Deux Portraits Complétés

Les Caractères, livres V à X, de La Bruyère I Parcours : ré�exions sur l'intitulé du parcours « La comédie sociale » L'intitulé du parcours fait le rapprochement entre la vie en société et le théâtre. Il faut donc s'intéresser aux dé�nitions de ces deux notions ainsi qu'au rapport qu'elles entretiennent. Le terme « comédie » est polysémique, il peut avoir différentes signi�cations. Une « comédie » peut désigner tout d'abord une pièce de théâtre divertissante. Le mot « comédie » désigne également une

PRESSE ». Il est aussitôt imité par Edmond DUTACQ dans son journal « LE SIECLE ». Il faut désormais garantir aux annonceurs un large éventail de lecteurs. Mais, il convient dès lors de fidéliser sa clientèle : on décide alors de publier des romans complets par parties. Ces parties se trouvent en bas de la première page du journal et attirent l’attention du lecteur. La naissance de la littérature dite « populaire » est la conséquence immédiate de cette nouveauté. Alfred Nettement, journaliste et historien

s'interroge sur les nouveaux visages du personnage de Tartuffe créé par Molière. Nous comparerons les  caractéristiques de celui­ci dans l'extrait de la comédie éponyme de Molière avec celles du personnage de la  fable de La Fontaine et avec le personnage d'Onuphre dont La Bruyère dresse le portrait. Tout d'abord, les trois auteurs mettent en avant l'attitude religieuse de leur personnage. En effet, Orgon,  dans sa tirade, extraite de l'acte I, scène 5 de la comédie Tartuffe créée par Molière, précise par le complément  de temps « chaque jour » (v

Culture Générale Culture Générale Le portrait Le portrait Le portrait, mort ou vif ? Le portrait Le portrait, mort ou vif ? touche fut donnée, et alors le glacis fut placé ; et pendant un moment le peintre se tint en extase devant le travail qu’il avait travaillé ; mais une minute après, comme il contemplait encore, il trembla et devint très pâle, et il fut frappé d’effroi ; et criant d’une vois éclatante : « En vérité, c’est la Vie elle-même ! » – il se retourna brusquement

prédéfinis, ou bien nous réalisons-nous au hasard de nos actes, de façon imprévisible ? Comment nous créer nous-mêmes sans pour autant être déterminés uniquement par notre nature ou par l'imprévisibilité de nos actes ? La thèse est montrée en deux grands moments, deux grandes parties. Dans la première partie du texte, qui va de la première à la sixième lignes de l'extrait, Bergson analyse un certain mouvement qui va de l'être humain à ses actes, ce qui signifie que ce dernier réalise des choses selon ce

adaptation d’objectifs provenant des étudiants de la promotion 2006 ) Voici des exemples d’objectifs (en anglais et en français) qui respectent le SMART. Il n’y a pas qu’une seule façon de formuler des objectifs. Certains préfèrent écrire des phrases complètes, d’autres auront un style télégraphique (« point form »). L’important est que la syntaxe et le niveau de langage soient appropriés; que les objectifs soient clairs, précis, concis, univoques (ne portent pas à confusion) et définis dans le temps;

ses déplacements, on sait ce qu'elle pense. Par exemple, personne d'autre qu'elle ne pourrait dire ce qu'elle bougonne dans les deux premières lignes : " C'est tout de même malheureux qu'il faille toujours gueuler pour avoir raison " . 1.2 : Les personnages en présence sont deux prostituées déjà rencontrées dans le roman, Gisèle et Line. Le niveau de langue des deux femmes est familier : - constructions appartenant à la langue parlée familière ("C'était qui donc...", "C'était-y..." ect...)

Jacques Damour, les personnages principaux sont des bagnards étant ou ayant été déportés. Ces personnages sont héroïsés, nous avons choisi de vous présenter deux scènes pour vous le démontrer : L'arrestation de Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac, et un portrait de Jean Valjean dans les Misérables. L'Arrestation de Vautrin L'enjeu du texte: Portrait de Vautrin en action. Montre les principes de l'Homme en action. Tension dramatique allait crescendo depuis le début de la troisième partie. Dénouement

LE PORTRAIT DU HEROS L’intérêt premier de ce portrait est la façon dont Maupassant utilise les notations physiques pour suggérer des traits de caractère. Ainsi l’allure générale du personnage, immédiatement nommé, est mise en valeur dès le début, « Il portait beau de nature », « il cambra sa taille », et reprise en apposition dans le dernier paragraphe de l’extrait : « Grand, bien fait ». Il attire donc l’attention des femmes : elles « avaient levé les yeux vers lui ». Le premier détail évoqué

(si c’est un tueur par exemple). Laurent, dans l’extrait de Thérèse Raquin (corpus), commet des actions horribles : il convoite et séduit la femme de son ami, puis tue celui-ci de manière révoltante. De même, les deux héros des Liaisons dangereuses de Laclos, roman qui met en scène deux libertins et leurs proies, ne peuvent être un objet d’identification pour le lecteur tant ils sont pervers et cruels. Cependant, ils fascinent et ce qui plaît au lecteur est cette fascination qu’il éprouve pour des