Devoir Maison Espace Mondialisation

Thème 4 : Mondialisation, finance internationale et intégration européenne Chapitre 7 : Quels sont les fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production ? Objectifs : ! Expliquer en quoi la mondialisation est un phénomène multidimensionnel ! Expliquer les principaux facteurs explicatifs de cette mondialisation ! Expliquer les raisons du développement des échanges internationaux et notamment le lien échanges-spécialisation et les raisons institutionnelles ! Distinguer

c’est claire même au niveau de sens commun. C’est pourquoi un État doit avoir des règles, des lois qui limitent un flux sans contrôle, c’est la raison pour laquelle un État doit donner les conditions pour qu’on puisse entrer sur son territoire, pour devoir garder au moins „les signes de la souveraineté“. Mais, sous la pression de la réalité, „de la politique réelle“, sous la menace contre „notre“ État et par le souci pour notre foyer, pour nos appartenances, c’est notre discours qui se transforme invisiblement

La mondialisation et le VIH/sida La mondialisation est un processus d’interaction et d’intégration entre les gens, les sociétés commerciales et les gouvernements de diverses nations, un processus mû par le commerce et l’investissement internationaux et soutenu par les technologies de l’information. Ce processus a des répercussions sur l’environnement, la culture, les systèmes politiques, le développement économique et la prospérité ainsi que sur le bien-être physique dans les sociétés

rapport entre écologie spirituelle, écologie humaine et écologie ambiante. Sans le « vent impétueux » de l'Esprit, les esprits humains s'intoxiquent et ainsi la liberté de l'homme, même pour gérer la nature, s'affaiblit. Gouverner la nature est un devoir spirituel et moral, avant d'être technicien et matériel, et comment pourra la gouverner un homme qui ne sait pas se gouverner lui-même ? « La métaphore du vent impétueux - poursuit le pape - fait penser au contraire combien il est précieux de respirer

sommes entrés dans une période où l’individualisme a pris le pouvoir : « nous assistons à l’érosion des devoirs de renoncement à soi-même, de participation et d’implication collective, mais simultanément à la persistance de la valorisation d’un certain nombre d’interdits vis-à-vis de la res publica ... les devoirs positifs de dévouement à des fins supérieures n’ont plus de crédit, seuls en ont les devoirs négatifs interdisant les actions préjudiciables aux personnes privées et à la tranquillité publique

autres grands quotidiens. Spécialiste des relations internationales et du Moyen-Orient, il est l'auteur de plusieurs ouvrages et a publié La Géopolitique de l'émotion chez Flammarion en 2008, mais aussi Les Cartes de la France à l’heure de la mondialisation avec Hubert Védrine, Fayard 2000. Comment notre ouvrage est-il né ? L’histoire de ce livre, qui a pour ambition de décrypter les émotions, eut pour point de départ au printemps 2006 un article dans la contribution mensuelle de D. Moïsi à un syndicat

puissance a permis aux grands groupes capitalistes, qui opèrent à l’échelle mondiale, de lutter contre ce qu’ils considèrent être des entraves à leur désir de gagner de l’argent facilement ; ce qui a été nommé « globalisation » ou « mondialisation ». La mondialisation désigne une nouvelle phase du capitalisme contemporain. Plus aucune zone de notre planète n’échappe à l’emprise du capitalisme. On peut comprendre cette nouvelle étape comme l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers

productif ; on produit des biens et ces biens on essaie de les vendre à l’extérieur, on exporte, ça marche ou ça ne marche pas, pas trop bien en France par opposition à l’Allemagne d’aujourd’hui. C’est un problème de compétitivité à l’échelle de la mondialisation. Cette économie-là est en perte de vitesse en France, mais il y a des régions qui en souffrent, des régions qui avaient une économie de type productif. Et puis à l’opposé de ce type d’économie productif, il y a ce que les économistes appellent

source du pouvoir de l’état. 3 éléments : * Terrestre : tous les états ont un territoire terrestre. Il délimite les frontières de la souveraineté. Aujourd’hui, elle est dans une phase de dépérissement, elle perd de sont intérêt avec la mondialisation et les grandes catastrophes naturelles. * Maritime : il représente une inégalité car pour les états enclavés l’accès aux ressources est difficile. On constate que la souveraineté va en s’affaiblissant au fur et à mesure qu’on va vers le

administrative", du "citoyen post-national", du "citoyen consommateur", de "l'éco-citoyenneté", de "l'entreprise citoyenne" et de la "citoyenneté sociale", autant de synonymes d'appartenance à des collectivités à géométrie variable. Face au processus de mondialisation, de construction européenne, la notion de citoyenneté est l'enjeu d'un débat politique qui a pour toile de fond le chômage, l'exclusion, l'immigration et tous les problèmes concrets de la vie quotidienne. La citoyenneté est un thème qui me