Diane de Poitiers

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des Sorinières n° 48 Pé d Su Rousselière Coqueluchon Grammoire D115 97 li ère de s Gare Vertou Sud Saupin Porte de Vertou Porte de Vertou n° 47 Robert Scott e de la Gar nte Magellan Route de Poitiers Vertou Ma ladr ie Charmes Rte Robinièr e Poyaux e Ru sse la de Na s nte P la Rue la Ro u Laurier 42 Fleuri 28 BN ri e Cu Jaunais s de 27 29 Pôle Sud 39 Gare Cassegrain

L’appartement premier Homere aura pour marque, Virgile le second, le troisième Pétrarque, Du surnom de Ronsard le quatrième on dira. De ce monument imaginaire, il passe au palais réel de l’Anet de Diane de Poitiers à qui il adresse le sonnet suivant (159). Et il relie de nouveau ce personnage que fut Diane de Poitiers aux sonnets qui suivent et qui sont dédiés aux Grands du royaume: D’Avanson (160), qui est d’ailleurs le dédicataire de tous les Regrets, Jean Bertrand (161), Le chancelier Olivier Anales

L’appartement premier Homere aura pour marque, Virgile le second, le troisième Pétrarque, Du surnom de Ronsard le quatrième on dira . De ce monument imaginaire, il passe au palais réel de l’Anet de Diane de Poitiers à qui il adresse le sonnet suivant (159) . Et il relie de nouveau ce personnage que fut Diane de Poitiers aux sonnets qui suivent et qui sont dédiés aux Grands du royaume: D’Avanson (160), qui est d’ailleurs le dédicataire de tous les Regrets, Jean Bertrand (161), Le chancelier Olivier 270 Anales

servent pas. Qui tournent le dos au temps. Cette pendule n’a été achetée que pour savoir l’heure sa beauté. Pour l’image paradoxale qu’elle donne : le temps n’a pas de durée. Il est pour toujours. Alors qu’un personnage historique est mortel (Diane de Poitiers), le temps le détruira aussi célèbre soit-elle. Le fait de laisser cette pendule arrêtée, n’est pas un moyen pathétique d’essayer de résoudre ce conflit terrible que se livre depuis toujours, le temps et la beauté féminine, le temps et l’amour

francois premier Cartier remplacer par Jean-Francois de la Rocque Sieur de Roberval Cartier fait son enquête et après accepte la decission, commance la preparation du voyage Raison que cartier a compris : #1 Jean-Francois apparenté à Diane de Poitiers la première maitresse du Roi #2 Religion Protestante depuis peu, sous l'influence de Marguerite de Navarre la soeur du roi. Roberval ne donne pas nouvelle Janvier, Fevrier, Mars, Avril Cartier apres son enquête ---> accepte la decision,

éléments nous donnent cette impression de roman historique, fiction datée, à cheval sur les années 1558, 1559. L’œuvre s’ouvre sur les pour parler de paix avec l’Espagne mais aussi sur une galerie de portraits historiques avec par ordre d’entrée : Diane de Poitiers (maîtresse du roi Henri II), la reine Catherine de Médicis (femme de Henri II), Marie Stuart (la fille du roi d’Ecosse), Henri II a décidé de marier son fils (le dauphin) avec la fille du roi d’Ecosse. Ensuite on nous présente les princes du

mai 1580, où il réussit à éviter pillage et massacre malgré cinq jours de combats de rue33, lui vaut un grand prestige à la fois pour son courage et son humanité34. Henri de Navarre entretient entre 1582 et 1590 une relation avec la catholique Diane d'Andoins à laquelle il promet le mariage et qui le soutient financièrement, la seule de ses maîtresses à être associée à ses affaires35 : elle semble avoir JOUÉ le rôle tant de conseillère politique que de confidente36. Les aventures féminines du

l’Histoire semble tout de même absorbée par la fiction qui prend le pas sur la réalité historique. Tout en effet sert au déroulement du désespoir de la passion. Deux des quatre récits enchâssés dans la narration sont historiques (l’histoire de Diane de Poitiers et d’Anne de Boulen), mais leur présence au sein du récit ne sert qu’à protéger l’héroïne des dangers de la passion, et non à proposer un récit historique. Ce refus de l’Histoire et de la politique annonce en somme le refus de la réalité annoncé

de Fontainebleau (cf. infra), tandis qu’au même moment, les artistes français vont plus fréquemment chercher en Italie une formation et des modèles: c’est le cas de Goujon, de Philibert De l’Orme, qui sera l’architecte favori de Henri II et Diane de Poitiers. Dans l’architecture, l’influence italienne est désormais moins celle de la Lombardie que celle de l’art florentin et romain, et à travers eux de l’art antique, revisité par les grands architectes et sculpteurs italiens des XVe et XVIe siècles