒ une nouvelle méthode de P° ou de transport ⇒ innovation de débpuchés ( P° autre part)⇒ nouvelle organisation productive = monopoles , fusions .Entrepreneur est héros du capitalisme car prend risques

conquérir de nouveau une position de monopole, il est nécessaire d'investir et d'innover. L'évolution technique rend instable la position de monopole ; ce dernier doit donc constamment progresser. B) La théorie des cycles ou le processus de destruction-créatrice 1) Un « rapide survol » de cette théorie. Nous l’avons vu, l’innovation entraîne l’évolution du capitalisme, mais pour Schumpeter, celle-ci ne se fait pas de manière linéaire mais de manière heurtée et discontinue. Les innovations surviennent

Ces innovations vont améliorer les facteurs de production par exemple et rendre le processus de production plus rapide, plus efficace, plus rentable. Cela représente l’engendrement de profits pour l’entreprise. 3) Les effets : * La destruction créatrice : des secteurs en déclin d’autres en expansion, des activités qui disparaissent et d’autres qui se créent et qui compensent ces pertes. * La stimulation de l’investissement : de capacité pour répondre à la demande croissante des consommateurs