Dialogue Théâtral Didascalies Conflit

Suzanne B) La réaction de Figaro C) Le baiser PLAN SYNTHETIQUE I – Une scène informative A) Les indices spatiaux-temporels B) La présentation des personnages C) L’intrigue II – Des airs de la comédie A) Une scène comique à tous points de vue B) Un dialogue enlevé, léger et comique C) Figaro, un personnage de comédie III – L’exposé des règles du jeu A) Un valet mis à l’œuvre (ligne 1 à 41) B) Les réactions (ligne 41 à 78) C) Le badinage amoureux (ligne 78 à la fin) I. Une scène informative A.

d’exposition, les informations essentielles à la compréhension de l’intrigue et oriente le ton général de la pièce. Les deux valets, Suzanne et Figaro, annoncent « la plus badine des intrigues » en même temps qu’ils illustrent le renouveau de l’écriture théâtrale mis en œuvre par Beaumarchais, [notamment sous l’influence des théories de Diderot sur le drame] : dimension romanesque et épaisseur des personnages, utilisation originale de l’espace, nouvelles fonctions assignées aux objets, recherche systématique

la  précision  des  indications  scéniques,  et  notamment  par  la  longue  didascalie  initiale,  titrée  «  Décor  ».  L'examen  analytique  du  texte  révélera  effectivement  l'importance  des  éléments  non  verbaux  de  ce  début  de  pièce.  ​ Par  ailleurs,  on  s'interrogera  sur  l'éventuelle  fonction d'exposition de ce passage.    1. Le cadre spatiotemporel    Traditionnellement,  une  exposition  théâtrale  fournit  au   lecteur,  comme  au   spectateur,  des  indications  relatives au 

COMTE. Qui t'a donné une philosophie aussi gaie ? FIGARO. L'habitude du malheur. Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer. (...) Extrait du commentaires : Avec le Barbier de Séville, nous avons affaire à une trilogie théâtrale qui comprend aussi Les Noces de Figaro et La mère coupable. Beaumarchais raconte en effet dans ces trois pièces l’histoire de Figaro et de son maitre, le Comte Almaviva, avec un esprit brillant, étincelant, qui n’est pas sans accents contestataires

plus drôle encore. En quoi réside alors son comique ? Pour répondre à cette question, nous analyserons tout d’abord la construction de la scène, puis nous verrons qu’elle offre une savoureuse caricature sociale. Enfin, nous nous intéresserons au dialogue, qui constitue un vrai duel de paroles, dans cette scène de ménage où les insultes pleuvent, à défaut des coups, que l’épouse réussit à s’épargner grâce à son talent de comédienne : théâtre dans le théâtre. I. La progression dramatique a. Les

sujet de la pièce - un impossible réconfort ou l’épilogue - quelle catharsis ? SUJET 2. La pièce de Jean-Luc Lagarce Juste la fin du monde met en scène des crises personnelles autant que familiales. Mais ne pensez-vous pas que ces moments de conflits dramatiques dépassent le seul cercle de la famille et revêtent une dimension plus littéraire ? I. Des crises personnelles et familiales qui ont une valeur dramatique - Louis, un personnage qui traverse une crise personnelle : une mort irrémédiable

hommes apparait être l'intrigue constante. c) Du point de vue formel la versification marque concrètement la rupture avec les codes classiques. -Il fragmente son vers en trois, voire en quatre segments, compose des dialogues incisifs qui correspondent à l’intensité des conflits et des émotions. C’est dans cette pièce qu’il emploie pour la première fois le «trimètre romantique». «Je suis banni ! je suis proscrit ! je suis funeste !». Rejets et contre-rejets démantibulent l’alexandrin, isolant souvent

Le vocabulaire théâtral Remplis la grille de mots croisés avec les termes suivants, dont les définitions en italiques devront être sues parfaitement : comique – tragique – loge – décor – rideau – costume – acte – scène – réplique – tirade – monologue – aparté – stichomythies – didascalies – quiproquo – dilemme – vers – dramaturge – metteur en scène – comédien – exposition – nœud – péripéties – coup de théâtre – dénouement – trois unités – vraisemblance – bienséance – terreur – pitié – catharsis

mystérieusement dans cette enclave, vient réclamer le corps d’un de ses «frères», ouvrier tué dans des circonstances accidentelles obscures. Cal, son assassin, ayant fait disparaître le cadavre, l’impossibilité de le restituer provoque une suite de conflits : Horn, après avoir laissé Cal préparer le meurtre d’Alboury, le trahit et l’abandonne. Léone convoitée par Horn et Cal les dédaigne au profit d’une africanité mythique représentée par Alboury. Ces confrontations aboutiront à la mort violente

effet, le masque, le déguisement, le jeu théâtral constituent l'un des principaux thèmes des Liaisons Dangereuses, à savoir le topos baroque du « theatrum mundi ». Miroir, métaphore d'une société, ce roman épistolaire est comme elle littéralement contaminé par le théâtre, aussi bien dans son propos que dans sa forme. Il est alors loisible de s'interroger sur la raison de l'omniprésence de ce monde de l'illusion. Illustration de la confusion entre le monde théâtral et le monde réel, les Liaisons Dangereuses