Diane de Poitiers

cet incipit l’intrigue se déroule dans une cour en France…2. Les personnages:NomHenri secondFrançois premierDiane de poitiers, Madame de ValentinoisMlle de La MarckLa reine (Catherine de Médicis)Titre de noblesseRoi deFrance (1547- 1559) Roi de

cette passion interdite. M. de Clèves : ce personnage n’a pas entièrement été inventé par Madame de Lafayette, contrairement à Mme de Clèves. Il y a bien eu dans l’histoire un Prince de Clèves, né en 1544, époux d’une des petites-filles de Diane de Poitiers et mort en 1564, alors que celui de l’œuvre meurt en 1560 ; et donc, rien à voir avec le Clèves du roman. Gentilhomme de la Maison du roi, il épouse Mlle de Chartres dont il est amoureux à un tel point qu’il en mourra d’une façon pathétique.

Association Francophone de Comptabilité Poitiers 2007 DETERMINANTS DE LA COMMUNICATION SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE DES ENTREPRISES FRANCAISES Amel BEN RHOUMA ATER à l’IUT de Nice Doctorante à l’IAE de Nice Chercheuse au CRIFP IAE de Nice amelnice2003@yahoo.fr Denis CORMIER Professeur, titulaire de la Chaire d’information financière et organisationnelle UQAM cormier.denis@uqam.ca Résumé Dans cette communication, nous nous proposons d’étudier les déterminants de la communication de l’information

entre sa fille et Monsieur de Nemours. Henri II : Il est le roi pour la plupart du roman avant qu’il ne soit fatalement blessé lors d’un tournoi vers la fin. Catherine de Médicis : Elle est la reine. A propos de Diane de Poitiers, elle est experte de la bienséance. Diane de Poitiers : Elle fait partie de la cour, elle n’aime pas la Princesse de Clèves pour des raisons politiques. Mlle de la Marck : Mademoiselle de la Marck va se marier avec le deuxième fils du connétable de Montmorency, Monsieur

dont le second est le Prince de Clèves [ mort ] Le Vidame de Chartres : étroit ami avec le prince de Montpeniser Le Duc de Nemours ( personnage principale ) Madame de Valentinois : -Diane de Poitiers- fille du Roi et de la Reine de Piémont, maîtresse du Roi Monsieur le Connétable : déteste Madame de Valentinois Le Prince de Clèves : mari de Mademoiselle de Chartres. ( personnage principal )

combat de La Roche-L’Abeille. Juillet-septembre 1569 : Siège de Poitiers. D’Aubigné quitte le siège. Retour en Saintonge. Octobre 1569-juillet 1570 : Coups de main en Saintonge. Grave crise de conscience sur les abominations de la guerre, et sur sa responsabilité dans ces abominations. Grave maladie. Août 1570 : S’installe sur sa terre des Landes-Guinemer, héritée de sa mère, après un procès pénible. 1571 : Rencontre Diane Salviati, dont il s’éprend. Début de la composition du Printemps

logis des Marques, ils ont finalement changé d’avis, ils gardèrent le donjon, un puit et rasèrent tout le reste. Après la mort de ses propriétaires, Chenonceau devient propriété royale en 1535. En 1547, Le roi Henri II l’offre à sa favorite Diane de Poitiers. A la mort du roi, la reine Catherine de Médicis oblige celle-ci à lui céder le château en échange de celui de Chaumont-sur-Loire. Catherine fait aménager un parc et construire sur le Cher la galerie qui prolonge sur 2 étages le corps du logis

Ressources et ressourcement de l’Histoire de l’art Stéphanie Diane DAUSSY et Arnaud TIMBERT « Voilà, Phèdre, de quoi je suis amoureux, moi : c’est des divisions et des synthèses ; j’y vois le moyen d’apprendre à parler et à penser. Et si je trouve quelqu’un capable de voir les choses dans leur unité et leur multiplicité, voilà l’homme que je suis à la trace comme un Dieu 1. » [« Architecture et sculpture gothiques », Stéphanie Diane Daussy et Arnaud Timbert (dir.)] [ISBN 978-2-7535-1746-2 Presses

La Princesse de Clèves Première Partie : L'intrigue se déroule sous le règne d'Henri II, amant de Diane de Poitiers, marié à Catherine de Médicis. La Cour est décrite, ainsi que les mentalités à travers les comportements du roi, de la reine. Pourrait on transposer cette Cour à celle de Louis XIV, Cour dans laquelle évolue Mme de Lafayette ? On voit de nombreuses hyperboles et des rythmes binaires récurrents, « belle et majestueuse »p36, « magnificence et galanterie » dans l'incipit. La description

rien de ce qu’elle y fait. Pour lui, cela reste « mystérieu[x] ». Enfin, par le charme qui émane d’elle, elle peut être comparée à la plus habile « courtisane ». D’ailleurs, Balzac en cite trois particulièrement célèbre : Joséphine, Césonie et Diane De Poitiers. Elle est de même présenter comme supérieure puisqu’elle est encore jeune. C’est une femme sans ombre qui n’a que des vertus et des qualités, c’est une figure de la perfection.