Dévaluation

elle se compose de la monnaie fiduciaire (billets et pièces en circulation) et de la monnaie scripturale (comptes de dépôts à vue dans les banques). B) Dévaluation et crises Une monnaie se dévalue, ou subit une dévaluation, lorsque son taux de change se déprécie par rapport à une monnaie de référence, ou un panier de monnaie. Une dévaluation peut se produire sans intervention des autorités monétaires (évolution « naturelle » des parités, on parle alors souvent de dépréciation), ou bien être une

mise à mal, de dévaluer sa monnaie et de retrouver de l'oxygène afin de faire baisser le taux de chômage. Mais si la zone Euro voulait également éviter une dévaluation de l'euro, une obligation de la baisse des salaires en Italie, en Espagne et en France de la part des autorités économiques, ne serait pas une alternative à la dévaluation de la monnaie. En effet, cette politique n'aurait pas d'effet positif, du fait que ces pays ne dégagent pas d’excédents commerciaux. Selon Philippe Villin, un

fait une remise equivalente a 5200 MAD les milles litres, à conditions de vente égales. Voyons comment une dévaluation ou une réévaluation d'une monnaie par rapport à une autre peut affecter la compétitivité des produits proposés par l'entreprise marocaine. Dévaluation du MAD par rapport au USD 1 MAD = 0,08 USD 1000 litres d'huile coûtent maintenant l'équivalent de 400 USD. La dévaluation du Dirham par rapport au dollar a affecté positivement la compétitivité de l'entreprise marocaine. Les

grâce à la facilité à très court terme et enfin élève le taux d’intérêt jusqu’à 15%. La spéculation l’emporte finalement et la livre sort elle aussi du SME le 17 septembre. Ce même jour, l’Espagne, atteinte par la spéculation, s’en tire avec une dévaluation de 5% de la peseta. * Un second réajustement de 6% sera nécessaire le 22 novembre en même temps que l’escudo portugais (lui aussi dévalué de 6%). La crise se poursuit l’année suivante. * Le 1er février 1993, la punt irlandaise est dévaluée

la relation entre le commerce et l’activité économique. Les dévaluations et le protectionnisme deviennent inutiles et dangereux. Les pays qui participent à des processus segmentés de production (qui ont une part importante de leur économie spécialisée verticalement) ont des importations qui sont complémentaires et non substituables à leur valeur ajoutée domestique. Rendre plus élevés les prix de ces importations (par la dévaluation, par les droits de douane) est donc défavorable, car cela accroît

facilite le consensus social en permettant d’accorder plus largement l’augmentation des salaires. L’intervention monétaire permet de résorber les déséquilibres extérieurs. (Distinction dévaluation/dépréciation : la dévaluation concerne les taux de change fixes, la dépréciation concerne les taux de change flexibles) La dévaluation/dépréciation compétitive : politique possible de la Banque Centrale ; baisse des taux d’intérêt pour relancer l’économie et l’inflation La désinflation compétitive : réduire l’inflation

une rupture fondamentale avec le système de change-or car pour financer la guerre les pays européens ont fait marcher la planche à billet, et il n’existait plus assez d’or pour garantir la monnaie. Après les troubles de l’entre-deux guerres (dévaluation compétitives en série, guerre des monnaies), on est passé à un système d’étalon de change-or Gold Exchange Standard d’abord avec les Etats-Unis en 1934 (35$ l’once d’or). Ce système va être officialisé par les accords de Bretton Woods. Le système

D. Roosevelt lance le premier New Deal. En 1933, le nombre de chômeurs atteint 12,6 millions, contre 1,5 million en 1929.Le New Deal a pour objectif d’enrayer les effets de la crise avec des réformes du système bancaire, abandon de l’étalon or, dévaluation du dollar, limitation de la production agricole, aides économiques et sociales, grands travaux. En 1932 effondrement spectaculaire de General Motors, General Electric, la famille Rockfeller.... Mars 1933 : Adolf Hitler chef du parti nazi, obtient

d’un recul de l’activité. Si la Lettonie ne fait pas formellement partie d’une union monétaire[2], sa monnaie est cependant restée solidement ancrée à l’euro pendant la crise. Ainsi, aucun des Etats étudiés par Goodhart et Lee n’a eu recours à une dévaluation nominale pour absorber les chocs financiers et réels auxquels ils ont été confrontés. Ils concluent que si l’Arizona a mieux absorbé les chocs que l’Espagne, c’est à la fois en raison de la plus grande solidarité fiscale qui existe entre les Etats

fonctionne pas et entraîne la généralisation de la crise. On décide alors de mener une politique de dévaluation de la monnaie par rapport à l’or ou par rapport aux autres monnaies. Ainsi, en Janvier 1934, le dollar est officiellement dévalué de 40% pour permettre une augmentation des exportations car de ce fait les produits américains vendus à l’étranger seront 40% moins chers. Par cette dévaluation, on espère que la consommation augmente, que les entreprises américaines produisent plus, que le chômage