Dialectique équilibre

sensibles, pour "atteindre la vérité en soi". Ceci est vrai aussi pour la géométrie et l'astronomie. Platon avait placé au fronton de son Ecole "Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre". Mais, les mathématiques ne sont pour lui qu'un prélude à la dialectique. Ainsi donc, les mathématiques sont une science de la mesure qui nous a mis sur la voie de l'intelligible. Mais sont-elles la seule science de LA mesure ? Dans le Protagoras, Platon remarquait que s'il fallait choisir, pour notre salut

pour elle la tâche de penser l’originaire qu’elle ne peut cerner à partir de lui-même, mais seulement en partant de ce qui suit et qu’il engendre. Elle aurait pour mission de remonter vers l’originaire et ce, de diverses manières (réminiscence, dialectique, intuition, révélation, …). Mais quelle que soit la façon dont on aborde l’originaire, il fait question. 2. La question du point de départ et sa résolution. Pour répondre à la question du point de départ, il faut passer par

cheminement. Pour Platon, le bien est supérieur à l'être. Cette marche vers le Bien est une démarche volontaire de l'esprit. L'âme humaine serait mu par une force interne qui la pousse vers une idée du bien. Dialectique du point de vue de la connaissance avec l'allégorie de la ligne. Et aussi la dialectique sur le versant de l'âme, qui mène l'âme vers le Bien. Le désir du bien est une notion centrale. Platon découvre l'idée du Bien au cours de ses dialogues. Mais d'abord, il découvre ce que le Bien n'est

J. Devinant – TD de philosophie antique Licence, 1, semestre 2 (2012-2013) — Platon, République (2) Platon, République I, 335a-e (traduction Pachet) Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate — Polémarque — Socrate

idées qui vous viennent immédiatement à l’esprit : vous en écarterez sûrement certaines, mais cela vous permettra de solliciter rapidement vos ressources. III. Construire le plan • On distingue principalement trois types de plan : – le plan dialectique confronte différentes thèses, avant de donner un avis personnel =sujets du type « Pensez-vous que...? » « Dans quelle mesure peut-on dire que...? », etc. ; – le plan thématique organise un raisonnement à l’appui d’une thèse, tentant d’en dégager

accessoires au théâtre, c'est-à-dire comment aident-ils à construire le sens de la pièce ? II. Elaborer le plan de la dissertation A. Adapter le plan au sujet Le choix du plan dépend du type de sujet. ➢ Question ouverte → le plan dialectique : thèse/antithèse/synthèse C’est une sorte de dialogue entre deux thèses opposées. On examine toujours en premier la thèse que l’on nuance dans l’antithèse, afin de parvenir à la synthèse qui permet de dépasser le problème, de remettre en question

penser seul est Dieu lors de la création de l'univers : il est le seul à parler sans avoir été enseigné, parler sans reference à l'altérité. II- La pensée est morte si elle n'est pas affrontée, confrontée, il faut la naissance d'un mouvement dialectique : these antithese. Le dialogue philosophique permet de trouver la vérité ensemble : chacun eprouve la qualité et sincérité de la pensée de l'autre. Le dialogue est le frottement de deux ames : qui rentrent en conflit mais qui arriveà quelquechose

objets d'étude..) _ Recherche d'idées et d'exemples. L'exemple peut parfois suggérer l'idée. _ Trier et classer les idées à élaboration du plan (Choisir judicieusement le plan ! Attention le sujet suggère parfois un plan à suivre ) Plan dialectique (thèse/antithèse/synthèse) ; plan explicatif (problèmes + causes / solutions ; plan thématique. III .LA REDACTION DU DEVOIR · INTRODUCTION (A rédiger après avoir construit le plan détaillé, pas avant !) Elle comporte trois parties : 1

saurait bien l’appliquer. Car la recherche de la vérité peut être vaine si on ne respecte pas la seconde maxime du sens commun selon Kant « penser en se mettant à la place de tout autre », on parle alors de « dialogue de sourd » ; en effet, le dialectique est ici remis en un simple dialogue avec soi même plutôt qu’a une véritable confrontation d’idées. L’idée de convaincre à laissé place à celle de persuader. Au final, nous avons vu que la diversité des opinions ne rend pas vaine la recherche

qu’instrument elle sert aux plus belles tâches comme aux plus basses besognes. Les fascismes, les tyrannies, les régimes autoritaires, les colonialismes se sont développés avec des raisons, des arguments, des démonstrations, des théories, de la dialectique, de la science aussi. Hitler, Staline, Mao, Pétain, tous ont eu recours à la raison pour fasciner des peuples et les conduire du côté où triomphe la pulsion de mort, la haine de l’autre, l’intolérance et le fanatisme destructeur des hommes. Les