Dévaluation

et d'octobre 1990 (pour la BEAC) ont conduit à une plus grande libéralisation financière. La Zone franc a connu ainsi de profondes réformes dont la plus récente a été la mise en œuvre d'une intégration institutionnalisée après la dévaluation des FCFA. La dévaluation des francs CFA du 12 janvier 1994, accompagnée d'une mise en œuvre d'une intégration par les règles, au sein de l'UEMOA et la CEMAC, était rendue nécessaire par les dysfonctionnements observés depuis le milieu des années quatre-vingt

la nouvelle République populaire de Pologne instaura un "troisième zloty". * Le "nouveau zloty" Dans les années 1990, la chute du régime communiste et le passage à l'économie de marché entraîna une forte inflation, le zloty connu une forte dévaluation et Le nouveau gouvernement décida donc la création d'un "nouveau zloty" dont le cours était fixé à 10.000 "anciens zloty. Il entre en circulation le 1er janvier 1995. La Pologne adopte dès 1990 une nouvelle politique économique: liberté des prix

française. ! Le tardive entrée dans la crise est en fait très pénalisant : son entrée dans la dé- pression coïncide avec la dévaluation des monnaies étrangères et le fossé ainsi creusé accentue gravement les effets de la crise. C’est d’ailleurs ce que prône la majorité des économistes : la crise se déclenche réellement en France en septembre 1931 au moment de la dévaluation de la Livre sterling. En effet, la solution trouvée par les autres pays rendent la France beaucoup moins compétitive (le volume

d'ajustement sur l'investissement privé passait par la réduction de l'utilisation de l'épargne nationale à des fins de financement du déficit budgétaire. La politique monétaire a autorisé l'aiguillage de l'épargne nationale vers le secteur privé. Les dévaluations ont fait augmenter le coût des biens de capital importés, mais les nouvelles opportunités d'exportation ont compensé l'effet de cette hausse. Les mesures d'ajustement ont également eu un impact indirect sur l'investissement par le regain de

quantités importées / exportées Barrières réglementaires : normes, mesures administratives Subventions à l’exportation et à la production versées par l’État c) Barrières monétaires : Dévaluation de la monnaie (pour rendre les exportations plus compétitives par les gains de change => politique de « dévaluation compétitive » 4. Les coûts du protectionnisme * Aggravation du retard technologique pour les entreprises protégées de la concurrence internationale ; * Pertes d’emplois pour

variable monétaire au détriment du pouvoir d'achat. * Dévaluation monétaire et luttes sociales * Pour neutraliser les effets du déficit des entreprises dites publiques, et éviter les réformes, le régime a choisi de comprimer au maximum, par la dévaluation du dinar, la demande sociale en diminuant le niveau de vie des catégories sociales aux revenus fixes. Comme la plupart des biens alimentaires ou d'équipement sont importés, toute dévaluation de la monnaie locale se traduit automatiquement par une

réévaluation chinoise/dévaluation usa (cas usa) -> prix des imports augmente -> volume des importation reste constant (car pas de substitut) -> dégradation de la balance (2010 graphe 6b et 6c) -> prix des export diminue -> volume des exports augmente -> la balance commercial est amélioré cf (6b) quand les prix en % ont beaucoup augmenté -> dégradation de la balance des usa. Attention les dévaluation des usa par rapport au reminbi affecte l'europe en effet: Dévaluation usa : effet sur l'europe

Rasin refuse de dévaluer la couronne car la dévaluation risquait, justement, de menacer les intérêts des épargnants « honnêtes ». Il décide donc de timbrer les billets de banque de l’époque (couronne autrichienne) en proportion de 1 à 1 (timbrer les billets n'avait rien d'exceptionnel à l'époque : les premiers billets réellement tchécoslovaques ont été imprimés en 1926, avec de très belles illustrations de Mucha notamment). En lieu et place de la dévaluation, Rasin a choqué les habitants par une mesure

« Pacto » a apporté de manière relativement attendu une réduction du taux d’inflation au sein du Mexique. Malgré tout la technique de fixation du taux de change a été utilisée de manière bien trop récurrente. Ainsi cet abus a conduit une forte dévaluation de la monnaie en 1989. La surévaluation du peso ne cessait alors de grandir, cependant le gouvernement n’a pas eu de réactions appropriées comme celle d’ajuster le taux de change. Ainsi au lieu d’éliminer cette surévaluation, les autorités monétaires

taux de change: L’ajustement de la balance des paiements par la variation des taux de change consiste à faire varier le taux de change, ceci afin de résorber le déficit par une dévaluation, ou résorber l’excédent de la balance des opérations courantes par une réévaluation. Le recours au mécanisme de la dévaluation est fait à cause d’un déficit budgétaire, quand une sortie massive de capitaux spéculatifs est constatée, ou lorsque les réserves de change diminuent rapidement au point où le pays