Dette souveraine

* Les Systèmes d'Information Bancaires Et La Contribution à La Performance Vers la fin du modèle de la banque universelle ? Alors que la crise de la dette souveraine occupait tous les esprits, les différents scandales bancaires de ces dernières semaines¹ ont à nouveau placé sur le devant de la scène le débat sur la séparation des activités de banque de financement et d'investissement de celles de banque de détail. A la suite de la crise financière, il est apparu que le système financier n'était

Le rôle de l’investissement direct étranger La crise de la dette bancaire et les crises financières à répétition ont naturellement conduit à privilégier le développement de financement non créateurs de dette, c’est ainsi que l’IDE est devenue l’une des clefs de l’accès à des ressources externes. L’achat d’actions avec une logique industrielle ou commercial plutôt que financière, est le seul flux de capital privé non créateur de dette. L’entreprise qui investit, l’actionnaire, sont associés aux

opération de prêt crée deux situations symétriques : une situation de dette (de l’emprunteur vis-à-vis du prêteur) ; une situation de créance (du prêteur vis-à-vis de l’emprunteur). René Di Roberto - Licence Sociologie 2 ème année. -2- Cours d’Économie année universitaire 2005-2006 Parfois cette réciprocité ne se traduit pas matériellement : si un ami me prête de l’argent, il ne me demandera aucune reconnaissance de dette parce qu’étant justement un ami, il a confiance en moi. Il sait qu’à

FESF, aide conditionnelle du FMI • Une crise bancaire, – Caractéristiques du système bancaire européen – Interdépendance entre le secteur bancaire et la solvabilité des gouvernements nationaux – En vertu des accords de Bâle, les obligations souveraines sont jugées sans risque • Une crise de compétitivité – La zone euro a été constituée de pays très divergents • Une crise de conception – Pas de cadre de politique budgétaire et bancaire au niveau fédéral – Révision des traités, des amendements

crise financiere s’etend a l’economie reelle a l’automne 2008; les gouvernements reagissent par de vastes plans de relance qui favorisent, debut 2010, la derive des finances publiques dans plusieurs pays. Les craintes ;iees au gonflement des dettes souveraines provoquent alors un nouvel episode de crise, s’eloignant les perspectives de reprise. La crise financiere puis economique qui secoue la planete depuis 2007 est partie du credit immobilier aux EU : celui des credits subprime. Les credits subprime

plaignaient d' être victimes de l' usure pratiquée par les juifs. Il est vrai qu' auparavant, lorsque les dettes vis à vis des juifs étaient devenus trop importantes, la solution utilisée était de les expulser de la cité, de la province ou même du pays. La dette s'annulait automatiquement, puisque le juif créancier avait disparu de l' horizon. C'est ce qui explique toutes les expulsions qu'on connues nos ancêtres à travers les siècles. De ce côté l' Alsace n' était pas en reste, la plus importante expulsion

vis-à-vis des dépôts et, donc, par l’augmentation de leur liquidité au-delà du seuil nécessaire. La surliquidité des banques a d’abord donné lieu à des dépôts oisifs auprès de la Banque centrale avant d’être recyclée en partie pour financer les dette souveraine. Ce phénomène a contribué à réduire l’importance des réserves excédentaires sans les absorber intégralement. Au final, le problème de surliquidité n’est pas totalement résolu et la problématique de financement de l’économie a simplement changé

très complémentaires. Question 2 : Quelles sont les différentes catégories de crises financières ? Les différentes crises financières peuvent être : – – – – des crises boursière des crises bancaires des crises de change des crises de la dette souveraine Question 3 : Quels sont les facteurs à l'origine des crises ? Les facteurs à l'origine des crises sont : – – – la prise de risque lors d'une conjoncture dite bonne, la facilité d'accès au crédit, l'oubli des origines des crises précédentes

particulièrement des moyens de communications. Le bilan financier est catastrophique. En effet, pour financer le conflit, les pays ont souvent eu recours à l'emprunt, aux impôts ou à l'inflation. Cela a entraîné une hausse des prix et la croissance de la dette publique qui viennent affaiblir un peu plus les pays. Cet endettement généralisé impose une remise en ordre du système monétaire international. Cette remise en ordre se fait grâce aux accords de Bretton Woods, signés en juillet 1944. Ces accords

de notation pour attribuer une note. II. Principes de la notation Comme nous l’avons vu précédemment dans l’introduction, une notation de la dette ou « rating » est l’appréciation, par une agence de notation, du risque de solvabilité financière, au niveau : * d’une entreprise, * d’un Etat (on appelle cela une « notation souveraine ») ou d’une autre collectivité publique, nationale ou locale, * d’une opération (emprunt, emprunt obligataire, opération de financement structurée