Diane Arbus

cover-girl représentatif de l’époque, elle accède au statut de star. Sans doute moins connue et d’une beauté moins conventionnelle, Penelope Tree est un autre reflet du mannequinat des années 60. Remarquée dans la rue par le photographe légendaire Diane Arbus, Penelope Tree était surtout populaire dans le milieu artistique pour son visage particulier. On peut observer que les mannequins des années 60 étaient plus considérés comme les muses des photographes ou des artistes. Les quelques élues étaient

noir dans l’art moderne, une palette subtile Louise Bourgeois (1911-2010) : rejet du père et image de la mère Deux photographes américaines Berenice Abbott (1898-1991): entre sculpture et photographie Lisette Model (1906-1983): l’inspiratrice de Diane Arbus Louis Cane (1943) De Supports/Surfaces à la Crucifixion : une ?uvre d’exception Abstrait, figuratif. Richesse des sujets : fleurs, femmes, etc. Les références historiques : Vélasquez, Manet, Picasso, etc. Deux artistes nés en 1960 Maurizio Catellan

encore fort encré dans la fonction documentaire et les photographes ne prennent pas le parti d’assumer leur subjectivité dans leurs photographies. Plus tard, en 1967, au même Moma, John Szarkowski propose l’exposition « New Documents » réunissant Diane Arbus, Lee Friedlander et Garry Winogrand, les tenants d’une nouvelle façon de faire de la photographie documentaire dressant un constat de la société urbaine américaine avec une volonté artistique, une recherche dans la mise en scène et dans la composition

neither should we want it to be. Photographers aren't machines that have no feelings and no opinions, they're storytellers; they manipulate the reality in front of them to tell you something interesting about it – and that holds true of everyone from Diane Arbus to Helmut Newton. That's why we keep looking at their work. The whole idea that photographers today are a bunch of deviant misfits producing pictures of people that somehow twist the truth in a malevolent way is ridiculous. Which camera you choose

travers le monde, allant de Hong Kong à Los Angeles en passant par Londres et Genève. Sont exposés dans ses galeries, les plus grands artistes du 20ème et 21ème siècle tels que Jeff Koons, Picasso, Roy Lichtenstein, Francis Bacon ou encore Diane Arbus et Takashi Murakami. Gagosian est arrivé en France fin 2010. De quoi défrayer la chronique, avec notamment une galerie située à deux pas des Champs-Elysées et des collections déployées sur près de 350 m2, dans un hôtel particulier, rue Ponthieu

ainsi, viser à briser un sujet tabou et rendre la vie de l'Homme plus simple. Les hommes et les femmes qui dérangent tels que les géants, les nains, les travestis, les nudistes sont tout un univers, montré là, sans artifice pour le photographe Diane Arbus. Elle montre le monde tel qu'on ne le voit pas. Tel qu'on ne l'accepte pas. Ses photos ne font pas rêver mais révèlent la part monstrueuse de l'humanité. Mais pourtant, elle a hissé la photographie au rang de l'art. «Ce que j'aime : l'unique en

"Flagrants Délits" d'Henri Cartier-Bresson). Les photographes recherchent de nouvelles manières d'appréhender le réel, tandis qu'apparaît la séquence comme moyen d'expression photographique. De nombreux photographes (Garry Winogrand, Lee Friedlander, Diane Arbus, Bruce Davidson, Danny Lyon) documentent le désenchantement et l'Amérique en crise ("New documents"). Les photographes de la "New Topographics" enregistrent patiemment toutes les blessures causées par l'homme au paysage. On voit apparaître une photographie

une poupée ou donné un coup de pied dans une fleur. » A coups redoublés, le garçon découvre Ce que ma mère n’a pas dit En tête de son deuxième roman – le premier traduit en français –, l’Australienne Mireille Juchau a placé cette phrase de Diane Arbus : « Une photo est un secret à propos d’un secret. Plus elle en dit, moins on en sait. » C’est bien de photographie et de non-dit familial qu’il s’agit ici. D’où ce titre, Le Révélateur, du nom du bain qui transforme l’image latente en image visible

importants d’aujourd’hui, qui dit se situer “à deux doigts du reportage” ». Rappelons tout de même, qu’en tant que membre de l’agence Vu, de Wurstemberger est considéré comme photojournaliste même s’il a renouvelé le genre. Enfin, la rétrospective Diane Arbus au Victoria and Albert Museum de Londres est celle d’un monstre sacré de ce style documentaire. Elle aussi sera l’objet d’un article un mois plus tard. Le Monde du 20 octobre lui consacre une page entière, avec une photo occupant un bon quart de