Dialogue Entre Menon Et Socrate

Cours intégral sur l'Apologie de Socrate, de Platon (I) La présente étude, divisée ici en six cours, exige la lecture préalable du livre de Platon, dont le texte intégral peut être consulté ici ; une version zippée peut également être téléchargée ici. Il convient toutefois de remarquer qu'il s'agit, dans les deux cas, d'une traduction ancienne (celle de Victor Cousin, 1822), et d'une lecture d'autant plus malaisée que les coquilles (fréquentes, hélas) n'ont pas été corrigées (ainsi, p. 38c, le

c'est l'expérience de la diversité des opinions, leur valeur contradictoire. > Comment surmonter cette diversité des opinions ? En adoptant une attitude de méfiance, prendre conscience de leur faiblesse. Dans un dialogue de Platon, le Ménon, on peut repérer la différence entre deux types d'ignorances: L'ignorance consciente d'elle-même, lucide lorqu'une personne prend conscience de la fausseté des solutions qui se présentent à elle (condition de recherche de vérité). L'ignorance inconsciente

distingue les deux expression « je désire » et « je veux » cad qu’est ce qu’il distingue le désir de la volonté ? Fonction du désir, le désir donne une motivation (il donne un mouvement) mais vers quoi ns met-il en mouvement ? Quels rapports il y a-t-il entre le simple appétit qui ns vient du corps, le désir de gloire et de conquêtes (qui vient de l’imagination)( ce qui anime Alexandre Le Grand et les désirs dont parle Freud : pulsion de vie (EROS) et pulsion de mort ( THANATOS) Enfin, on peut poser la

philosophes Socrate et Platon qui ont dénoncé que l’opinion n’avait pas de fondement. Pour Platon, l’opinion n’a pas le fondement du raisonnement : l’opinion est contraire à la science ; l’opinion est un type de connaissance inférieure. Platon, d’ailleurs, dans la République, distingue les différents niveaux de connaissance et met tout en bas de l’échelle les simples opinions. L’opinion n’est qu’une façon de se tenir irrationnellement comme par hasard dans la vérité. Quant à Socrate, l’opinion est

Cratyle, Platon Platon etait un philosphe, Grec D'Athenes ne vers 427 av.J-C Il ecrit souvent ses oeuvres en forme de dialogue et pose des questions qui son censees inciter une refflection sous le personne de scorate. Personne ne conteste l'authenticite de Cratyle.Mais on discutte encore sur le but de l'ouvrage. Les ancien l'ont pris un serieu et Proculus en a approuve toutes les etymologies. De nos jours les savant voient que moquerie et derision face aux Sophistes ( maitres de la rhetorique)

peut dire qu'il y a trois emplois du terme de " philosophie ", et que ces trois emplois permettent de diviser les philosophes en trois groupes. Premier emploi et premier groupe : philosophie comme réflexion critique : Socrate | Deuxième : philosophie comme art de vivre : Socrate ; stoïciens, épicuriens, sceptiques grecs | Troisième : philosophie comme métaphysique (savoir absolu) : philosophes du 17ème (Descartes, Leibniz, Spinoza) ; pré-socratiques | Nous cherchons ce qui peut bien être commun

dans quel terreau d’émergence il a évolué. En 429 BC, Périclès mourut, annonçant ainsi une série de guerres dites Péloponnèse entre les cités grecques Athènes, Sparte et Corinthe. Les mœurs et les comportements changent radicalement. Platon va proposer une cité idéale orientée vers la vertu (science du bien et du mal ; ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire). Socrate dira dans la République « si notre cité a été bien organisée, on doit trouver en elle quatre vertus indispensables : sagesse

doute sceptique est philosophique ? ou bien ces deux doutes sont philosophiques ? Tension entre l’être et le paraitre. Façon dont l’objet se présente à moi n’est peut-être pas ce dont il est lui-même. 1/ Doute sceptique Skepsis = l’examen. Un sceptique est quelqu’un qui examine. Le doute sceptique est un doute apparemment radical et universel. Chez le sceptique, il y a l’impossibilité de distinguer entre le vrai et le faux. Ils ne vont pas renoncer mais rechercher, par la zététique. Attitude

relatif à ses dispositions propres. Une opinion est toujours fonction d’un sujet. * Son caractère langagier : une opinion est un jugement qui prend toujours la forme d’une proposition langagière qu’elle soit oralement prononcée ou non. Dans un dialogue de Platon appelé le Théétète en 190a, il écrit « de sorte que moi, avoir des opinions, j’appelle cela parler, et que l’opinion je l’appelle un langage prononcé non pas bien sûr à l’intention d’autrui, ni par la voix mais en silence à soi-même ».

ses héritiers les plus directs, Platon et Aristote, eux-mêmes à la source des deux grands courants de pensée qui vont influencer directement la tradition philosophique jusqu’à la fin du moyen âge pour le moins. Il resterait bien entendu à traiter entre autre des courants de pensée qui ont marqué l’Antiquité, comme : le scepticisme de Pyrrhon, l’épicurisme, le stoïcisme d’Epictète, ou des auteurs latins comme Lucrèce, Sénèque ou Marc-Aurèle. Sans oublier Plotin et Saint Augustin pour ce qui est de