Devoir Clairevoi

contre l’occupant nazi. Ce texte, est pourtant un chant de partisans, mais il n’en demeure pas pour autant comme un texte violant, car il appel à la guerre. La version la plus récente, a été interprète par le groupe ZEBDA. L’art engagé sert au devoir de mémoire, comme le montre le poème « strophe pour se souvenir » écrit par Louis Aragon. Ce texte est un poème engagé, dont, il fait sortir un message extérieur, qui signifie « ne pas oublier ce qui s’est passé auparavant, remémorer, préserver une

une réflexion sur le monde contemporain et la représentation qu'on en fait. Plasticien et photographe, il expose depuis 1989 en France et à l'étranger. Collaborateur de Fest'Africa à Lille pour le projet "Rwanda : Écrire, filmer, peindre par devoir de mémoire". Collaborateur et animateur de l'Afrika Cultural Centre à Johannesburg en Afrique du Sud. En 2002 il était artiste en résidence en Guadeloupe, invité par le Conseil Général de ce département. À la fin de la résidence, il a réalisé

vient au jugement du lecteur ( formule judiciaire ). L'auteur à travers les différents impératifs éxigent au lecteur d'entretenir un devoir de mémoire et de le perpétuer. A partir du vers 15 : il emploie le champ lexical de la destruction ( ex: que votre maison s'écroule ) La fin du poème reprend les premiers vers, comme une réponse si on ne perpétue pas le devoir de mémoire. PL emploie le pronom cela pour désigner la déportation par une grande économie de moyen permet de ne plus y prêter vie.

exemple témoigne, les jeunes peuvent parfaitement imaginer leurs arrières-grands-parents leur tenir le même discours. Dès lors, faute d'avoir vécu les évènements, ils se rendent compte que des membres de leur familles l'ont vécu. Par respect, le devoir de mémoire sera donc considéré comme « important ». Ces témoignages peuvent s'accompagner d'images parfois choquantes. En effet, les documentaires montrent la réalité telle qu'elle est. Nuit et Brouillard, un documentaire qui traite des camps

|Effet produit | |le devoir de mémoire : |«Dois-je oublier », « songe » répété 4 |Reprises anaphoriques  |Le souvenir de cette nuit est | |une nuit inoubliable et |fois en début de vers ou d’hémistiche, | |présenté comme un devoir, un | |sans cesse revécue. |présentatif « Voilà » répété 3 fois | |devoir de mémoire. | |

actions du personnage principal.   Les couleurs sont ternes, grises, elles montrent l’aspect sordide de la vie des soldats dans les tranchées entre pluie, boue et mort !   III-9 -  Tardi veut faire prendre conscience de l’horreur de la guerre. C’est un devoir de mémoire de la part de Tardi pour éviter que cela ne se reproduise. Un récit antimilitariste montre les lieux dévastés, les traits fatigués des combattants et le contact de la boue.

- Vers le devoir de mémoire *Le temps est alors venu d’écrire l’histoire de la Shoah en se fondant certes sur les témoignages et aussi sur les archives et d’organiser le « devoir de mémoire » (indemnisation de familles spoliées, mémorial de la Shoah…) Conclusion : La

dont les rimes sont embrassées. Ce poème a été conçut après la 1ere guerre mondial et a été écrit par Louis ARAGON en 1956. Problématique : Nous allons voir quel regardl'auteur porte sur l'histoire de la 1ère guerre mondial ,la compassion et le devoir de mémoire que l'auteur porte au soldats . (thème 1 de l'histoire des arts) Annonce du plan : Le plan va secomposer en 2 partie : -La destinée des soldats -La mort des soldats La destinée des soldats : Dans ce poème ,Louis ARAGON s'adresse

(historique) Du 15 janvier au 21 février 2010, Christian Boltanski a créé une installation in-situ au Grand Palais à Paris. L’exposition, qui se tenait sous la nef du Grand Palais pendant 5 semaines, a réuni plus de 4 000 visiteurs par jour. Le devoir de mémoire est ce que Boltanski à essayer de nous faire comprendre car elle entretient le souvenir de souffrances, nous pouvons également dire que c’est une œuvre à forme d’archivage car on voit des vêtements qui ont déjà été portée par des personnes

l’humanité. Par contre, on sent que le devoir de méditer « que cela fut » est sacré. Remarque : L’auteur ne demande pas seulement de se souvenir : il ne s’agit pas d’un simple devoir de mémoire (au sens où l’on conserverait un souvenir en archives pour le sortir de temps en temps). Il s’agit de « méditer », de réfléchir. Levi appelle à une vigilance constante. Le texte se clôt par une malédiction, si l’on venait à oublier de manquer à ce devoir. Elle occupe trois lignes, et maudit