Devoir Et L Amour Sur Horace

montrent un point commun, le seul entre ces perso → ils sont ici à un tournant ; tout deux prennent conscience d’un changement radical entre eux. C’est un moment de crise à partir duquel la situation ne peut que se dénouer → Ag filera le parfait amour avec Horace →Ar se retrouvera exactement dans la situation qu’il craignait : trompé, dupé, seul, car pris à son propre piège. Problématique Face à une telle mutation réciproque, comment nous apparaissent les deux personnages ? Comment le comique

Il en sera à juste titre anobli à trente ans à la demande de la reine Anne d'Autriche pour « services rendus », touchée par la pièce du Cid. L’année de son mariage en 1640 il donne deux nouveaux chefs-d'œuvre, Horace et Cinna .. Toutefois l'échec de Pertharite , en 1651, le décide à s'éloigner du théâtre et à se tourner vers la poésie chrétienne. Lorsqu’il revient au théâtre, à cinquante-trois ans il ne

|Musset. | | | |- Les plaideurs. Racine |de Molière |Calderon. |- Horace, Polyeucte de Corneille. | | | | | | |- France : La première version du |

très belle à entendre dans le théâtre classique et romantique, exprime les conflits intérieurs des personnages. Qui n’a pas en mémoire les mots bouleversants de Titus s’apprêtant à rompre avec Bérénice pour régner comme son devoir l’exige ? Ceux d’Andromaque, déchirée entre son amour pour Hector et celui de son fils Astyanax ? Ceux de Ruy Blas, « ver de terre amoureux d’une reine » ? II. Mais le théâtre est aussi un spectacle, par conséquent les mots se doublent également d’un langage visuel donc

sa propre main mon père massacré Du trône où je le vois fait le premier degré ; Quand vous me présentez cette sanglante image, La cause de ma haine, et l'effet de sa rage, Je m'abandonne toute à vos ardents transports, Et crois, pour une mort, lui devoir mille morts. Au milieu toutefois d'une fureur si juste, J'aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste, Et je sens refroidir ce bouillant mouvement Quand il faut, pour le suivre, exposer mon amant. Oui, Cinna, contre moi, moi-même je m'irrite Quand

amoureux s'avouent leur amour par une conversation voilée. Cléante retire une bague de grande valeur du doigt de son père, et l'offre en son nom à celle qu'il aime. Harpagon n'a pas compris. Acte IV Cléante et Mariane demandent l’aide de Frosine afin qu’Harpagon renonce à Mariane. Le père surprend son fils en train de baiser la main de Mariane, et se pose des questions. Celui-ci feint avoir renoncé à Mariane pour que Cléante lui avoue la vérité. Il dit tout à son père, son amour pour Mariane et son

rayons de cette pure flâme, qu' allume la raison, qu' éteint le préjugé ; dans cette nuit d' erreurs où le monde est plongé, apportons, s' il se peut, une foible lumiére. Nos premiers entretiens, notre étude premiére, étoient, je m' en souviens, Horace avec Boileau ; vous y cherchiez le vrai, vous y goutiez le beau, quelques traits échappés d' une utile morale, dans leurs piquans écrits brillent par intervale. Mais Pope approfondit ce qu' ils ont effleuré ; d' un esprit plus hardi, d' un pas

officiel nommé par Richelieu, académicien (1647) , théoricien études : élève brillant des Jésuites, carrière d'avocat à Rouen rencontres : bénéficie du mécénat de Richelieu, ministre d'état de louis 13 Autres œuvres : « le Cid », « Cinna » et « Horace » (pièces); « Discours sur l'art dramatique » Contexte historique : en guerre contre l'Espagne le 12/05/1635; la noblesse accepte mal le pouvoir royal centralisateur. Les bouleversements de la Renaissance (désordres politiques, crises religieuses

littérature classique.  À la différence des académies, des cercles littéraires les salons littéraires tenus par des femmes provoquent la préciosité qui se distingue par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue, par la dignité des mœurs et un amour idéalisé.[1] De grands aristocrates non seulement exercent une influence signifiante et consacrent au développement de la littérature de l’époque telle que les rectifications et la création lexicale par les Précieux, mais aussi engagent des écrivains

elle est déchirée entre deux devoirs, et Rodrigue l'entend déclarer à sa suivante qu'elle exigera sa punition et sa mort, puis se tuera à son tour. Se montrant alors, le jeune homme, au cours d'un dialogue très pathétique, lui demande de le tuer de sa propre main. Mais la jeune fille refuse, déclare attendre réparation d'un combat régulier, ne lui cache ni son amour ni l'espoir qu'il puisse se défendre contre le roi et contre elle ; ils s'aiment mais suivront leur devoir. Dans la rue, se manifeste