Dialogue L Avare

Cet extrait est un extrait de la pièce L’Avare de Molière. Nous pouvons voir avec l’extrait présenté que, le genre de cette pièce est une comédie. Celle-ci étant comique, nous pouvons constater que la pièce use ; des comiques de gestes avec les didascalies qui précisent les gestes faits par les personnages, par les coups de bâton, des poursuites, les mimiques nombreuses ainsi que des soufflets ; l’œuvre étant basé sur des rebondissements, des coïncidences, des retournements (surtout la fin de l’œuvre)

Paris» révèle sa véritable identité juste à la fin de la pièce, elle justifie ses actes en affirmant son indépendance. Le cynique Lélio se trouve donc finalement confondu, bafoué, et puni de ses mensonges et de ses intrigues.Les personnages ont des dialogues entres eux, il y a donc plusieurs narrateurs. La première intrigue est que le chevalier séduise le comtesse pour permettre à Lélio de rompre avec la comtesse dans perdre le dédit. La seconde intrigue est le dangereux jeu des apparences qui apparaît

présent : « Chienne, coquine ! » ligne 79. Il y a un dialogue fictif dans le monologue entre Argan et son médecin on peut le voir à partir de la ligne 9 : «Monsieur Fleurant », le « Je » qui représente Argan et le « Vous » qui représente le médecin ainsi que le « Il » qui représente le médecin à la 3éme personne cela renvoi à la double énonciation qui est nécessaire pour que le spectateur comprennent. Argan s’exprime différemment, c’est dû au dialogue fictif, quand il lit l’ordonnance, le langage est

l’éducation pour faire des comptes menus qui le font paraître avare. D’ailleurs « Argan » rime avec « argent ». Argan finit ses comptes et parle à un destinataire absent; en effet l’interjection « Ah! » est soudaine suivis d’une exhortation à l’adresse de l’apothicaire « Monsieur Fleurant » qui n’est pas présent. C’est alors qu’est dévoilé le caractère colérique de se personnage qui s’indigne tout seul des prix de ses traitements. Ce dialogue imaginaire porte une marque comique qui critique la folie

cachent leurs amours. Elise, celui de Valère qui s’est fait engager auprès d’Harpagon pour se rapprocher d’elle. Cléante, celui de Mariane, belle et pauvre, qui vit auprès de sa mère. Chacun redoute les foudres paternelles, mais les projets du vieil avare vont frapper de stupeur sa progéniture… Il veut marier la toute jeune Mariane pour redonner des couleurs à la grisaille de son veuvage, il souhaite faire épouser à Elise et à Cléante de « vieilles peaux » fortunées pour ajouter encore à son pactole

un emploi - sa bouche tremble un peu - gagner ta vie... » Certes, j’avais entendu l’expression bien des fois, mais il ne m’avait pas semblé qu’elle pût jamais me concerner tout à fait... Gagner sa vie ! Comme cela m’aparaissait mesquin, intéressé, avare ! La vie devait-elle se gagner petitement d’un jour à l’autre ? « Dès demain, lui ai-je annoncé, je vais me chercher du travail. N’importe quoi ! Dans un magasin, un bureau... — Toi, dans un magasin ! A-t-elle dit... D’ailleurs, il faut une certaine

six chèvres, une bonne douzaine de cochons, sans compter la basse-cour », faisant travailler »trois valets, une servantes et les journaliers ». C’est donc une femme très occupée et fatiguée par le travail qu’elle fournit. Elle est enfin avare, comme le suggère la didascalies : elle « respire l’avarice paysanne », écrit Romain. - une malade La consultation nous informe ensuite sur son état de santé : elle manque d’appétit et souffre de constipation. Il est aussi question d’une chute d’une

Orphelin, Charles,âgé de douze ans est recueilli par sa vieille cousine, l’horrible Mac Miche, à qui l’argent laissé par le père de Charles a été confié. Odieuse et avare, elle le gronde, le frappe sans cesse, le prive de tout. Charles trouve du réconfort auprès de Juliette, sa jeune cousine aveugle. Celle-ci tente de lui apprendre la patience et la sagesse. Mais le bon petit diable ne pense qu’à jouer des tours, à échafauder de curieux stratagèmes pour contrer la méchanceté de Mac Miche. Celle-ci

représentation du Malade Imaginaire. Cette pièce de théâtre classique est une comédie-ballet représentée pour la première fois en 1673. L'acte I, scène 1 met en scène le personnage d'Argan comptabilisant ses parties d'apothicaire tout en se faisant un dialogue à lui-même. Nous nous poserons la question suivante: Quelles sont les caractéristiques particulières de cet extrait de comédie? et nous y répondrons en deux parties. Dans un premier temps nous allons décrire la scène d'exposition. Et dans un second

de faire prendre conscience du caractère scénique du dialogue théâtral, où le conflit débouche sur des déplacements et des gestes précis, provoquant le rire.La comédie peut traiter de sujets sérieux mais elle se termine par une fin heureuse. On rit souvent, les formes de comiques sont variées : jeux de mots, défauts de prononciation… c'est le comique de mots coups, chutes, grimaces… c'est le comique de gestes personnages naïf, coléreux, avare, malade… c'est le comique de caractère quiproquos