Devoir De Respect De La Vie Privé Dans Le Couple

le chef de famille est une notion obsolète et cela se manifeste a l’égard du couple ( le mari n’est plus le seul a décider des règles pour le mariage, les 2 époux ont les mêmes obligations et les mêmes droits. Le mari ne gère plus seul les biens du couple et le choix de la résidence) et des enfants. Le droit contemporain préserve des libertés individuelles : dans un couple, chacun a le droit au respect de sa vie privée ainsi que de son intégrité physique ou morale *La famille est un groupe dans

siècle, il ne considérait qu'une seule forme de couple et resté muet sur le couple hors mariage. Pour la notion de couple faut-il considérer le couple traditionnel, constitué d’un homme et d’une femme, ou bien faut-il s’ouvrir aux nouvelles formes sociales de couples que sont les couples homosexuels ? Se prononçant sur les contentieux liés au concubinage, la jurisprudence a semblé pendant longtemps ne vouloir donner qu’aux premiers la qualité de couple (Civ 3ème 17 déc 1997). Toutefois, depuis la

elle a supprimé les « cas d’ouverture » de l’action en recherche de paternité, simplifié la preuve de la maternité et réglé le sort des enfants conçus grâce à une assistance médicale. La loi du 29 juillet 1994 dite « loi bioéthique » statue sur le respect du corps humain, le don des éléments et produits du corps, l’assistance médicale à la procréation et le diagnostic prénatal, ce qui a des incidences sur le droit de la filiation. La loi du 5 juillet 1996 en matière d’adoption. En matière de filiation

parents de l'enfant, peu importe leur statut (mariés, séparés, divorcés), mais il existe des cas particuliers comme:  Décès d'un des parents Dans ce cas, l'autre parent exerce seul l'autorité parentale. ceci est aussi valable si l'un des parents, est privé de l'exercice de l'autorité parentale.  Parents non mariés Dans ce cas, il y a plusieurs possibilités. Si l'enfant est reconnu par le père et la mère dans l'année de naissance de l'enfant l'exercice sera valable pour les deux parents, ils devront

enfants),proche éloignée, élargie, monoparentale, recomposée Ainsi la famille peut être abordée selon deux aspects : structural (alliance, parenté) et relationnel (affectif). Les termes devoirs et obligations accompagnent la famille. L'homme (le mari) était considéré comme le chef de famille. «  ceux sont les bons pères et les bons maris qui font les bons citoyens » (PORTALIS). Le mari bénéficiait des prérogatives de la famille et l'on parlait

rassemble pas des individus mais des chefs de famille, des paters familias. En revanche, la fonction économique de la famille existe toujours. Pendant longtemps, l’économie était fondée sur les exploitations familiales. Cette activité assurait la vie et la cohésion du groupe. Aujourd’hui cette fonction est en voie de disparition, du moins dans les sociétés industrielles mais elle n’a pas totalement disparue, il y a encore des grandes dynasties familiales de PDG. Aujourd’hui la famille n’est plus

d’avantages et d’obligations. C’est un acte juridique5, organisant la vie commune des époux, fondé sur un contrat de mariage. Ce contrat définit le régime matrimonial6. Le mariage met à la charge des époux deux catégories d’obligations : les obligations des époux entre eux et les obligations des époux à l’égard de leur foyer. Dans la première catégorie, nous distinguons d’une part, l’obligation de vivre ensemble et d’autre part, le respect, la fidélité et le secours. Les époux doivent établir un lieu

peut naître que du seul mariage. Ni le concubinage, ni le PACS ne crée de lien d'alliance entre les époux, selon une définition strictement juridique de la famille. Mais la réalité sociologique très différente de la règle de droit justifie que le couple non marié soit intégré au concept familial. Section 2 : l'évolution historique du droit de la famille I.Le droit romain, l'ancien droit, et le droit révolutionnaire A. Le droit romain La famille romaine est à l'origine une famille

. 2.2 La France, République indivisible . . 3. La citoyenneté comme identité . . 3.1 La citoyenneté comme garant de l’égalité . . 3.2 Le « modèle français » n’aboutit-il pas à une situation d’inégalité de facto? . . II – Sphère publique / sphère privée : la réponse communautaire . . 1. Le repli communautaire comme zone de liberté de l’expression culturelle . . 1.1 Une place limitée accordée à la diversité . . 1.2 L’intégration culturelle : un enjeu majeur, une question délicate . . 1.3 Prévenir

une réalité juridique. 1. La famille, une réalité sociologique D’un point de vue sociologique, elle est qualifiée de cellule de base dans l’organisation de la vie collective. La famille constitue un groupe naturel qui rassemble des individus unis par une communauté de vie. Le sociologue va plus loin et dit que cette communauté de vie est destinée à faciliter l’autodéfense des personnes qui s’y retrouvent. Le développement des interventions de l’Etat a abouti à une dissémination du groupe familial