Diagnostic Préimplantatoire

génétique occupe une place de plus en plus grande dans nos sociétés, son usage devient de plus en plus fréquent, et ce, dans des domaines très variés, dans celui de la recherche médicale et de la procréation médicalement assistée bien sûr (diagnostic préimplantatoire – sélection des embryons avant implantation pour éliminer ceux porteurs d’une maladie génétique –, recherches à visée thérapeutique sur les cellules souches embryonnaires), mais également dans le domaine juridique (reconnaissance en paternité)

Condamnation   de   l’Italie   car   la   législation   en   place   ne   permet   pas   de   diagnostic   préimplantatoire.   o Contraire  à  l’article  8  de  la  CEDH.     Article  L2131  du  code  de  la  santé  publique.   -­‐ Permet   le   diagnostic   préimplantatoire   lorsqu’il   y   a   un   risque   de   donner   naissance   à   un   enfant  qui  aura

est fabriquée en consommant d’autres ressources parfois épuisables ou dangereuses (gaz, énergie nucléaire). Les nouvelles technologies sont encore trop peu développées : panneaux solaires, énergie éolienne, etc L’hôpital public est un lieu de diagnostic, de soins, de secours d’urgence qui a également un rôle dans l’enseignement et la recherche. Il se doit d’être ouvert à toutes les personnes malades ou souffrantes, sans discrimination ; d’accueillir de jour comme de nuit et, en cas d’impossibilité

instrumentalisation de l’embryon. La loi autorise le diagnostic préimplantatoire (DPI) c’est la sélection d’embryon afin d’éviter la transmission à un enfant d’une maladie d’une particulière gravité. La Cour Europ considère que ce recours au DPI constitue un respect de la vie privée et de la famille et donc dans un arrêt du 28 août 2012 la CEDH a condamné l’Italie dont la législation interdit le DPI. On admet le double diagnostic préimplantatoire, concevoir un embryon dont les caractéristiques

nazie), désormais majoritairement désapprouvées. Dans la période contemporaine, les progrès du génie génétique et le développement des techniques de procréation médicale assistée ont ouvert de nouvelles possibilités médicales (diagnostic prénatal, diagnostic préimplantatoire...) qui ont nourri les débats éthiques concernant la convergence des techniques bio-médicales et des pratiques sélectives. « L'eugénisme est la direction par les humains de leur évolution » : logo du Second International Congress

législateur est intervenu pour montrer qu'elles techniques sont possibles et à quelle circonstance. C'est la loi du 29 juillet 1994 , loi relative au don et à l'utilisation des produits du corps humains , à l'assistance médical à la procréation et aux diagnostics prénatales. À l'origine cette loi devait être révisée tous les 5 ans. La première révision est intervenue qu'au bout de 10 ans, le 6 aout 2004. ce texte ayant élargi les possibilités d'avoir recourt à la procréation médicalement assistée. La loi

du mariage et la restriction de l’immigration. Dans la période contemporaine, les progrès du génie génétique et le développement des techniques de procréation médicalement assistée ont ouvert de nouvelles possibilités médicales (diagnostic prénatal, diagnostic préimplantatoire…) qui ont nourri les débats éthiques concernant la convergence des techniques bio-médicales et des pratiques sélectives. « L'eugénisme est la direction par les humains de leur évolution » : logo du Second International Congress

innovations thérapeutiques, services de soins intensifs en cardiologie). Les AVC restent la première cause de handicap moteur, la deuxième de démence, la troisième de mortalité. La France est dernière en Europe pour le nombres d'IRM qui permettraient le diagnostic précoces des lésions vasculaires et accuse également un déficit en services de soins spécialisés capables d'effectuer rapidement une trombolyse. _Coût économique: Tout comme le cancer, c'est une maladie chronique nécessitant la mise en place de

compte les aspects juridiques, mais aussi philosophiques ou médicaux. Elles sont aujourd’hui encadrées par la loi du 29 juillet 1994, relative au don et à l’utilisation des produits du corps humain, à l’assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal, dite « bioéthique ». Cette loi devait être révisée passé 5 ans, la révision s’est faite attendre. Elle est intervenue par la loi du 6 août 2004, qui n’a pas modifié les dispositions du Code civil, mais a élargi les possibilités d’avoir

été consacrée au suivi de l’évolution de la SEP à l’aide de l’imagerie et des biomarqueurs. L’objectif étant de trouver de nouveaux marqueurs (dans le sang ou le liquide céphalo-rachidien) toujours plus prédictifs qui permettront de poser un diagnostic plus précoce et plus spécifique (par exemple quel risque d’évoluer vers une sclérose en plaques chez les personnes présentant un syndrome cliniquement isolé), prédire son évolution afin de choisir le traitement le plus approprié. Les bandes « oligoclonales