Dette Grecque Traité De Maastricht

tout un pays et il allait falloir s’adapter pour compter dans la nouvelle monnaie. Cependant, l'Europe s'est aujourd’hui habituée à sa monnaie unique, qui est un facteur de cohésion pour tous les États membres. Or aujourd'hui, avec la crise de la dette grecque en particulier et de tous les pays dits du sud de l'Europe en général, la pérennité de la monnaie unique est remise en question. La question se pose alors : faut-il sauver l'euro ? Nous verrons dans une première partie la mise en place de l'euro

monnaie de réserve se doit d’alimenter raisonnablement la liquidité mondiale. La mondialisation a besoin de mécanismes de coopération et de gouvernance internationale. La poursuite de la mondialisation nécessite une action collective immédiate pour traiter les problèmes. Le processus de consultation et de négociation des décisions ne fixe pas précisément de règles favorisant la recherche de compromis jugés réalistes. Le rôle du FMI est toujours en débat, et les politiques imposées aux pays en situation

l’extérieure, le contrôle du niveau d’inflation, de dette publique ainsi que les performances économiques de chaque pays. Dans le cas de l’Union européenne, ces critères n’ont pas été respectés, d’où les problèmes actuels de la zone euro et la difficulté extrême pour trouver des solutions. La convergence entre les économies qui composent la zone euro a toujours été mis en doute, malgré les fonds structurels et les efforts entrepris avec le traité de Maastricht, lui aussi transgressé plus tard. Donc, la non

1er janvier 2001. L’économie grecque bénéficie d’une grande ouverture sur le marché balkanique avec ses banques et ses sociétés de construction et de télécommunication. La Grèce est le 5ème producteur mondial de coton, et le 1er producteur européen de tabac. Les performances macroéconomiques grecques ont été jusqu’à présent excellentes avec une croissance parmi les plus élevées de l’U.E. (de l’ordre de 4% par an). Le déficit public avait atteint 2.9% en 2006 et la dette publique était en forte réduction

l'euro, la solidarité financière entre les Etats qui ont opté pour la monnaie unique est devenue la règle. Les institutions d'émission nationaux n'ont plus le droit de réaliser des avances de fonds aux Trésors publics des Etats. Les critères de Maastricht, que l'Allemagne et la France ont réclamé de vives voix, interdisent de dépasser 3% de déficit budgétaire et 60% d'endettement par rapport au PIB national. La crise a conduit les institutions communautaires à faire preuve de compréhension, en suspendant

euro Lors de la signature du traité de Maastricht l’Union Européenne a connu un changement radical pour sa conception. L’intégration des éléments essentiels de la souveraineté (par exemple la monnaie ou bien la défense) est devenue prioritaire sur l’expansion des échanges des biens et services dans l’Union Européenne. Trois choix majeurs auraient dû donc être pris pour rendre cette évolution légitime. Premièrement, il aurait fallut imposer aux états membres ce traité en forçant les états qui le refuser

------------------------------------------------- Chapitre intro : LES MISSIONS DE L’ETAT FACE A LA CRISE « Crise du marché des subprimes et crise de la dette souveraine » La crise est un moment privilégié pour prendre des décisions d’une portée exceptionnelle. C’est ce qui ressort de l’étymologie grecque. Krisis : le jugement, le moment décisif Donc c’est une période propice à l’examen de la portée des décisions prises par l’Etat. (On va prendre des décisions propres par l’Etat. Crise subprimes :

ravitaille les berlinois. On voit que se met en place une guerre froide profonde et durable. C’est sur le terrain militaire que surgit la solution. L’UEO C’est l’Union de l’Europe Occidentale instaurée par le traité du 17 Mars 1948, signé par 5 états. C’est le premier traité multilatéral de défense. Le principe est une défense collective, si l’un des 5 états est attaqué, les autres ripostent militairement. On va essayer d’adjoindre des accords culturels, économiques mais sans succès.

et aux entreprises (subventions, prestations d’assistance comme le RSA, prestations d’assurance comme les retraites…) ; Les investissements publics consacrés aux infrastructures publiques (Ecole, route, canaux…) ; La charge de la dette (Le paiement des intérêts de la dette).  Les recettes de l’Etat au sens large correspondent aux prélèvements obligatoires :   Les recettes fiscales : impôts directs assis sur les revenus et le patrimoine (impôt sur le revenu, l’impôt sur les sociétés, l’ISF,

suivi massivement l’approche de Keynes, qui disait lui-même: "Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelque économiste passé". Le but est de résoudre le problème de la dette publique accumulée depuis la crise de 2008. La question est donc d’analyser quelles sont les réactions aussi bien observées que théoriques des économistes et politiques face à ce déficit. Dès lors, quelles sont les mesures employées depuis 2008 et