Deux Modèle Idéologiques Opposés

*Défendre la *démocratie *à *Athènes à l’époque classique Plan : Les ennemis de l’extérieur Les Perses et les Spartiates : des modèles politique opposés La défense militaire d’Athènes Les ennemis de l’intérieur Les dangers des temps de crise : Les exemples de 411 et de 404 Les mécanismes d’auto-défense des institutions d’Athènes La défense des intérêts de la démocratie : l’empire L’empire protège la démocratie L’empire fait

Goldmann) est elle aussi une esthétique positive (fondamentalement hégélienne). 3°) L'esthétique négative qui s'inscrit dans la dialectique négative d'Adorno et de Horkheimer et qui est inspirée de la théorie critique de l'École de Francfort à laquelle les deux appartenaient, repose sur une critique (kantienne) de la raison au profit d'une éthique du jugement, mais elle n'accède pas au statut d'esthétique transcendantale du sublime comme chez Kant. Pour Adorno, l'art a valeur de vérité parce qu'il est

qui consiste en l’alignement idéologique et politique des gouvernements vers une certaine unipolarité. Ce concept, bien qu’ayant été formulé par George Bush remonte à la fin de la seconde guerre mondiale lorsque les relations internationales sont bouleversées. En effet, l’Europe autrefois première puissance économique du monde laisse sa place à deux supers géants : les Etats Unis et l’URSS, souhaitant tous deux étendre leur modèle partout dans le monde. Chacun des deux essayera donc d’étendre sa domination

*Les sanctions (Les russes n’ont pas décidé de se priver de microprocesseurs et les Européens de gaz.)-La puissance «Douce» ou Soft Power, c’est à dire imposer sa volonté par adhésion, s’imposer comme modèle à suivre par des moyens non-coercitif (non-violents, qui n’oblige pas), donc devenir le modèle parce qu’on est sacrément bi1, comme avec: *La culture *L’idéologie *La diplomatie *La puissance médiatique Et selon Nye, la capacité à combiner ces 2 puissances, c’est le SMART POWER, et c’est la dessus

parfois. Les deux grands, que tout oppose maintenant, se retrouvent face à face, inquiets chacun de la montée en puissance de l'autre. De 1945 à 1946, les divergences d’intérêt, les malentendus et les méfiances, accroissent la tension entre les deux supergrands, et conduisent à la rupture de 1947 Définition de la Guerre froide La guerre froide est donc un profond antagonisme E-W qui dure de 1947 à 1991et prend la forme d'un conflit permanent et systématique, sur le plan idéologique, politique

action passée 2) « le pays allait mal »situation de crise multiple, à la fois sociale économique mais aussi politique; ce profond malaise est selon Gorbatchev la conséquence de la politique de guerre froide menée depuis 1947 par l'Urss (affrontement idéologique et surtout course aux armements qui s’est fait au détriment de l’économie en général) mais aussi lié au caractère totalitaire et de plus en plus rigide du régime soviétique (années Brejnev gérontocratie des années 80); 3) Gorbatchev est conscient

années 60 : deux modèles antagonistes Pendant la guerre froide, deux modèles idéologiques s’opposent : les Etats-Unis, bloc de l’Ouest, et l’Union soviétique, bloc de l’Est. C’est une bipolarisation qui coupe le monde en deux. Les années 60 correspondent à une période de la guerre froide : la détente. Les deux grands, vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale, sont antagonistes, opposés du point de vue politique, économique et social. Nous verrons en détails ce qui oppose les deux blocs d’un

ses lignes de fracture, ses divisions ? I Plusieurs visions du monde après la guerre froide. L’organisation géopolitique du monde peut être interprétée ou souhaitée selon plusieurs visions . Celles-ci dépendent du point de vue ou du parti pris idéologique adopté. Un monde unipolaire. Un monde unipolaire serait un monde dominé par une superpuissance. C’est la thèse de l’hégémonie américaine. Dans cette description, les E-U seraient les « gendarmes du monde ». Ce pays adopterait des décisions de

confrontation Est-Ouest jusqu’aux années 1970 Après avoir vaincu ensemble le nazisme, les EUA et l’URSS s’opposent dans une confrontation armée et idéologique, qui mobilise bientôt tous les pays de la planète. Fondée sur des systèmes politiques et économiques opposés, cette confrontation prend la forme de la « guerre froide », après que les deux puissances se sont dotées de la bombe atomique. Qualifiée par le philosophe Raymond Aron de « paix impossible et guerre improbable », la guerre froide

la dernière phrase d'une chronique intitulée «Trois mondes, une planète». L'auteur évoquait l'existence de deux mondes, pays «occidentaux» et pays du «bloc communiste», entre lesquels sévissait une «guerre froide» pouvant se muer en conflit ouvert. Cette opposition tendait, selon lui, à nier l'existence d'un troisième monde, l'ensemble des pays sous-développés, d'ailleurs convoités par les deux blocs. Selon Sauvy, ce troisième monde avait des caractères spécifiques; sa croissance démographique galopante