Deux Lecteurs Discutent

pouvez-vous faire entre cette expression et la pièce ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant sur deux passages de la pièce concernant deux personnages différents. 1 point Dans la pièce on retrouve le sens de cette expression dans les personnages de Fantasio et de son ami Spark au début de la pièce dans l’acte 1 scène 2. Dans ce passage les deux personnages se lamentent de discutent de la vie alors que leurs amis sont partis pour aller faire la fête. Fantasio exprime son mal être intérieur

traînent leurs grosses dames Auprès desquelles vont, officieux cornacs(19), Celles dont les volants ont des airs de réclames ;   Sur les bancs verts, des clubs d'épiciers retraités Qui tisonnent le sable avec leur canne à pomme, Fort sérieusement discutent les traités, Puis prisent en argent(20), et reprennent : « En somme !… »   Épatant sur son banc les rondeurs de ses reins, Un bourgeois à boutons clairs, bedaine flamande, Savoure son onnaing(21) d'où le tabac par brins Déborde – vous savez, c'est

il y a une contradiction profonde entre la mouvance de la vie et la fixité des formes artistiques. Mais le pirandellisme est surtout une façon de créer des situations théâtrales dont les tenants et les aboutissants échappent au spectateur (ou au lecteur) et le propulsent dans une sorte de no man's land entre le certain et l'incertain, entre la fiction et le réel. 2 c) Lien avec le fascisme : Nous n'avons jamais su avec certitude ce qui a poussé Pirandello à rejoindre le fascisme, mais certains

traînent leurs grosses dames Auprès desquelles vont, officieux cornacs, Celles dont les volants ont des airs de réclames ; Sur les bancs verts, des clubs d'épiciers retraités Qui tisonnent le sable avec leur canne à pomme, Fort sérieusement discutent les traités, Puis prisent en argent, et reprennent : "En somme !..." Épatant sur son banc les rondeurs de ses reins, Un bourgeois à boutons clairs, bedaine flamande, Savoure son onnaing d'où le tabac par brins Déborde − vous savez, c'est de

traînent leurs grosses dames Auprès desquelles vont, officieux cornacs(19), Celles dont les volants ont des airs de réclames ;   Sur les bancs verts, des clubs d'épiciers retraités Qui tisonnent le sable avec leur canne à pomme, Fort sérieusement discutent les traités, Puis prisent en argent(20), et reprennent : « En somme !… »   Épatant sur son banc les rondeurs de ses reins, Un bourgeois à boutons clairs, bedaine flamande, Savoure son onnaing(21) d'où le tabac par brins Déborde – vous savez, c'est

Ainsi, Dom Juan, de Molière, et Le Père Goriot, de Balzac, bien qu’ayant été écrits à cent soixante-neuf ans d’intervalle, [Prise de position] présentent une situation similaire : celle de la confrontation de deux conceptions différentes de l’amour. [Sujet divisé] Dom Juan et Sganarelle en discutent, M. de Rastignac et Mme de Nucingen le vivent et, partout, il est toujours question du même sujet : l’amour. [Développement] [1. La conception de l’amour dans Dom Juan. 1.1. La conception de Dom Juan] La

Victor Hugo, met en scène un brave ogre des bois natifs de Moscovie, qui s’éprend d’une fée, le merveilleux de ce poème est crée par les personnages. De surcroît, le conte philosophique Micromégas de Voltaire présente l’histoire d’un géant de trente-deux kilomètres de haut, jeune savant parlant mille langues, vivant quelques millions d’années et habitant une gigantesque planète de l’étoile nommée Sirius ; qui voyage dans l’espace à la recherche d’un monde meilleur. Ce conte présente donc une histoire

de Valmont lettre 10: le sentiment amoureux est considéré comme le mal lettre 134, 2ème paragraphe: le coeur l'emporte sur l'esprit. Elle dénonce Les liaisons dangereuses: Ouvrage à scandale donc pas de peinture sur la couverture. Puis il eut deux peintures. La première de Baucher et la seconde de Fragonard, «  le verrou ». Sur la couverture: il y a un homme fort , puissant et une femme qui hésite. Il ferme le verrou. Le lit est déjà en désordre. C'est une tableau erotique---> il faut suggérer

humaniste français de la Renaissance. Il est d'abord moine bénédictin puis médecin, paradoxalement l’éducation et la croyance religieuse de l’époque sont les deux sujets qu’il passera sa vie à parodier et à critiquer. Notamment dans Gargantua un roman narrant les apprentissages et les exploits d’un géant tout en transmettant à ses lecteurs les idéaux humanistes de Rabelais. Cet ouvrage écrit en 1534 à l’apogée du pouvoir éclesiastique reçoit de nombreuses critiques. Rabelais se verra qualifié d’hérétique

morale 6) Rameau artiste, cynique musicien de son etat, refute les valeurs morales de la société (vertu, amitié).Il pense qu’il faut être immoral pour reussir, moi le narrateur défend la morale au sens strict, idéal et non pragmatique. Ils discutent tout deux afin de savoir quel est le citoyen idéal 7) Ce que j’ai apprécié dans cette œuvre, ce sont les conclusions de Diderot, lorsqu’il montre que la religion a un discours moralisateur fondé sur les dogmes désignant la nature vicieuse de l’homme