Dévaluation

la plus part des pays en développement qui ne possèdent ni une compétitivité suffisante ni un marché des capitaux suffisamment large et performant pour adopter un régime de change flexible. En taux de change fixe, l’augmentation de E s’appelle dévaluation, la baisse du taux de change s’appelle réévaluation. La question est de savoir pour chaque pays quel est le régime de change qui permet la plus grande stabilité du taux de change. 2) Encrage et contrôle de la politique monétaire Avec un taux

Etalon OR/$ : o Taux de change fixe o Dévaluation des monnaies : o Convertibilité de monnaie : o Droits de tirage spéciaux (DTS) : a) Etalon OR/$ : Les pays membres doivent déterminer leurs taux de change sur la base de la parité en Or de leur monnaie fixée par FMI le jour de leurs adhésions. b) Dévaluation des monnaies : La dévaluation permet un pays d’augmenter ses exportations en diminuant la valeur de produit sur le marché international. La dévaluation entraîne cependant l’augmentation des

devises. 2. Les variations du taux de change : présentation des effets normaux et pervers L'ajustement de la balance des paiements peut également être assuré par les variations du taux de change. Ainsi, le taux de change peut faire l'objet d'une dévaluation (ou dépréciation) qui traduit une baisse de la valeur de la monnaie nationale par rapport aux monnaies étrangères, ou d'une réévaluation (ou appréciation) qui exprime une hausse de la valeur de la monnaie nationale par rapport aux monnaies étrangères

RU/ Chine : ½ en 1850 ; 1/10 en 1914 du au développement précoce de l’Ouest/Nord. 12) 1920-1940. Après la crise boursière de 1929, politique du chacun pour soi : Beggar thy neighbour. Brutale régression du commerce international. Protectionnisme, dévaluations compétitives (RU 1931, USA 33, France 36) et accentuation des barrières ou droits de douane. La fermeture des économies accentue la récession. Graphique : : spirale contraction CI années 30. 13) 1945-2005.. 1945-1990 dominé par le Grand Schisme

plus touchée (3 millions d'ha dévastés) Augmentation des dépenses durant la guerre (armes, nourriture) → augmentation considérable de la dette ( de 33,5 milliards de franc-or à 219 milliards en France) Recours à l'émission de papier →dévaluation de la monnaie → diminution du pouvoir d'achat → inflation des prix comme jamais auparavant. Solidarité envers las combattants de guerre. Ceux-ci disent : « Ils ont des droits sur nous » carte des anciens combattants établissement

planification . Pour la troisième phase (1992 à 2000) on constate une baisse importante de l’investissement public (25% à 15%) et un accroissement des investissements privés (75% à 85%) entre 1992 et 1994. Cette chute importante coïncide avec la dévaluation de 1994. Durant la période 1995- 2000, on constate une meilleure hausse des investissements publics en 1999 (27%) et une chute en 2000(20%) tandis que les investissements privés ont baissé par rapport à l’année 1994. Mais en 2000 ces derniers ont

croissance dans l'exemple ci-dessus. Parmi ceux-ci, les élasticités du commerce extérieur apparaîtront jouer un rôle fondamental. Ceci n'est bien sûr pas nouveau. Depuis longtemps, le théorème des élasticités critiques enseigne que le choix entre la dévaluation et la réévaluation dépend de la valeur des élasticités-prix des volumes importés et exportés. Le premier paragraphe rappelle cette analyse, dégage un ensemble de paramètres de compétitivité et propose une critique conduisant au rejet de l'hypothèse

commerciale aggrava la crise en empêchant les solutions les plus radicales : la cessation de paiement sur la dette externe ou la dévaluation. Dans la logique de l’étalon-or, ces pays pratiquèrent donc des politiques de rigueur qui accentuèrent la crise et la transmirent à l’étranger (par la baisse de leurs importations). Certains furent cependant contraints à la dévaluation ou au contrôle des changes ; d’autres, plus chanceux, évitèrent l’opprobre qui y était attachée en dévaluant dans la foulée de

eut d’authentiques émeutes en Australie, à Sydney et à Perth et en Nouvelle-Zélande en 1932. Outre ces risques, qui ne sont pas minces, les multiples rigidités des économies limitent dans la plupart des cas les effets de la baisse. Dès lors, la dévaluation apparaît comme une alternative efficace et relativement indolore : abaisser la parité de sa monnaie par rapport aux autres soit en la laissant « flotter », c’est-à-dire en laissant les cours chuter (dans l’hypothèse où la monnaie subit des tensions)

est définie par rapport au dollar (pilier du système). Le dollar est défini par rapport à l'or.(35$ = 1 once d'or [31 grammes] ) chaque banque centrale doit maintenir le taux de change autour de cette parité (+/- 1%) un changement de parité (dévaluation= baisse taux change, réévaluation= hausse taux change) est autorisé s'il existe un déficit structurel des paiements 2. Le F.M.I. Caisse commune où chaque pays contribue proportionnellement à sa puissance économique Chaque pays bénéficie des prêts