Dialogue

Les Faux-monnayeurs de Gide. Une polyphonie Les numéros de pages renvoient à l'édition folio des Faux-monnayeurs d'André Gide. Dialogues Les dialogues assument plusieurs fonctions ; ils ne sont pas là seulement pour apporter des informations. * parfois ils révèlent, décryptent, détrompent : un des meilleurs exemples est celui de la longue conversation du livre II (chap. 4) entre Bernard et Laura, en particulier p. 198. * ils révèlent parfois la fausseté du personnage : les paroles deviennent

des détails comme des dialogues, presque les trois quarts du texte, mais aussi des descriptions et des figures de styles. Les dialogues sont des dialogue peu commun : ce sont des dialogues entre animaux et non entre humain. Le fait que ces dialogues ne soient pas « normaux » ajoute au texte quelque chose d'intéressant, de différent, quelque chose de moins sérieux que ce à quoi on pourrait s'attendre. C'est tout d'abord en ça que La Fontaine en fait une fable embellie. Le dialogue en lui même est très

l’inverse de l’autre, cette dissonance bouscule les stéréotypes littéraires de l’époque. Il est question dans ce poème d’un passé amoureux révolu, les personnages comme le paysage est froid, l’atmosphère est mélancolique. I – Dialogue amoureux dissonant. Le dialogue est inattendu car les interlocuteurs éprouvent des sentiments opposés l’un de l’autre. L’échange sonne faux car ils n’ont plus rien à se dire. Le rendez-vous amoureux est un des stéréotypes de la littérature classique, Alfred de

terminés, beaucoup de tournures interrogatives, phrases entrecoupés donc beaucoup de point de suspension, langages familier sauf deux mots savants, phrases négatives, phrases à rythme binaire ou/et ternaire, anticipation de la réponse de l’autre (faux dialogue) Figures de styles : Métaphores => paragraphes centraux, personnification (obscures, mystérieuses à comprendre), anaphore avec les mêmes pronoms indéfinis et pronoms personnels, antithèses entre le fluctuant et le fixe

de l’honnete homme A) Un personnage mesuré qui maîtrise le savoir-vivre B) Un personnage ouvert d’esprit III- Un dialogue à visé polémique A) Progression du dialogue et renversement du rapport de force B) La mise en abîme Commentaire : III- Un dialogue à visé polémique A) Progression du dialogue et renversement du rapport de force Dans la progression du dialogue, il y a un renversement du rapport de force entre Dorante, un honnête homme qui est chevalier et un Marquis qui est un

littéraire du classicisme. Cet extrait est un dialogue entre Agnès, une orpheline au couvent, et Arnolphe qui l’a éduqué et veut l’épouser. Dans ce passage, Arnolphe demande à Agnès des détails sur sa rencontre avec Horace, mais elle ne comprend pas ses questions de la bonne manière. Nous allons voir comment Molière, à travers cette comédie, fait ressortir le caractère de ces deux personnages tout en ce moquant d’eux. Pour cela nous travaillerons d’abord sur le dialogue comportant un quiproquo, puis nous nous

Voltaire prend des risques en dénonçant l’intolérance religieuse. Pour cela, il construit un dialogue fictif où il met en scène des personnages appartenant à des religions différentes : un imam pour les musulmans et un talapoin (moine bouddhiste de Thaïlande ou de Birmanie). Puis il écrit le discours d’un inquisiteur (en rapport direct avec l’affaire Calas). Voltaire écrit au conditionnel, ce qui confère au texte une certaine irréalité. Le texte est une fiction qui implique la vérité et

Commentaire composé « la poularde et le chapon » de Voltaire Comment Voltaire, à partir d'un dialogue qui tient plus de la fable que de la philosophie, parvient-il à dénoncer la cruauté humaine ? Le dialogue et l'apologue constituent au 18ème siècle des moyens privilégiés pour dénoncer les attitudes intolérantes et cruelles qui existent à l'époque. On se rappelle de quelle manière Voltaire, dans Candide (chapitre 4), dénonce l'intolérance religieuse par la description humouristique et pleine

pièce dans le temps. C °/ La première scène s’ouvre sur un dialogue commencé par Iphicrate. Cela connote qu’il est supérieur à Arlequin. Cependant, à la fin de la scène, on remarque que c’est Arlequin qui clos ce dialogue. On pourra donc déjà supposer un retournement de situation dont nous parlerons par la suite. Le dialogue donne de la vie au texte. De plus, la ponctuation des phrases exclamatives des deux personnages au début du dialogue ravive encore la pièce. On en retrouvera tout au long de la

ils furent traités Le débat prend place dans un contexte religieux la Réforme Dialogue informel rapporté par un narrateur, on remarque la progression de l'argumentation. Alternance récit/dialogue I – UN DIALOGUE ARGUMENTATIF POLEMIQUE A) Caractéristiques d'un dialogue - Signes typographiques : tirets (annonce la prise de parole), modalités interrogatives, exclamatives (marques du dialogue), verbes introducteurs de parole, utilisation pronom personnel « je » B) Les deux adversaires