Dialogue L Avare

(1552). Le sujet s’inscrit dans la lignée de la farce : Guillaume – lourdaud « cocu » – est mari d’Alix, femme « mignarde et jolie » ; Eugène, ecclésiastique amoureux d’Alix, veut parvenir à ses fins ; il a pour rival le fanfaron Florimond. Les dialogues se coulent avec souplesse dans l’octosyllabe de la farce. Mais cette « farce » prend de l’ampleur car elle emprunte la forme de la comédie latine : elle s’ouvre sur un prologue et comporte cinq actes, eux-mêmes divisés en scènes. L’action respecte

champs de blé et d’orge ; Il était, quoique riche, à la justice enclin ; Il n’avait pas de fange en l’eau de son moulin ; Il n’avait pas d’enfer dans le feu de sa forge. 3  Sa barbe était d’argent comme un ruisseau d’avril. Sa gerbe n’était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : — Laissez tomber exprès des épis, disait-il. 4  Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant

Il s'initia à la peinture, écrivit des poèmes, des dithyrambes, des vers lyriques et des tragédies. La musique, la flûte et la cithare lui furent enseignées par deux maîtres : Dracon, élève de Damon d'Athènes, et Métellos d'Agrigente. Tous ses dialogues, et particulièrement le Timée, attestent qu'il avait poussé fort loin l'étude de cet art, qui, dans l'Antiquité, était étroitement lié aux mathématiques. Ce fut le grammairien Dionysios, mentionné dans les Amants, qui l'initia à cet ensemble de connaissances

Le Modèle de Molière dans l’ Avare est caractérisé par l’Aulularia de la ² Plaute, la méfiance de l’harpagon envers la Flèche (acte I, scène trois) ressemble à celle de l’ Euclio au Strobilus.  En supposant que la comédie devrait être et satire, mais aussi de critiquer le mouvement des défauts, les pièces de Molière va plaider pour des attitudes humanistes morale. L'auteur choisira les vices inépuisable nature humaine éternelle: l'avarice, l'arrogance, la jalousie, l'ignorance, l'hypocrisie et l'hypocondrie

narration.| Travail entre deux séances : Faites un récit au présent de narration, comportant aussi un dialogue dans lequel un personnage naïf confondra le sens propre et le sens figuré d’un mot par exemple le verbe « arroser » (arroser le jardin et « arroser » quelqu’un pour le corrompre, on dit aussi « arroser une promotion, c’est- à -dire boire.) Vous veillerez à la ponctuation du dialogue et à l’orthographe. (20 à 25 lignes) SEANCE 2 Reprise des brouillons. Travail entre deux séances

sur l'argent A. Un "topos" balisé : les modèles d'Harpagon B. Harpagon ou l'allégorie de l'avarice 1. Harpagon, un avare "par essence" 2. l'avarice : un mode de vie 3. L'amour de l'argent contre l'amour 4. L'avare volé, une parabole castigatrice ? C. Autres propos moraux sur l'argent 1. Harpagon un monstre à deux faces : l'usurier prédateur derrière le ridicule avare 2. Les figures contradictoires du voleur 3. La figure du prodigue : Cléante ou le symétrique douteux de son père 4. Les

loisirs qu’offre la vie et se résume dans la formule de sagesse selon laquelle l’on est « mieux assis que debout et mieux couché qu’assis [16]... ». Mais voilà que vient le colonisateur qui est motivé uniquement par l’appât du gain et de l’accumulation avare de richesse, et qui conçoit le travail en termes absolus de profit. Ne pouvant comprendre la philosophie sous-jacente de l’attitude que prend l’indigène envers le travail, il n’y voit que le signe de la « paresse congénitale » tandis que, de sa part

timocratie, comme perversion ou «maladie» de sa « cité idéale », qu'il ne conçoit qu'au travers d'une forme de monarchie ou d'Aristocratie éclairée. Dans l'extrait de notre séminaire, Platon, pour exposer son point de vue, fait intervenir dans un dialogue, Socrate et Glaucon. Ce dernier questionne Socrate, sur les formes de mauvais gouvernements ; Celui-ci accède à sa demande et remarque qu'existent en effet quatre types d’États décadents, par ordre de dégradation de l'organisation sociale et politique

autoritaire, tandis que la jalousie se devine quand il est question d’Adrienne. • Les Vrilles de la vigne. Les thèmes et les tonalités de ce recueil « fait de pièces et de morceaux » (Colette) sont variés : fiction («  La dame qui chante  »), dialogues animaliers, poèmes en prose lyriques dédiés à Missy (« pour M. »), critique mordante mais amicale des mondaines avec le personnage de Valentine… Le texte d’ouverture qui donne son titre au recueil, avec la parabole du rossignol, place l’œuvre

Tailleur a une très hautes estime de lui-même → comique de caractère ridicule (un peu)· “Oui, mais il ne fallait pas le lever avec le mien” → Jourdain prend mal le fait que a tailleur s’est fait son propre habit à partir de la même étoffe (= Bourgeois avare. Le bourgeois gagne sa vie en travaillant = cupide. Jourdain est proche de ses sous.) → Il manque de libéralité, de générosité. · Négation absolue “ne…pas”· ‘’Si belle” Phrase emphatique → Le tailleur utilise l’excuse de l’étoffe pour se justifier·